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La mort n'est pas une fin

Publié le 09/01/2015

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Hydrie d'Hadra L es hydries d'Hadra doi-vent leur nom au village d'Hadra, situé près d'Alexan¬drie, où a été mise au jour une gigantesque nécropole grecque. Si la plupart des hy-dries retrouvées sur le site provenaient des ateliers de potiers crétois, d'au¬tres étaient des imita¬tions fabriquées par un atelier égyptien d'Alexandrie appelé « atelier du laurier » (du nom de la cou-ronne de laurier fi¬gurant sur le col du vase). Le vase présenté ici (38 cm de hauteur, 24 cm de diamètre), prêté par le musée d'Archéo-logie méditerranéenne >, de Marseille, sort précisé¬ment de l'atelier égyptien d'Alexandrie et date de la période allant de 240 à 220 avant J.-C. Cet atelier égyp¬tien, qui voulait profiter de la popularité des hydries de Ha-dra, n'eut que quelques dé¬cennies d'existence avant de céder face au perfectionnis¬me des potiers crétois. La dif¬férence entre les deux tech¬niques saute effectivement aux yeux : la pâte est plus grossière, la surface n'est pas polie, le décor est plus rus¬tique et maladroitement ap¬pliqué. Il n'en reste pas moins

« drape est jaune.

Ses pieds re­ posent sur un tabouret ocre foncé.

Le petit gar çon (certai­ nement son fils) est tête nue .

Ses cheveux courts sont brun­ roux .

Il porte une tunique et un manteau enroulé autour de son bras gauche .

Hydr ie d ' Hadra L es hydries d'Hadra doi­ vent leur nom au village d'Hadra, situé près d'Alexan­ drie, où a été mise au jour une gigantesque nécropole grecque.

Si la plupart des hy­ dries retrouvées sur le site provenaient des ateliers de potiers crétois, d'au­ tres étaient des imita­ tions fabriquées par un atelier égyptien d'Alexandrie appelé « atelier du laurier» (du nom de la cou­ ronne de laurier fi­ gurant sur le col du va se).

Le vase présenté ici (38 cm de hauteur, 24 cm de diamètre} , prêté par l e musée d'Archéo­ logie méditerranéenne de Marseille, sort précisé ­ ment de l'atelier égyptien d'Alexandrie et date de la période allant de 240 à 220 avant J.-C.

Cet atelier égyp­ tien, qui voulait profiter de la popularité des hydries de Ha­ dra, n'eut que quelques dé­ cennies d'existence avant de céder face au perfectionnis­ me des potiers crétois.

La dif­ férence entre les deux tech­ niques saute effectivement aux yeux : la pâte est plus grossière, la surface n'est pas polie, le décor est plus rus­ tique et maladroitement ap­ pliqué.

Il n'en reste pas moins. »

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