De quelles manières une œuvre littéraire peut-elle inciter un lecteur à réfléchir sur le monde qui l’entoure ?

« vit.

Il peut donc dénoncé des actes qui se passent dans sa génération et donc leur écrit vont être d’actualité pour tous les lecteurs.

Ce sont souvent des autobiographies mais pas seulement.

L’auteur utilise des dialectiques et emploi ainsi la première personne du singulier.

Par exemple, dans le roman de Benvenuto Cellini, Vie de Benvenuto Cellini, le romancier donne son point de vue sur l’époque à laquelle il vie grâce a une autobiographie.

Il y explique comment il perçoit la vie.

Dans le texte de Alphonse de Lamartine, Mémoires de jeunesses, l’auteur raconte sa jeunesse quand il était dans une pension, la ou le personnage M.

Philippe, détesté des pensionnaires, est professeur.

On peut ainsi deviner la cruauté qui se cachai dans ces endroits la.

Ces auteurs peuvent donc dénoncer des actes grâce à leurs vécus.

Dans leurs œuvres ils peuvent donc utiliser la comparaison pour mieux heurter la sensibilité de l’auteur et donc le faire réfléchir sur deux aspects de la vie.

C’est ce que fait Victor Hugo par exemple dans son roman Choses vues, il utilise le parallélisme qui consiste à juxtaposer ou à coordonner deux phrases ou membres de phrase ayant une structure identique.

Le parallélisme est souvent fondé sur une antithèse.

Dans son texte, Hugo compare dans un premier temps le pauvre qui vole les riches, puis dans un deuxième temps, le riche qui vole les pauvres.

Il aligne donc l’injuste qu’il y a pu avoir à son époque et la écrit pour le faire communiqué à tous les lecteurs.

Les auteurs dans leurs œuvres peuvent aussi faire appel à de l’ironie, à des exclamations ou des modélisateurs comme dans l’extrait du roman de Jules Vallès, L’enfant , où il raconte son enfance, le moment ou il vit une petite fille se faire tuer devant lui.

Par la suite dans son roman il explique bien qu’il a écrit ce passage pour toutes les petites luisette qui se font battre, pour tout les « sans paroles ».

Ainsi il dénonce la maltraitance que lui -même à vécut dans son enfance.

Les œuvres servent à dénoncer des actes passé pour les faire partagé aux lecteurs et donc les sensibilisé à ce qui se passe dans leur monde.

Pour cela ils ont différents moyens des les faires véhiculés.

Soit par la force argumentation ou par la comédie.

S’ils sont témoins de leur époque, ils peuvent mieux dénoncer les faits. Les auteurs utilisent des personnages qui se rapprochent ou s’éloignent de ce que nous sommes dans notre monde.

En effet, les écrivains inventent leurs personnages ou s’inspirent de personnages déjà existant.

Ils peuvent décider de leurs associer la mentalité qu’ils veulent.

Ainsi, l’auteur décide de lui donner une mentalité identique au monde dans lequel il vit ou au contraire donner une mentalité qui est hors de son époque ou de son monde.

Certains auteurs font appel dans leurs œuvres à des personnages très proches de la mentalité des personnes du monde dans lequel ils vivent.

Cela fait réfléchir le lecteur à sa façon de penser.

Par exemple dans Le Père Goriot de Balzac, on observe cela dans le personnage qui ce prénomme Eugène de Rastignac.

C’est un jeune homme qui est ignorant et naïf, mais malgré cela il cite Chateaubrillant, il a de la maturité mais ignore les règles de la haute société parisienne.

Il nous amène à nous poser la question si les jeunes d’aujourd’hui ne sont pas comme ça.

En effet, nous ne métrisons pas les règles de la société parisienne, nous ne sommes pas nobles et pourtant nous voudrions volontiers en faire partie.

Cela nous fait réfléchir car réussir dans la vie n’est-il pas notre projet dès notre plus jeune âge ? Cela reflète donc la mentalité des gens de chaque époque.

En effet, Les misérable de Victor Hugo est aussi un exemple d’un écrivain qui écrit la mentalité et la vie de son époque.

Ce sont des romans qui ne sortent pas de leurs époques.

A l’inverse, l’auteur peut décider d’écrire une œuvre avec une mentalité d’une autre époque.

Cela peut faire réfléchir le lecteur car il comparera donc la mentalité de son époque avec celle que décrit l’auteur dans son écrit. Dans les mémoires d’Hadrien de Marguerite Yourcenar, l’auteur rédige les mémoires qu’aurait pu écrire Hadrien, empereur romain qui régna de 117 à 138.

L’écrivain à écrit cette œuvre en 1951 et son histoire ce passe à l’époque romaine.

Ce n’est donc pas du tout la même époque.

Il y a donc un décalage entre les pensées du XXI. »