la conscience

« de se états et de ses actes.

Et le dernier défini le sens moral du mot qui explique la capacité de formuler des jugements moraux, sur le bien et le mal. Maintenant pour introduire on va d'abord donné un définition génerale et complète du mot '' conscience ''.

Et bien, conscience, ''cum scentia'' en latin, est l'activité psychique qui fait que je pense le monde et que je me pense moi-même.

Et ce parce que la conscience est une mise à distance. Elle est une mise à distance : de l'Homme face au Monde, mais aussi de l'Homme face à lui-même. Donc la conscience est ce qui fait que je ne suis pas posé dans le monde comme peut l’être un objet mais que je me rapporte au monde, que je le vise, et que je m’y projette. C'est pour ce la qu'il est essentiel de savoir que etre conscient, c’est sentir, agir, penser : savoir que je sens, que je pense et que j’agis.

Et que l’homme n’est pas posé dans le monde, mais qu'il s’y rapporte.

Et que c'est par la conscience, que le monde devient objet de connaissance et de réflexion.

Et il faut ajouter aussi que etre conscient des actes accomplis et des pensées élaborées n’en fournit pas pour autant l’intelligibilité.

De plus, la conscience est une mise à distance de l’homme par rapport à lui-même.

Et elle peut être ce qui lui inflige des expériences douloureuses, par exemple : la conscience morale, la culpabilité, le remords.

Des exemples quel'on retrouve dans : ''Crime et châtiment'' de Dostoïevski, que lui utilise avec le personnage de Raskolnikov: après le double meurtre de l’usurière et de sa sœur.

Par cela Dostoïevski nous fait comprendre que par la conscience morale, l’homme fait l’épreuve d’actes dans lesquels il a du mal à se reconnaitre.

Et en ce sens, la conscience signifie moins l’accès à une identité stable, définie qu’à une tâche à effectuer. Tout cela nous fait reflechir, en nous fesons poser plusieurs questions : en quoi la conscience fait elle la grandeur et la misère de l’homme ? Et la conscience est-ce qui permet la connaissance ? Et la conscience permet-elle à l’homme de répondre de ce qu’il est? Et si oui, est-ce ceci qui l’élève au-dessus de l’animal? Et bien ce phénomène est aussi ce qui le sépare de l’immédiateté et de l’innocence de. »