en quoi Le texte 1 se distingue-t-il des autres du corpus ?

« &ft! w: 1 'Ill: t-l z: .

' w: ' z: Zi o: u: 1 1 ~n: Ill': -: L: 1 o: 1 u: 1 1 1 1 1 1 1 pour être éclairante (quel com­ portement?).

lü) [analyse est insuffisante.

Il faudrait également étudier le temps des verbes par exemple.

11) [exemple est mal choisi car ce verbe se trouve dans un pas­ sage au discours direct.

Il s'agit d'un impératif 1 12) Vocabulaire.

Ce qui caracté­ rise un récit, ce n'est pas le dérou­ lement logique, mais l'enchaî­ nement chronologique.

13) On comprend mal pourquoi vous laissez de côté le texte 2, puis les textes 2 et 3, alors que la dé­ monstration pourrait se faire tout aussi aisément.

14) Vous aviez annoncé une étude de la forme et de la struc­ ture, or, vous n'avez analysé que la forme du discours, ce dont rend compte votre conclusion.

Attention aux effets d'annonce 1 15) Il aurait fallu expliquer davantage et commenter les cita­ tions : les fables ont un double objectif (instruire et plaire) et elles mettent en scène des per­ sonnages allégoriques (les ani­ maux adoptent des comporte­ ments humains).

16) Cette phrase de conclusion récapitule bien votre démonstra­ tion et met en lumière l'essentiel.

également présente.

du vers 2 5 au vers 31.

Hugo explique le comportement de l'ogre et donne un conseil aux lecteurs (v.

25 «Or c'était mala­ droit».

v.

2 8 « Que l'exemple vous serve: aime:z.

mais SO!Je:Z fin»).

Pourtant.

les textes 2.

3 et ~ sont essentiellement narratifs.

Ils sont en effet composés d'une morale et d'un exemple qui illustre cette morale.

Nous le VO~JOns grâce aux temps du récit.

présent de narration (dans le texte 2.

v.

18 : « A ffends -moi.

je te suis »11 : dans le texte ~.

v.

5 : «peigne» : v.

6 : « se présente») et passé simple (dans le texte 3.

v.

1 : «survint»: v.

3 : « vint»).

Ce sont des récits brefs qui suivent un déroulement logique 12 .

avec d'abord la présen­ tation des personnages (texte ~ : « Un brave ogre [ ..

.)/[...] d'une fée».

v.

1-2 : texte 3 : «Deux coqs ».

v.

113) et la situation initiale (texte ~ : « L'ogre [.

..

]/Se présente au palais de fa fée».

v.

5-6).

puis une péripétie (v.

16 «L'ogre se mit alors à croquer fe marmot») et enfin une situa­ tion finale (v.

2~ «Le bon ogre naif fui dit "Je f'ai mangé"»).

Nous avons donc vu que les textes 2.

3 et ~ sont narratifs et explicatifs.

alors que le texte 1 n'est qu' explicatifH Nous allons maintenant voir que le texte 1 se distingue des autres par son enJeU.

Ce texte a pour but d'expliquer au fils du roi (v.

11 « te dira».

v.

13 « t'entretenir»).

mais aussi aux autres lec­ teurs.

le rôle (v.

6 «pour instruire les Hommes».

v.

~ « légères peintures») et le fonctionnement (v.

~ « Tout parie en mon ouvrage».

v.

6 « Je me sers d'animaux») des fables.

La Fontaine explique pourquoi et comment il écrit ses fables 1s Dans les autres textes.

cette définition est appli­ quée : ce sont des fables qui ont pour but de donner un conseil (dans le texte 3 : «Défions­ nous du sort.

et prenons garde à nous».

v.

31) ou de dénoncer un comportement (dans le texte 2 : « Aux soupirs vrais ou faux ceffe-fà s'abandonne».

v.

10).

Ainsi, le texte 1 définit les fables.

alors que les textes 2.

3.

~ sont des fables.

qui appliquent cette définition 1 6 L-----------------------------------------------------------------------\ ------------. »