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Femmes présidentes

Publié le 27/11/2012

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Verónica Michelle Bachelet Jeria (née le 29 septembre 1951 à Santiago du Chili), est une femme politique chilienne, de sensibilité socialiste qui a exercé les fonctions de présidente de la République du Chili pour un mandat de quatre ans (suite à la révision de la Constitution chilienne de septembre 2005), du 11 mars 2006 au 11 mars 2010. Elle a été ministre de la Santé puis ministre de la Défense dans les gouvernements nommés par le président Ricardo Lagos. Michelle Bachelet, divorcée de Jorge Dávalos, est mère de trois enfants. Outre l'espagnol, elle parle couramment l'anglais, l'allemand, le français, un peu le portugais et possède quelques notions de russe. En 2006, elle est classée comme la 17e femme la plus puissante au monde par le magazine Forbes. En 2007, elle est classée 27e. Le 23 mai 2008, Michelle Bachelet est élue par ses pairs présidente de l'Union des Nations sud-américaines pour une durée d'un an. Michelle Bachelet est à la tête de l'ONU Femmes depuis le 14 septembre 2010. Michelle Bachelet a adhéré au Parti socialiste dans les années 1970. Elle est devenue membre de son comité central en 1995 et, de 1998 à 2000, fut également membre du bureau politique. En 1996, sous les couleurs socialistes, elle se présenta aux élections municipales à Las Condes, dans la banlieue de Santiago, mais n'y obtint que 2,35 % des suffrages. Le 11 mars 2000, elle fut nommée ministre de la Santé par le président Ricardo Lagos puis, le 7 janvier 2002, ministre de la Défense, devenant la première femme à occuper ce poste en Amérique latine. Au cours de l'année 2004, constatant sa brusque hausse de popularité dans les sondages d'opinion, et avec les encouragements implicites du président Lagos, Michelle Bachelet décida de se présenter à l'élection présidentielle devant se tenir le 11 décembre 2005, et démissionna du gouvernement afin de préparer sa campagne. Une élection primaire aurait normalement dû se tenir, au sein de la Concertation, afin de désigner le candidat unique des quatre formations coalisées. Toutefois, sa seule rivale potentielle, la démocrate-chrétienne Soledad Alvear, ancienne ministre dans les deux derniers gouvernements de la Concertation, se retira de la course en raison d'un manque de soutien au sein de son propre parti et de sa faible cote de popularité dans les sondages. Les principaux rivaux de Michelle Bachelet, pour le premier tour de l...

« socialiste du Chili (PSC, Partido Socialista de Chile ), le Parti pour la démocratie (PPD, Partido por la Democracia ), le Parti radical social-démocrate (PRSD, Partido Radical Socialdemócrata ) et le Parti démocrate-chrétien du Chili (PDC, Partido Demócrata Cristiano de Chile ). Michelle Bachelet devient la cinquième femme parvenue à la magistrature suprême en Amérique latine , après Isabel Martínez de Perón (présidente de la Nation argentine de 1974 à 1976 ), Lidia Gueiler (présidente de la République de Bolivie de 1979 à 1980 ), Violeta Chamorro (présidente de la République du Nicaragua de 1990 à 1997 ), et Mireya Moscoso (présidente de la République de Panama de 1999 à 2004 ) et la quatrième en Amérique du Sud après les deux premières citées et Janet Jagan (présidente de la République coopérative de Guyana de 1997 à 1999 ). Les femmes de pouvoir dans le monde Avec l'élection de Dilma Rousseff au Brésil, dix femmes exercent désormais un mandat présidentiel à travers le monde.

Sept autres occupent un poste de Premier ministre, qui n'en est pas moins important.

Revue de détail.

Par Ségolène ALLEMANDOU (texte) Avec l’élection de Dilma Rousseff à la présidence du Brésil , 10 femmes dirigent désormais un pays à travers le monde.

L’Europe tient le haut du pavé en la matière, avec quatre présidentes : Tarja Halonen en Finlande, Mary McAleese en Irlande, Doris Leuthard en Suisse et Dalia Grybauskaitė en Lituanie .

Vient ensuite l’Amérique latine avec Dilma Rousseff au Brésil donc, mais aussi Cristina Kirchner en Argentine et Laura Chinchilla au Costa Rica .

L’Asie arrive en troisième position, avec deux présidentes : Roza Otounbaïeva au Kirghizstan et Pratibha Patil en Inde.

Enfin, l'Afrique ferme la marche avec une seule femme à la tête d'un État, Ellen Johnson Sirleaf au Liberia.

Celle-ci fut la première femme élue au suffrage universel à une telle fonction sur le continent. Dans leurs pays respectifs, ces présidentes sont, pour la plupart, des pionnières, à l’exception de Doris Leuthard, troisième femme à occuper cette fonction en Suisse, et de Mary McAleese, qui a succédé à Mary Robinson en Irlande.

En Argentine, Cristina Kirchner est certes la deuxième femme. »

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