Devoir de Philosophie

Trafalgar square la nuit

Publié le 29/12/2022

Extrait du document

« “Trafalgar square la nuit”, Les poésies de A.O.

Barnabooth, Valéry Larbaud, 1913 1.

Ne sens-tu pas, jeune mendiante, qu'il est beau, 2.

Que c'est une chose précieuse, d'être là, 3.

Errant dans ce désert architectural 4.

Au milieu de la plus grande ville du monde, sous les astres 5.

Perpendiculaires, astres malins, clignotants, 6.

Réverbères embués de la cité céleste? 1.

Ne songe plus à ta faim, mais joue 2.

A deviner les lions couchés dans le brouillard bleu, 3.

Au bord des terrasses d'eaux noires où stagnent 4.

Les livides reflets des globes électriques... 1.

Viens! je suis une fée, je t'aime, tout à l'heure 2.

Tu auras un festin dressé pour toi seule et des fleurs dans ta voiture; 3.

Viens seulement contempler encore quelques instants 4.

La grande chose nocturne, plus belle 5.

Que les déserts et que la mer, et que les fleuves des tropiques 6.

Roulant dans la splendeur lunaire; 7.

Oh, regarde en silence, te pressant contre moi, 8.

Femme dédiée à la ville ! Problématiques: 1.En quoi l’auteur révèle-t-il un paysage inconnu? 2.

Comment le poète met en place tout un paysage transfiguré? 3.Comment l’auteur nous ouvre les portes d’un monde poétique? 4.

Comment le poète transfigure-t-il la ville sous un angle poétique? 5.Vers quoi mène la transfiguration du paysage nocturne ? découpage: 1.

Un paysage révélé / La beauté d’un monde inexploré (v1 à 6) —>1) Un instant précieux (1à3).

2) Un panorama lumineux 1.

Un discours méta poétique (v7 à 10) —> 1) La contemplation ludique (7à8).

2) kijk (9à10) 1.

L’invitation du poète (v11à 18) —> 1)jkkj (11à12).

2) la celebration de la nuit et de la femme(13à18) —>vers libre + élément modernité (apo) Registre: lyrisme: marque du “je”(1ere personne) phrase interrogatif didactique, fantastique 1.1 un instant car : une chose … d’être là .

et précieux car une chose précieuse 1.2 mots clés: panorama 2.1 jeu —> ludique certes il ya un coté ludique deviner 3.1 déclaration ambiguë Topos: nuit, balade, rencontre Cela propose un poème marquant qui montre tous les aspects de la poésie.

Il y a un partage de la langue avec le lecteur.

C’est une réflexion a travers le discours sur cette meme poésie: —> réflexion philosophiquement.

C’est la poésie qui parle d’elle même. L’auteur nous donne une leçon de vie et nous explique comment on doit utiliser la poésie : c’est un discours méta poétique Analyse stylistique Le poème n’a pas de forme classique, vers non structuré, aucun rime.

—> structure libre Poème du surréalisme et du symbolisme du 20ème siècle. On a la clameur et le soupir de la sonorité du texte APPRENDRE COLONNE DU SURRÉALISME ET SYMBOLISME. 1 ere partie: phrase tres longue l’auteur ne veut pas finir sa phrase.

Il a besoin de dire les choses. 1.1 v1: question indirecte—> interronégative —> “ne sens tu pas,..,qu’il est beau” Il est en extase, qu’il est beau est rejetter Le lecteur connait directement la situation de la jeune femme qui est présente avec le narrateur —> elle est sans domicile fixe “jeune mendiante” V2/ on remarque une opposition qui est ironique ici car le narrateur parle d’une chose précieuse alors que la mendiante elle n’a rien et pour elle se qui est le plus précieux est matériel comme l’argent ou la nourriture précieux —> champs lexical de la beauté d’être là: rejoint a qu’il est beau v1 v3 errant … —> rejoint qu’il est beau v1 ` “desert architecturale” —> oxymore car dans un desert on y trouve rien alors que architecturale désigne le style des bâtiments —> peut être que c ce desert architecturale qui est précieux pour le narrateur 1.2: l’auteur utilise des termes scientifiques v4: L’oxymore se contraste car désert a la ligne 3 est encore remis en cause par “au milieu de la plus grande ville du monde.

—> est aussi une hyperbole périphrase avec v 6 cité céleste V5/ parallélisme astre et réverbère astre malin, clignotant : les deux se rejoignent V6 cité celeste : Londre qui est transfiguré par la lumière et le poète Dans c elements qu’il vole et utilise il reconstitue l’image: jeu perpétuel Recompose le réel 2: V7: ne songe plus a ta faim: impératif mais joue: impératif —> le poète joue avec le reel il joue a deviner On est dans un cadre sans couleur (noir) V8: “brouillard bleu”—> métaphore pour symboliser la nuit Ce poème est un tableau picturale avec sa palette de couleur —> travail picturale très particulier instant vivant Ce qui est dit n’est pas ce qui est décrit: on utilise pas les mot basique mais on dit des choses avec les figure stylistique C’est un jeu de ts les sens V9: V10: il faut être sensible a cette ponctuation : “…” aposiopèse marque un silence marquant une hesitations de la suite de la phrase + un émerveillement V11: “Viens!” La mendiante n’est pas en confiance donc le poète est insistant On pourrait meme constaté que l’invitation qu’on pense est en fait de l’insistance. On a aussi l’impression que l’insistance du poète est aussi une forme de chantage car juste.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles