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Becker : Comment devient-on fumeur de marijuana ? Exposé

Publié le 08/08/2012

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becker

Becker appelle les impératifs moraux fondamentaux ce qui va faire qu'un individu va se soucier de sa santé, sa conduite, de son équilibre : c'est un autre facteur qui va faire que le fumeur va consommer plus ou moins de drogues. Dans notre société, il y a des stereotypes jugeant que la prise de marijuana est mal vu. Pour que le consommateur puisse consommer sans se sentir rejeté de la société, il va devoir oublier ces stereotypes. C'est principalement en s'entourant d'autres fumeurs, en s'integrant à un groupe qu'il va parvenir à cela. Par exemple, dans un temoiniage, un homme du fait de l'influence de ses amis s'est persuadé que le cannabis ne rend pas malade mais que l'alcool en revenche rend malade. Un autre essaye de soulager sa conscience en se disant que le cannabis, du fait qu'il donne l'envie de manger, est bon pour les personnes qui ont besoin de prendre du poids. Ensuite, Becker nous montre que les fumeurs essaye de se persuader qu'ils ne sont pas dependant de la drogue, Becker nous montre que les fumeurs de marijuana ont un comportement deviant et que pour ne pas se sentir " différents " ou inconscient , ils vont devoir s'intégrer à un groupe deviant . Dans ce dernier paragraphe, l'auteur insiste sur le fait que les stereotypes sont issus de personnes etrangeres au milieu de la drogue , ignorantes et pas assez ouvertes d'esprit pour comprendre les fumeurs; Pour qu'un individu se sente libre, il devra ignorer toute ses conceptions, ou plutot se persuader qu'elles sont fausses.

becker

« étudié dans ce chapitre la maniere dont l'individus reagit aux differents controles sociaux qui sont developés par rapport à l'usage de cette drogue et la raison quipousse les individus a fumer de la marijuana malgré les différents types de controles sociaux qui agissent sur les individus en question..

La consommation de cannabis est plutot mal vu dans notre société car les controles sociaux insistent sur le fait que l'usage de cette drogue est immorale etimprudente.

Pour qu'il y ait une action contraire aux valeurs de la société, pour qu'il y ait un comportement deviant,sans que l'individus ne se sente rejeté de la sociétéil faut que les individus appartiennent à un groupe dont les valeurs s'opposent a celles de la société globale.Becker montre que l'usage de la marijuana est sanctionné par la loi, mais ce n'est pas la seule raison pr laquelle le nombre d'usagers est limité.

Il ya aussi une valeursmorale.

C'est la que les controles sociaux interviennent, en montrant que l'usage de cette drogue est imprudent, en faisant par exemple des pubs contre le cannabismontrant qu'il est nossif pour la santé ou pour notre comportement.les facteurs qui limitent l'usage du cannabis sont: -la pratique illégale,il y a des peines severes donc l'offre de marijuana est limité, puis l'usage est dangereux souspeines d'etre emprisonné ou d'avoir des sanctions finnancieres- puis l'usage de drogue en général est mal vu, donc si la famille ou un employeur d'une quelconque personne decouvre que celle ci fument du cannabis, ils lejugeront irresponsable ou meme peut etre fou.- Puis les valeurs morales, disant que la consommation de stupéfiant conduit a une perte du controle de soi, un manque de volonté,...Becker distingue 3 etapes dans la consommation de marijuana :- le debutant fumant pour la premiere fois- le fumeur occasionnel, ce n'est pas encré dans son mode de vie, par exemple le fumeur va consommer lorque ces amis sont en possession de cette drogue.- l'utilisateur regulier, quelqu'un qui fume presque tous les jours et dont la consommation de cette substance est devenu totalement normal a ses yeux.B.

va essayer ensuite de faire le lien entre ses 3 étapes, et comment les consommateurs passent d'une etape a une autre.

Il montre dans un premier temps que l'onpasse rapidement de l'étape de debutant à fumeur occasionnel si l'on se trouve dans un groupe qui fument du cannabis.

C'est l'influence du groupe sur l'individu quiva faire qu'il va essayer une premiere fois et qu'il va devenir ensuite fumeur de maniere occassionelle.Ensuite Becker s'appuie sur un temoiniage pour montrer comment un fumeur passe du statut de fumeur occasionnel a fumeur regulier." A l'époque, je sortais avec tout une bande qui en prenait.

C'etait toujours eux qui m'en fournissaient, et ça finissait par me gener.

J'etais vraiment géner de ne jamaisen avoir, de ne pas pouvoir leur en offrir a mon tour.

J'ai donc demandé autour de moi ou je pouvais en trouver, et j'en ai déniché pour la première fois "B.

montre qu'il faut qu'il trouve une source d'approvisionnement stable et autre que celle de ses amis pour qu'il devienne fumeur regulier, qu'il faut qu'il fasse affaireavec des gros vendeurs de stupéfiants, ce qui devient plus interessant car le fumeur peut acheter en gros et donc diminuer le cout de sa consommation.Mais B montre quand meme que cette action va etre limitee, car trouver des vendeurs de stupéfiants et difficile du fait de son activité illégale, donc les vendeurs sontsouvent méfiants, et il faut gagner leur confiance, en s'intégrant a plusieurs groupes de fumeurs .

Puis souvent, le risque d'arrestation dissuade les fumeurs a s'engagerdirectement avec les gros vendeurs.

B s'appuie sur un temoignage d'une personne qui dit que si l'usage de marijuana etait legale, elle en fumerait certainement tout letemps, mais cette personne refuse d'etre impliquée trop directement la dedans et dit que de toute façon elle n'a pas trop de mal à s'en procurer car beaucoup depersonnes autour d'elle en possedent.Ces craintes sont bien réelles, mais souvent lorqu'un fumeur decide de s'adresser pour la premiere fois a un gros vendeurs, ses craintes diminuent et il devient plusconfiant.Pour finir dans le cadre de l'approvisionnement, Becker montre que l'usage regulier des personnes,ayant etablis des contacts avec les gros vendeurs, est souventinterrompu lorsqu'il y a arrestations, et ils ne peuvent donc plus s'en faire fournir, donc soit ils trouvent une autre source ou soit ils arrettent leurs consommations, cequi montre que la loi est la pour destabiliser les sources d'approvisionnement Le secretD'après Becker , un fumeur limite sa pratique en fonction de l'importance qu'il accorde aux relations qu'il a avec des non-fumeurs; ces non-fumeurs qui pourraient levoir comme quelqu'un d'irresponsable si ils venaient à decouvrir qu'il fumait.

Il craint donc d'etre rejeté par son entourage non fumeurs et il est donc obligé de limitersa pratique.Mais Becker s'est apperçu que plus le stade ( debutant,...) est important, plus le fumeur se perduade qu'il ne se fera pas demasquer, du fait qu'il a plus d'experience etqu'il est capable de se controler sous l'effet de la drogue.Chez le debutant, l'appréhension est forte mais le fait qu'il cotoit d'autres personnes plus expérimentées dans ce domaine , des personnes qui auront pour role de lerassurer, cela va lui permettre d'essayer.

Tandis que le fumeur occasionnel, doit se persuader qu'aucun non fumeurs s'appercevra qu'il consomme de la marijuana.Becker dit que l'univers des fumeurs et non fumeurs est suffisament séparé pour etre fumeurs occasionnel , mais pas pour etre fumeur regulier.Pour un fumeur regulier, si il ne veut pas etre demasqué, il n'a qu'une seule solution : arriver à se controler et dissimuler face aux non fumeurs les effets de la drogue.Mais souvent, l'angoisse de se faire demasquer est trop forte, donc le fumeur devra alors se limiter à fumer occasionnelement.Un jeune homme vivant encore chez sesparents revient sur cette angoisse, car il vivait dans une grande famille, et ses freres et soeur auraient selon lui mal pris le fait qu'il se drogue, donc il était obligé delimiter sa quantité de drogue a sa maison.Cet homme est ainsi limité dans sa consommation et tant qu'il vivra chez ses parents, il ne pourra pas avoir une consommation reguliere.

Ce fumeur regulier peut etreaussi limité par les relations qu'il a avec sa femme, par exemple un homme qui fumait de maniere trés intensive avait été obligé de stopper son activité.

Un autredéclarait qu'il n'épouserait pas une femme qui lui ferait la guerre "si il fumait."Mais ce qui revient le plus souvent dans les témoignages, c'est la peur de ne pas pouvoir controler les effets de la drogue, et c'est ce qui limite les fumeurs a fumeroccasionnellement et non regulierement.

Mais parfois, comme dans la situation suivante, des individus arrivent à se controler.

Un homme disait: "Une nuit j'en ai priset tout a coup je me suis senti vraiment bien[...]Depuis ce jour, j'ai été parfaitement capable de fumer autant que je le désirais sans avoir d'ennuis.

Je peux toujourscontroler ça"Puis il y a des cas moins fréquents, mais qui existent, ceux des fumeurs reguliers qui cotoient pratiquement que des fumeurs de marijuana, et qui n'ont donc pas à sessoucier des nons fumeurs, qui n'ont aucune craintes de se faire demasquer.Pour Becker, plus le fumeur craint que les non fumeurs decouvrent qu'il consomme des drogues, moins sa commation sera importante et reguliere. La moralitéBecker appelle les impératifs moraux fondamentaux ce qui va faire qu'un individu va se soucier de sa santé, sa conduite, de son équilibre : c'est un autre facteur quiva faire que le fumeur va consommer plus ou moins de drogues.Dans notre société, il y a des stereotypes jugeant que la prise de marijuana est mal vu.

Pour que le consommateur puisse consommer sans se sentir rejeté de la société,il va devoir oublier ces stereotypes.

C'est principalement en s'entourant d'autres fumeurs, en s'integrant à un groupe qu'il va parvenir à cela.Par exemple, dans un temoiniage, un homme du fait de l'influence de ses amis s'est persuadé que le cannabis ne rend pas malade mais que l'alcool en revenche rendmalade.

Un autre essaye de soulager sa conscience en se disant que le cannabis, du fait qu'il donne l'envie de manger, est bon pour les personnes qui ont besoin deprendre du poids.Ensuite, Becker nous montre que les fumeurs essaye de se persuader qu'ils ne sont pas dependant de la drogue,Becker nous montre que les fumeurs de marijuana ont un comportement deviant et que pour ne pas se sentir " différents " ou inconscient , ils vont devoir s'intégrer àun groupe deviant .

Dans ce dernier paragraphe, l'auteur insiste sur le fait que les stereotypes sont issus de personnes etrangeres au milieu de la drogue , ignorantes etpas assez ouvertes d'esprit pour comprendre les fumeurs; Pour qu'un individu se sente libre, il devra ignorer toute ses conceptions, ou plutot se persuader qu'elles sontfausses.. »

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