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Devoir Maison – Entraînement au commentaire – Le Châtiment de Tartufe

Publié le 31/01/2025

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« Devoir Maison – Entraînement au commentaire – Le Châtiment de Tartufe Plan : I) Le portrait en mouvement d’un personnage grotesque A.

Une structure dynamique et mouvementée B.

La description d’un personnage grotesque II) Un personnage demasqué et châtié A.

Hypocrite masqué sous le voile de la religion B.

Le chatiment et la mise à nu Arthur Rimbaud naît au milieu du XIXe siècle à Charleville-Mézières, fils d’une mère stricte dont la morale s’appuie sur des préceptes religieux fort chrétiens.

Cependant, les idées de Rimbaud s’opposent à ces principes dès le jeune âge, ce qui l’encourage à fuguer.

L’unes des caractéristiques principales attribuées à ce poète est sans doute « révolté », ce qui explique la subversion que suscitent nombreux de ses poèmes ainsi que son désir de réécrire les conventions de son époque.

Dans le sonnet « Le Châtiment de Tartufe », publié en 1870, Rimbaud s’inspire du personnage illustre de Molière, qui eut subit la censure deux siècles auparavant.

Le jeune poète, à travers ce poème, dénonce l’hypocrisie religieuse et aristocratique de l’époque.

Nous pourrons dès lors nous demander, comment Rimbaud dépeint le portrait dynamique d’un personnage grotesque afin de dénoncer l’hypocrisie de la religion en démasquant et châtiant ce dernier.

Nous étudierons cela à travers le portrait en mouvement d’un personnage grotesque ainsi que le châtiment subit par celui-ci lorsqu’il est démasqué. I) Le portrait en mouvement d’un personnage grotesque A.

Une structure dynamique et mouvementée B.

La description d’un personnage grotesque Dans ce sonnet, Arthur Rimbaud procède à démasquer l’hypocrite Tartufe qui dissimule ses pêchés sous le voile de la religion.

Dès les premiers vers, nous pouvons identifier une opposition.

Tartufe à un « cœur amoureux », mais il le cache « sous sa chaste robe noire ».

La préposition « sous » est employée par le poète pour nous montrer que ses désirs amoureux sont recouverts d’une « chaste robe noire », or la passion s’oppose à la chasteté.

La cachoterie est d’avantage accentué par « la main gantée », qui laisse deviner quelque chose de malhonnête.

De plus, lorsqu’il enseigne la foi, il est caractérisé de « jaune » avec une « bouche édentée », « bavant la foi ».

Cela rapproche le dégoût et la répugnance, d’une pratique traditionnellement sacrée, ce qui inspire le doute dans sa manière d’aborder la prière.

Dans le prochain vers, il prononce le mot « Oremus », en latin « prions » avant d’être interrompu par « un Méchant ».

Ce Méchant.... »

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