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Lecture analytique - La chartreuse de Parme – Stendhal

Publié le 27/05/2012

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La chartreuse de Parme – Stendhal

 

                Stendhal est l’auteur du roman « Le jour et le noir ». Publié en 1839, Stendhal s’inspire de la famille Farnése. Le roman a était ecrit en 59 jours. La figure principale est Fabrice Del Dongo. Comme Jolien Sonel en 1830, il rêve d’exploits, il est un grand admirateur de Napoleon. Fabrice = Personnage romantique. Il rejoint un corps de Hussard de l’armée .

 

18 juin 1815 = Bataille de Waterloo

 

I - Le romancier prend le contre pied de l’idéalisation de la guerre.

II - Vision décalé du champs de bataille

 

I - C’est une scène de guerre qui s’inspire de Waterloo. Des indices géographique le montre : terre laboure, canal… C’est la campagne Belge. Les habits rouge sont les ennemis, il y a donc une métonymie. Un champ lexical de l’armée : Marechal, batterie de canon, hussard… La bataille marque la fin du règne de Napoléons. Vision fragmentaire. Point de vue interne pour un romancier omniscient ! Le romancier nous parle de ces sensations, ses sentiments. Fabrice gêné par le bruit (auditive), il ne comprend pas, remarque (visuel) ce qui lui sembla horrible (sentiment). Le champs de bataille est décrit a travers les yeux de Fabrice. Sont regard ce déplace. Image horrible du cheval qui piétine ces entrailles. On passe d’un regard horrifié a un regard admiratif. Regard d’un personnage qui ne comprend pas = image de la guerre pas glorieuse. Jonche a ici une valeur hyperbolique. Il y a un travail de dévalorisation.

On a une image du héro ridicule mais attachant.

 

II - Le narrateur prend une distante moqueuse pour le dévaloriser. Il est observe comme un phénomène et non pas un héros. Il est au cœur d’une bataille mais il n’est pas héroïque (Image de l’enfant émerveillé). A 3 reprises, Fabrice est appelle héros ironiquement. Intrusion du narrateur paradoxalement donne l’illusion romanesque. Fabrice est un « blaireau ». Horrifie par le spectacle des cadavres. Il a un cote enfantin, grotesque, mais charmant. Perd son identité héroïque, mais gagne la sympathie du lecteur.

 

Conclusion : Connaissance avec un héros inadapté a l’univers violent de la guerre. Fabrice est un héros de roman réaliste. 

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