Devoir de Philosophie

bio 431 polytechnique: biodiversité et écologie

Publié le 29/05/2021

Extrait du document

?BIO 431 : biodiversité et écologie : I) Les enjeux de la Biodiversité : Conception dynamique != statique d?une librairie. Indispensable pour l?homme. II) Des mythes présocratiques au paradigme darwinien : Lamarck : transformisme : loi de la modification de l?organe par la modification des besoins et des habitudes et loi de l?hérédité du caractère acquis. Révolution darwinienne : 1835 : interprétation de l?évolution comme modification graduelle des espèces orientées de manière prédominante par un processus de sélection naturelle opérant sur un champ de variation intra-populationnelle : Variabilité au sein d?une espèce (différences légères individuelles) Naissance des individus : géométrique = plus que ce que les ressources naturelles peuvent nourrir : seul un petit nombre peut survivre. Ceux qui survivent ont des caractéristiques avantageuses : sélection naturelle à partir de la variabilité naturelle ; Transmission des avantages à la descendance. Attention : il faut que les évolutions aient lieu dans les cellules germinales. Mendelisme : caractère héréditaire = entité transmises indépendamment les unes des autres, influencées ni par l?hybridation ni par l?environnement. Génétique : mutation conséquences importantes si dans un promoteur ou gène important/duplication de gène puis évolution différente du double : formation d?allèle. III) Les forces évolutives et la génétique des populations : Génome : ensemble du matériel génétique Génotype : combinaison des allèles. Homozygote (AA) ou hétérozygote (Aa) Fréquence génotypique : freq des différents génotypes ; l?ensemble = structure génotypique Fréquence allélique : freq des allèles, l?ensemble= structure allélique : important pour le généticien car ce sont les allèles qui engendre les génotypes. Cas de Hardy-Weinberg : H1 : panmixie : les gamètes s?associent au hasard par rapport au gène considéré H2 : la population a une taille infinie : fréquence d?un événement = pba (loi des gN) H3 : freq des gènes non modifiée d?une génération à une autre pas la mutation, le tri sélectif et la ...

«  Régime fermé : taux d’hétérozygote < 2pq : Autogamie : autoreproduction : un Aa donne ½ de Aa et ½ de AA + aa : tend vers une population d’homozygotes Consanguinité : autogamie plus légère Homogamie : union entre ind phénotypiquement semblables, pareil. Proportion F d’hétérozygotes en moins = structure de Wright.  Régime ouvert : taux d’hétérozygotes>2pq : Hétérogamie : assemblage avec des individus génotypiquement différents. Les pressions évolutives : - Le hasard lié a un effectif fini : dérive génétique : agit toujours.

Goulot démographique : effectif très faible d’une population : perte de la diversité allélique.

Ex : effet fondation. - La sélection : w=f.v (w : valeur sélective d’un génotype, v : viabilité : pba pour un zygote ayant ce génotype d’atteindre l’age de fertilité, f : le nombre moyen de zygote qu’il laisse à la population suivant) avec donc Interpréter en fonction de deltap supérieur ou pas à 0 : augmentation ou non de p en fonction de w1, w2, w3. - La mutation : calcul pour diviser par 2 la fréquence d’un gène : 15 millions d’années : négligeable comparée aux autres pressions évolutive mais seule source de nouveaux gènes. - La migration : passage d’un gène d’une population à une autre (traverser l’océan) : homogénéiser les fréquences alléliques. Déséquilibre de liaison : certains allèles de locus différents ne sont pas associés au hasard dans un population (les noirs/Rh->blancs/Rh-).

Mais Hardy Weinberg dit que déséquilibre tend à se résorber : explication pour contredire : autostop génétique : B1 rofite de sa forte liaison avec A1 sélectionné. Polymorphisme : coexistence dans une population de 2 formes discontinues ou davantage dans des propostions telles que le plus rare ne peut être maintenue par la mutation récurrente. Fardeau génétique : diminution de valeur sélective d’une population due au maintien d’individus ayant des valeurs sélectives différentes. Théorie neutraliste : si que sélection : disparition du polymorphisme et une seule allèle domine au mutations près.

Effet en équilibre avec la dérive génétique permet le polymorphisme IV) La théorie des jeux : Jeux à somme nulle : on gagne ce que perd l’autre.

Règle du minimax : on joue ce qu’on gagne le plus lorsque l’autre joue le mieux qu’il peut. Jeux à somme non nulle : dilemme du prisonnier (stratégie stable : équilibre de Nash et stratégie optimale : optimum de Paretto). »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles