Devoir sur Lamartine
Publié le 18/11/2012
Extrait du document


«
4 e
strophe : Après la présentation de la mortalité du poète, apparait l’immortalité de l’image de la
femme aimée.
1 er
vers : « mais » opposition, conflit, tension entre les amants : la jeune femme apparaît pleine de vie
alors qu’elle est morte et lui qui est vivant se présent comme mort.
2 e
vers : il se complet à se plaindre de sa solitude car elle lui permet d’embellir l’image de la femme
aimée.
3 e
vers : le souvenir de la femme aimée est immortel.
4 e
vers : à nouveau comparaison avec l’âme, symbole de l’éternité.
-Deux A ouvert qui portent l’accent d’intensité dans la strophe : a de chants religieux, volonté
d’ascension, dimension supérieure de la femme humaine.
5 e
strophe : Volonté que l’image soit toujours présente au poète.
1 er
vers : Deux négations non et tu n’as pas : volonté de ne pas oublier l’image de la femme.
12 e
strophe : Le poète entend la femme aimée.
1 er
vers : tandis que : contradiction qui par la suite va mettre en avant la voix de la femme aimée.
2 e
vers : « si » qui va introduire une hypothèse + verbe de perception « entendre » la femme aimée
apparaît pour le poète à travers des éléments naturels « la terre », « le vent ».
3 e
vers : verbe de perception « entendre » , le poète se rapporte à la femme aimée, il pense l’entendre
murmurer comme si elle était vraiment présente.
Il imagine, sorte de rêverie.
« j’ » : apparition du
poète.
4 e
vers : mots qualifiés de « sacrés » marque l’importance de la femme, tout ce qu’elle pourrait lui dire
est important, elle veille sur lui et le guide par ses mots sacrés.
Strophe 13 : Perception céleste de la femme aimée par le poète.
1 er
vers : ces feux épars : sont les étoiles.
Verbe « admirer » qui montre son élévation céleste.
2 e
vers : le voile : le zéphyr.
3 e
vers : réapparition du poète « je » , verbe de perception « voir » , apparition de la femme aimée dans
chaque étoile : donc femme aimée éparpillée dans tout le ciel, comme si elle était le centre de
l’univers.
4 e
vers : répétition du pronom relatif « qui » : qui marquent d’autant plus l’admiration qu’il porte aux
feu épars dans lesquelles il perçoit la femme aimée.
« le plus » : superlatif qui montre qu’elle
représente tout pour lui.
14 e
strophe : La femme est de plus en plus présente et de plus en plus proche du poète.
1 er
vers : « et si » montre encore que c’est une hypothèse : il imagine / rêve.
2 e
vers : verbe de l’odorat « enivrer » : enivrer montre aussi l’emportement du poète, « parfum des
fleurs » : odorat.
3/4e vers : odeurs qualifier de suaves : mélioratif : odeur délicieuses, agréable.
Parfum dans ces
agréables odeurs c’est le souffle de la femme aimée qu’il respire, elle vit en lui, son élévation céleste
progresse encore.
15 e
strophe : La femme aimée se matérialise, elle est présente physiquement..
»
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