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Dissertation : peut-on aimer un roman si on ne se retrouve pas dans le personnage ?

Publié le 06/10/2018

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Le point de vue interne est un récit à la troisième personne qui nous fait \"rentrer\" dans les pensées du personage mais aussi dans sa façon de voir et de sentir, ceci cré une proximité avec lui comme dans Stupeur d'Amélie Nothomb qui est un roman autobiographique où les sentiments de la jeune fille sont bien présentés, comme son envie de réussir au Japon qui est le pays qu'elle aime.

 

Il y a un intérêt croissant des lecteurs pour les biographies de personnes célèbres et autobiographies car on peut s'identifier à une vraie personne et si elle est célèbre, c'est encore mieux car on peut se prendre pour elle.

 

Un roman est obligé d'avoir des personnages, ce sont eux qui font avancer l'histoire nous inspire des émotions, des sentiments, qui déclenchent des enchainements. On devient aventurier et on vit avec les personnages les péripéties comme dans Voyage au centre de la terre de Jules Vernes . Le fait que le héros surmonte des obstacles que le lecteur pense ne pas pouvoir surmonter lui inspire un certain respect envers ce héros.

Parfois l'identification au personnage n'est pas possible pour le lecteur car le personnage est soit :

 

trop vieux , trop différent par ses opinions. Le personnage incarne le mal absolu ou l'abscence de moral/d'humanité , le

 

personnage est alors sans qualité.

 

Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein de Mary Shelley sont plus problématique dans la mesure où on ne peut s'identifier ni à un monstre (qui malgrès tout s'humanise avec le temps), ni à un savant qui est obsédé par ses recherches. Dans ce cas l'identification représente le côté obscur de l'homme. Le lecteur peut ne pas être du même avis que le personnage, si il ne fait pas les actions que le lecteur aurait fait comme dans Les Bienveillantes de Jonathan littell où il s'agit des mémoires d'un personnage fictif qui a participé aux massacres des nazis.

« intelligence rare. Dans Orgueil et préjugés de Jane Austen, on vit pour les histoires d'amour vécues par les jeunes Benette et ressent les mêmes émotions qu'Elisabeth, l'héroine. Le point de vue interne est un récit à la troisième personne qui nous fait "rentrer" dans les pensées du personage mais aussi dans sa façon de voir et de sentir, ceci cré une proximité avec lui comme dans Stupeur d'Amélie Nothomb qui est un roman autobiographique où les sentiments de la jeune fille sont bien présentés, comme son envie de réussir au Japon qui est le pays qu'elle aime.

Il y a un intérêt croissant des lecteurs pour les biographies de personnes célèbres et autobiographies car on peut s'identifier à une vraie personne et si elle est célèbre, c'est encore mieux car on peut se prendre pour elle. Un roman est obligé d'avoir des personnages, ce sont eux qui font avancer l'histoire nous inspire des émotions, des sentiments, qui déclenchent des enchainements.

On devient aventurier et on vit avec les personnages les péripéties comme dans Voyage au centre de la terre de Jules Vernes .

Le fait que le héros surmonte des obstacles que le lecteur pense ne pas pouvoir surmonter lui inspire un certain respect envers ce héros.

Parfois l'identification au personnage n'est pas possible pour le lecteur car le personnage est soit : trop vieux , trop différent par ses opinions.

Le personnage incarne le mal absolu ou l'abscence de moral/d'humanité , le personnage est alors sans qualité. Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein de Mary Shelley sont plus problématique dans la mesure où on ne peut s'identifier ni à un monstre (qui malgrès tout s'humanise avec le temps), ni à un savant qui est obsédé par ses recherches. Dans ce cas l'identification représente le côté obscur de l'homme.

Le lecteur peut ne pas être du même avis que le personnage, si il ne fait pas les actions que le lecteur aurait fait comme dans Les Bienveillantes de Jonathan littell où il s'agit des mémoires d'un personnage fictif qui a participé aux massacres des nazis. Le personnage n'est souvent pas assez complexe ce qui rend l'identification au personnage plus difficile comme pour le personnage secondaire qui est moins épais donc il a moins d'identification.

Le roman risque de moins nous plaire si le personnage est plât comme on peut le voir dans le personnage secondaire car ils sont moins complexe.

Dans l'Etranger de camus le personnage est trop écarté de la société pour que l'on puisse s'dentifier à lui. Si un personnage est trop stéréotypé, comme une influence pétrarquiste ou personnage de compte comme la belle princesse, le méchant ou encore le géant, on a du mal à s'identifier à ce personnage trop parfait et sans défaut.

Dans Gargantua de Rabelais le personnage est tiré de la mythologie francaise et il fait référence au géant. Si le personnage est mauvais sous l'apparance d'un meurtrier, on ne peut pas s'identifier à lui car se mettre dans la peau d'un meurtrier n'est pas facile comme dans Le Rouge et le Noir de Stendhal, mais ce n'est pas pour autant que l'on ne peut pas apprécier le roman. Le lecteur peut, pour s'évader de la réalité s'identifier à des personnages de fictions qui ne refléte pas la vrai vie, mais le fait de s'identifier à des personnages se fait naturellement sans qu'on sans rende compte.

L'auteur fait surement en sorte que l'on veuille s'identifier au personnage tellement il est idyllique, le fait que le héros est des facultés surnaturels peut nous faire envier ce personnage si parfait.

Comme nous l'avons vu, le personnage principal a des particularités qui permet au lecteur de s'identifier a lui.

Cependant,. »

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