chanter les nouvelles

« I.

Les chansons politiques, des chansons très répandues A.

Les vaudevilles – les vaudevilles sont souvent des chansons urbaines qui traitent de l'actualité.

Il y a trois groupes de chansons : les chansons dites historiques ou politiques, les cantique de Noël et les complaintes et récits d'événements tragiques tels que la mort d'un roi même si une chanson peut entrer dans plusieurs groupes à la fois. – Les chansons politiques du XVII et XVIII e siècle sont toutes des vaudevilles.

– Elles ont une importance particulière, notamment lors de grands événements sous lesquels de nombreux vaudevilles voient le jour tels que la Fronde, les guerres de religions ou encore la Révolution de 1789. – Après la mort de Louis XIV et l'affaiblissement des nombreuses censures qu'il avait instauré contre les chanteurs, les chansons politiques se multiplient. – Les vaudevilles sont définis par un chant très simple et répétitif. B.

Les auteurs et le public concerné – l'analyse des chansons politique est très difficile à cause de l'anonymat de la plupart des auteurs et de la porté des chansons qui sont inconnus.

L'anonymat était importante car les auteurs des chansons qui pousse la révolte étaient susceptibles de recevoir des représailles du pouvoir ou même de particuliers qui étaient mis en cause dans les paroles.

Il est donc assez rare de trouver des auteurs connus mais cela reste possible comme nous le verrons dans le II.

C. – Un auteur du nom de P.

Adam a effectué une analyse lexicologique dans laquelle il conclue à deux types de lexiques avec d'une part les termes familiers ou grossiers qu'on retrouve souvent dans les chansons grivoises et d'autres part les termes plus techniques appelées « termes savants ». – Les termes familiers dans les chansons ne signifient pas pour autant une origine populaire ou qu'elle provient de peuple mais peut parfois renvoyer à une imitation du langage du peuple. Cependant, ces chansons touchent plus facilement le large public et sont plus souvent chanté par les classes populaires que par les aristocrates ou les bourgeois.

– Les chansons grivoises sont un genre important notamment car elles utilisent des timbres spéciales.

Elles parlent souvent des membres de la Cour mais se pose ici aussi la question du destinataire car il est difficile de déterminé si elles étaient destinés au peuple ou aux élites. – Il faut toujours se méfier des paroles et ne pas en tirés de conclusions sans savoir qui est l'auteur des paroles et à quel public cette chanson était destinée. C.

Thèmes principales et étude du timbre – L'étude du timbre est nécessaire à la compréhension d'une chanson : il ne suffit pas d'étudier les paroles pour comprendre le sens d'une chanson, par exemple l'ironie est souvent visible qu'à l'écoute grâce à des procédés musicaux et ne se voit donc pas à la simple lecture.

Le timbre n'a pourtant constitué presque aucunes études de chercheurs. – Certains timbres sont très souvent utilisés et perdurent sur les siècles, par exemple le timbre O filii et filia est l'un des plus anciens utilisés pour les vaudevilles, notamment depuis le XVI e siècle.

Il est toujours composé du mot « Alleluia » dans le refrain sans pour autant que la chanson soit une chanson religieuse.

Ce timbre est très connu, par exemple, il a été l'un des principaux support lors de la Fronde et de la journée des barricades.

Ce timbre est. »