Devoir de Philosophie

Bilinguisme/ Plurilinguisme / Diglossie

Publié le 15/12/2010

Extrait du document

1.      Préambule

 

L’intension de l’exposé est de transmettre au lecteur quelques brefs détails particulièrement sur les notions linguistiques en général dans ce travail en discussion, et si il est opportun d’ajouter, des références aux hypothèses en citation. Si il est nécessaire, des liens seront tissés avec la langue française, la politique linguistique en vigueur, le créole, et la situation en Martinique.

 

2. Histoire bref de la Martinique

 

La formation du bilinguisme dans de nombreux groupes ethniques résulte d’une quantité d’arrière-plans tels que l’immigration, politique de fédéralisme et nationalisme ou bien de raisons culturelles et sociales. Selon la trace historique la Martinique était peuplée par des Arawaks, une population qui venait de la région d’Amazonie. Après l’éruption du Mont Pelée, qui a exterminé la population entière, les Arawaks ont de nouveau commencé à repeupler la Martinique á partir de 600, quant à la même temps que les Caribéens se sont installés dans cette île et ont dispersé les Arawaks. 

« possible afin que le lecteur se mette dans la peau du personnage et puisse élargir ses connaissances sur la société,sur l'homme, sur soi-même et même sur le monde.

C'est pourquoi ces auteurs utilisent différents procédés pourdonner une illusion de réalité.Premièrement, le créateur essaye de représenter son personnage comme une personne ordinaire car il est l'élémentfondamental du roman.

Tout d'abord il paraît nécessaire de décrire l'héroïne par son identité; c'est-à-dire son nom,son age...

comme le fait Phillipe Claudel dans « Les âmes grises ».

Ainsi, le lecteur arrive à distinguer à peu près lepersonnage.

De plus, il est également fondamental que l'auteur passe du temps pour décrire le portrait du héro,c'est-à-dire son apparence physique, ses habits tout comme dans l'½uvre de Madame de Lafayette « La princessede Clèves » où le personnage de la princesse nous est décrit longuement par son apparence physique maiségalement par ses habits, sa parure.

De plus, Balzac reprend également cette caractéristique dans « Le Père Goriot» ou le personnage de Mme Vauquer nous est également longuement décrit physiquement ainsi que P.A.de Destinatdans le texte du corpus « Les âmes grises ».

Ceci permet de donner d'avantage d'informations au lecteur sur lepersonnage.

Ensuite, pour qu'il se rapproche le plus d'une personne ordinaire, il est important que l'écrivainmentionne son milieu social, la fonction qu'il à dans la société, comme le personnage de Charles et de Homais, lemédecin et le pharmacien de « Madame Bovary » écrit par Flaubert.

De cette manière, si l'auteur adopte cettecaractéristique pour décrire le personnage, il est en effet, plus facile pour le lecteur de se mettre dans la peau dupersonnage.C'est pourquoi, en suivant tous ces procédés, cela permettrai au lecteur d'être très proche du personnage.

En effetil pourra s'identifier au héro qui lui renverra ses sentiments, ses opinions comme un « effet de miroir ».

Ainsi, décrireun personnage tel une personne réelle permet a l'auteur de faire circuler une idée, une opinion notamment sur despersonnage de l'histoire.Enfin, l'auteur, pour favoriser l'identification du lecteur au personnage, devra également utiliser différentesméthodes.

Le choix de la narration, par exemple, permet au lecteur de se reconnaître dans un personnagenotamment grâce à l'emploi de la première personne du singulier dans « La vie de Marianne » de Marivaux.

De plus,en jouant sur les sentiments du lecteur comme pour la mort de Gavroche dans « Les Misérables », le romancierpermet au lecteur de développer une certaine pitié, de la tristesse pour le personnage ce qui lui permet de semettre dans la peau de l'héroïne.

Ensuite, les personnages incarnent des idées et des valeurs auxquelles le lecteurapprouve ou rejette, c'est-à-dire que certains personnages peuvent avoir des valeurs qui ne conviennent pasforcément au lecteur comme la générosité de Jean Valjean dans « Les misérables ».Ainsi, le lecteur adhère ou n'adhère pas aux opinions du héro sachant que l'écrivain fait tout pour qu'il aime oun'aime pas un personnage. Ainsi, d'autres auteurs pensent qu'il n'est pas préférable de rendre une héroïne le plus proche de la réalité.

Nousallons donc voir qui sont ces auteurs et pourquoi refusent-ils de faire oublier au lecteur que les personnages sontfictifs.En effet, certain auteurs pensent qu'ils est préférable de ne pas représenter un personnage comme une personneréelle car ils veulent mettre en garde le lecteur contre le danger de la lecture et ainsi, de ne pas sombrer, comme lehéro, dans la folie ou la tristesse.

C'est le cas du célèbre et grand ouvrage « Madame Bovary », dans lequel l'héroïnemême, Madame Bovary, sombre dans la folie et le malheur avant le suicide.

En effet, Flaubert décide de ne pasdécrire Madame bovary comme une personne réelle pour protéger, en quelque sorte, le lecteur afin qu'il ne sombrepas, lui non plus, dans le bovarysme.De plus, certains autres auteurs pensent qu'il est préférable de rendre le personnage comme la figuration d'unepersonne et en aucun cas il ne doit paraître comme une personne de la vie de tous les jours.

C'est ce que nousmontre Voltaire dans « Candide » où Pangloss « revit » après qu'il fut pendu.

Ainsi, ce philosophe ne veutabsolument pas que ses personnage paraissent réels car ce n'est point son but.

De plus Robbe Grillet pense que lespersonnage n'a pas à représenter la réalité car il ne s'agit seulement d'une histoire.En effet, Voltaire, comme d'autres auteurs, ne veulent pas que le lecteur oubli que les personnage sont fictifs car ilsveulent les mettre en garde, non pas cette fois de sombrer dans le folie et le malheur, mais les mettre en gardecontre l'histoire même du roman.

En effet comme dans « Candide », Voltaire ne veut pas que le lecteur s'attarde surles aventures et les personnages mais sur l'idée qu'il veut transmettre.

Ainsi, a travers l'ambiguïté de leurs romans,ils avertissent le lecteur. Pour finir, je vais donc expliquer le cas d'autres auteurs qui pensent qu'il est nécessaire de « marier » un roman surle réalisme et l'imagination.

En effet c'est le cas de « La princesse de Clèves » ou certains personnages sont tirés dela réalité, comme le roi Henri II tandis que l'histoire a été inventé par l'auteur.

Madame de Lafayette a donc décidéd'assembler la réalité avec l'imagination.

De plus, je vais reprendre le cas de François Mauriac dans « Le romancieret ses personnages » qui est totalement d'accord avec le principe d'associer réalité et imaginaire : “Nosprétendues créatures sont formées d’éléments pris au réel ; nous combinons, avec plus ou moinsd’adresse, ce que nous fournissent l’observation des autres hommes et la connaissance que nousavons de nous-mêmes.

Les héros de romans naissent du mariage que le romancier contracte avec la réalité.

Dansles fruits de cette union, il est périlleux de prétendre délimiter ce qui appartient en propre à l’écrivain, cequ’il y retrouve de lui-même et ce que l’extérieur lui a fourni.” le personnage fictif est avant tout une construction, une création qui est mise au service de l'imagination.

Mais unminimum d’illusion référentielle apparaît nécessaire pour éviter que la lecture ne se transforme en un simple. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles