Le savoir s'oppose t-il a la croyance ?

These : Le savor s'oppose à l opinion.

Le savoir s'oppose à l opinion;croaynce des nombreux: Le savoir est objectif et rationnel. Il s'oppose à la croyance des nombreux. L opinion ne se preoccupe pas de la vérité. Comme le souligne Schopenhauer (L'art d'avoir toujours raison, Circé Poche 1999), elle est d'abord l'opinion de quelques hommes auxquels on fait politesse de croire qu'ils l'ont examiné a fond.

En se repandant, l'opinionrt une apparence de legitimité: \" ... ceux qui ont le droit à la prole sont ceux qui, totalement incapables de se former des pinions propres et un jugement propre, ne se font que l'echo des opinions d'autrui. (Schopenhaur)

L'opinion ne pense pas. Rares sont ceux qui peuvent penser, mais tous veulent avoir des opinions et que leur reste il d'autre sinon de les emprunter à autrui , au lieu de se les former eux mêmes ? Et la paresse intellectuelle que favorise l'opinion commune constitu un obsctale à la recerche de la vérité.

Le savoir s'oppose à toute croyance irrationelle. Notamment à la foi, lorsque cette dernière s'impose de manière démaggique, sans jamais faire appel à la capacité de réflexion.

Antithèse :

Le savoir peut etre une forme d'opinion. Les philosophes ne cessent de se refuter mutuellement, leur savoir n'est jamais qu'une opinion. Toutefois, ces opinions sont issues de l'examen critique de la reflexion. Elle ne s'oppose donc pas au savoir.

Toute croyance ne s'oppose pas au savoir. La foi peut etre en accord avec le savoir existant. On peut, par exemple, croire en Dieu tout en acceptant les théories scientifiques existantes.

Il n'y a pas de savoir sans croyance. Par exemple les mathématiques reposent sur des propositions indénombrables et sont donc impuissantes à se fonder ; la raion est ici suspendue au sentiment que nous pouvons avoir de la vérité des axiomes, des potulats. Le raisonnement mathématique obéit à des principes qui ne peuvent être démontrés puisqu'ils sont engagés dans toute démonstration. La croyance est donc au coeur meme du savoir.

Synthese : Il y a une place pour la foi au dela de la verité : 

Le savoir autorise certaines croyances. si le savoir peut condamner toute forme de croyance incompatible avec ses exigences ( ex : superstitions) elle ne peut qu' autoriser des croyance qu'elle ne saurait justifier ou réfuter.

La croyance ne peut faire fi du savoir. Quat a la croaynce, peut elle se dispenser du savoir scientifique et refuser d'évoluer, si elle eut rester vivace ?

Il y a une place pour la croyance au dela de la raison . Lsciences evacuent par souci d'objectivité toutes les questions relatives au sens ou au non sens de l'existence et du monde. Il y a donc une place pour la croyance à condition que celle ci ne contredise pas la raison.