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Analyse du roman 'Neige' de M. Fermine

Publié le 02/05/2013

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« Neige « de M. Fermine Carnet de Lecture FORME Structure du texte, découpage Ce livre court joue beaucoup sur le découpage en parties et en chapitres. Cette structure peut paraître innocente, à première vue mais en l'étudiant on découvrir des faits qui ne peuvent être coïncidences. Observations -Le livre compte 3 parties : La première recouvre 37pages de roman divisées en 24 chapitres. Cette première raconte l'entrée en matière, le début de l'histoire. On a aussi droit à l'évènement modificateur qui fait que Yuko partira rejoindre le maître Soseki pour apprendre de son enseignement. Finalement, la partie s'arrête juste avant qu'Horoshi raconte à Yuko l'histoire de son maître. On remarque que c'est la partie la plus longue mais seulement parce que le résumé du début des évènements semble difficile à condenser. La deuxième couvre 17pages divisées en 12 chapitres. L'importance de cette partie est déjà marquée par le nombre de pages qui lui est accordé. En effet, c'est la plus courte des parties mais elle comporte 17 pages. Dix-sept est le nombre de syllabes contenues dans un haïku, art littéraire japonais vénéré dans le roman. La partie nous raconte exclusivement l'histoire de Soseki ; à commencer par sa vie à la guerre jusqu'à son apprentissage de la peinture dans toute sa splendeur ; le jour où il peignit la blancheur. En ce qui concerne l'édition Points, le roman n'est numéroté que jusqu'à la page 80 alors que celui-ci en comporte 96. La troisième partie compte donc en tout (pages numérotées et non-numérotées) 21 pages et 17 chapitres. La dernière partie de l'histoire nous est révélée ici, la quête de Soseki pour retrouver Neige, la fin de l'apprentissage de Yuko et son éventuel amour avec Flocon du Printemps, fille de Soseki alors décédé dans la montagne. Cette partie est elle aussi bien marquée par le chiffre 7, elle comporte 3 fois 7 pages et 17 chapitres. On voit que Fermine joue avec les nombres. Analyses A l'aide de ces trois différents passages, Maxence Fermine peut compartimenter son histoire en donnant une importance différente à chaque partie. L'auteur joue constamment avec le chiffre 7 que Yuko considère comme un chiffre magique ; il en dit « Il tient à la fois de l'équilibre du carré et du vertige du triangle «. Il n'y a pas une partie qui ne contienne pas de près ou de loin le chiffre sept dans sa numérotation. Si on en croit ce que l'histoire nous dit, diviser le récit ainsi apporterait de la magie, le mélange parfait entre l'équilibre et le vertige. Il est vrai que l'on n'est pas dérangé par la division bizarre des parties et des chapitres, même si celle-ci parait peu commune. Dans la deuxième partie par exemple, on compte presque un chapitre par page, ce qui semble énorme comparé à ce que l'histoire peut ...

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FORME · Structure du texte, découpage Ce livre court joue beaucoup sur le découpage en parties et en chapitres.

Cette structure peut paraître innocente, à première vue mais en l’étudiant on découvrir des faits qui ne peuvent être coïncidences. Observations -Le livre compte 3 parties : La première recouvre 37pages de roman divisées en 24 chapitres. Cette première raconte l’entrée en matière, le début de l’histoire.

On a aussi droit à l’évènement modificateur qui fait que Yuko partira rejoindre le maître Soseki pour apprendre de son enseignement.

Finalement, la partie s’arrête juste avant qu’Horoshi raconte à Yuko l’histoire de son maître.

On remarque que c’est la partie la plus longue mais seulement parce que le résumé du début des évènements semble difficile à condenser.

La deuxième couvre 17pages divisées en 12 chapitres.

L’importance de cette partie est déjà marquée par le nombre de pages qui lui est accordé.

En effet, c’est la plus courte des parties mais elle comporte 17 pages.

Dix- sept est le nombre de syllabes contenues dans un haïku, art littéraire japonais vénéré dans le roman.

La partie nous raconte exclusivement l’histoire de Soseki ; à commencer par sa vie à la guerre jusqu’à son apprentissage de la peinture dans toute sa splendeur ; le jour où il peignit la blancheur. En ce qui concerne l’édition Points, le roman n’est numéroté que jusqu’à la page 80 alors que celui-ci en comporte 96.

La troisième partie compte donc en tout ( pages numérotées et non-numérotées ) 21 pages et 17 chapitres. La dernière partie de l’histoire nous est révélée ici, la quête de Soseki pour retrouver Neige, la fin de l’apprentissage de Yuko et son éventuel amour avec Flocon du Printemps, fille de Soseki alors décédé dans la montagne.

Cette partie est elle aussi bien marquée par le chiffre 7, elle comporte 3 fois 7 pages et 17 chapitres.

On voit que Fermine joue avec les nombres. Analyses A l’aide de ces trois différents passages, Maxence Fermine peut compartimenter son histoire en donnant une importance différente à chaque partie.

L’auteur joue constamment avec le chiffre 7 que Yuko considère comme un chiffre magique ; il en dit « Il tient à la fois de l’équilibre du carré et du vertige du triangle ».

Il n’y a pas une partie qui ne contienne pas de près ou de loin le chiffre sept dans sa numérotation.

Si on en croit ce que l’histoire nous dit, diviser le récit ainsi apporterait de la magie, le mélange parfait entre l’équilibre et le vertige.

Il est vrai que l’on n’est pas dérangé par la division bizarre des parties et des chapitres, même si celle-ci parait peu commune.

Dans la deuxième partie par exemple, on compte presque un chapitre par page, ce qui semble énorme comparé à ce que l’histoire peut nous dire ( parfois le chapitre ne compte que 2 phrases ) mais on. »

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