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Le mot "gangrène" dans l'oeuvre de DESCARTES

Publié le 01/09/2006

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descartes

LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, QUATRIEME PARTIE, Art. 196.

 On avait coutume de bander les yeux à une jeune fille, lorsque le chirurgien la venait panser d’un mal qu’elle avait à la main, à cause qu’elle n’en pouvait supporter la vue, et la gangrène s’étant mise à son mal, on fut contraint de lui couper jusques à la moitié du bras, ce qu’on fit sans l’en avertir, parce qu’on ne la voulait pas attrister ;

  Correspondance, année 1640, Au R. P. MERSENNE, 28 octobre 1640.

 mais c’est pour une autre raison, à savoir, qu’il est plus échauffé, et souvent tournoie autour de son centre, et qu’il retient encore autour de soi le vent de la poudre, qui peut aisément causer une gangrène.

 

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