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Commentaire de Texte de BUTOR. Extrait du Jeudi 1 Mai, de la page 9 « Les lueurs se sont multipliées » à la page 11 «  […] discerner aucun détail ».

Publié le 02/07/2012

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« Bleston Hamilton Station «, la valise étant un vestige de l'ancien monde. Cependant, ce ne sont que des signes visibles de la ville, des signes pouvant être influencés par la nuit, l'humidité et l'obscurité, donnant un air lugubre au lieu. C'est alors qu'intervient la matière âcre de la ville, lorsque le narrateur-personnage prend une « longue inspiration « (p.10) et que l'air lui paraît « amer, acide, charbonneux, lourd comme si un grain de limaille lestait chaque gouttelette de son brouillard « (p.11). Cet air révèle ce qu'est cette ville : un enfer. Un enfer auquel le '' héros '' du roman est « condamné pour tout un an «. Cette ville lui apparait donc comme sale, lugubre, sournoise, pesante, envahissante. Il sait qu'il ne peut faire demi-tour, car « un immense fossé me séparait des événements de la matinées et des visages qui m'étaient le plus familiers

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