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Commentaire de texte : extrait de « Humain, trop humain » de Friedrich NIETZSCHE (Philosophe du XIX ème siècle)

Publié le 23/05/2012

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nietzsche

 

 

Cet extrait est a propos du travail, pour satisfaire ces besoins, et du bonheur. Notamment comment parvenir au bonheur (Ce dernier peut avoir différentes définition donc dans ce cas il s'agira celle qui est partagé par les artistes et philosophes) grâce au travail. Et donc l'auteur explique le chemin emprunté par les philosophes et artistes pour etre heureux. Pour que nous puissions comprendre la 1er partie nous définie l'origine de l'ennuie, du cycle du travail, de son produit qui satisfait les besoins, une fois cela satisfait l'ennuie qui nous prend, puis la renaissance des besoins et le retour au travail de nouveau. Et la 2eme partie décrit 2 manières d'échappé a l'ennuie : la 1er  étant de travaillé plus, la 2eme étant le jeu, qui  «peut « amené au bonheur les artistes et philosophes .

nietzsche

« satisfait par le produit de ce travail aura provoqué de plus ou moins grande souffrance du fait de son absence, l'ennuie, doncl'absence du travail, qui satisfaisait ce besoin en question sera plus intense.

IL s'agit plus d'un désir dans le sens où sonabsence provoque un état de manque psychologique, non pas physiologique comme pour le besoin.

Alors dans ce cas l'homme a deux possibilités pour ne point ressentir l'ennuie soit il va travailler plus que nécessaire, malgréle fait que le produit du travail est déjà suffisant pour satisfaire les besoin qui lui sont fixé ; ou alors il lui est possible depratiqué le jeu et non pas une activité que nous pouvons qualifier de pas très agréable dont on se passera bien.

La différenceentre le jeu et le travail réside dans le fait que le travail a un but, une finalité, il y a une production qui est extérieure que cesoit des produits ou alors des services.

Alors que lui, le jeu, n'a pas de finalité mise a part le plaisir qu'il peut procurer carcette activité ne se pratique pas pour produire quelque chose, on la pratique pour la pratique elle-même qui justementprocure du plaisir ; cela peut s'illustrer notamment dans le sport, les arts (Philosophie, musique, peinture, sculpture et etc.)mais aussi beaucoup d'autre activité dont certain qualifierai la pratique de plutôt déplaisant.

Les artiste et philosophe ont unecertaine vision du bonheur, d'abord cela débuterai par l'habitude au jeu en plus de celui du travail, les sensations produit parce jeu serai affaiblie du fait de la répétition, et n'ayant plus la nécessité de travaillé pour satisfaire leur divers besoinstoujours renaissant comme travaillé pour de la nourriture, il est « possible » de connaitre un troisième état qui serai lebonheur.

Il ne faut oublier qu'à l'époque de Nietzsche la pratique du mécénat était présente.

C'est-à-dire que les artistes etphilosophes sous mécénat vivaient en quelque sorte au dessus de la société car ils n'ont point de raison de travaillé sachantque leur besoin seront déjà satisfait.

Concernant l'analogie en fin de texte, le 3eme état décrit est le bonheur, le 2eme est lejeu et le 1er est le travail.

Ce dernier est tout à fait comparable au fait de marché car lorsque nous marchons nous avons aussiun objectif à atteindre et la marche ne procure pas de plaisir tout comme le travail.

Le 2eme état, le jeu, qui est comparé a ladanse est pratiqué pour la pratique en elle-même et n'on pas pour produire quelque chose qui puisse satisfaire un besoinmais plutôt pour avoir du plaisir.

Concernant le fait de planer, cet action est durable, ne nécessite que très peu d'effort etpour un homme serai source d'un état de plénitude et de liberté, détaché de quoi que ce soit de gênant, désagréable ethandicapant, comme le travail pour comblé ces besoins.

Nietzsche décrit le travail fait par le majeur parti des hommes, celui qui sert à satisfaire les besoins de ce dernier, comme uneactivité qui ne permettra pas le bonheur grâce au travail.

Le bonheur est l'aboutissement d'une construction, il est ressentit grâce a l'accumulation des satisfactions (Cette définition du bonheur est celui de son sens étymologique).

Mais le travail n'est guère source de satisfaction répété et continue qui permettrai le bonheur car il s'agit d'une contrainte, l'homme n'a pasle choix que de travaillé et souvent son travail est dur physiquement et même parfois mentalement.

Il travaille dur, iltravaille beaucoup, il s'épuise beaucoup et même lorsqu'il ne travaille pas il est désœuvré et le besoin de travaillé, alorsque cela serai inutile, se fait sentir ; l'homme en général ne peut être heureux grâce au travail lui-même.

Ce n'est pas le casdes artistes et philosophes sous mécénats qui vivent sans cette contrainte, ils ne sont plus soumit a la nécessité de travaillépour satisfaire leur besoin les plus élémentaire comme manger et boire par exemple.

Libéré de cette contrainte quebeaucoup d'homme connaissent, ils peuvent accéder au bonheur.

Ils sont au dessus des autres hommes et sont aussinettement privilégié.

Mais notons le fait que leur bonheur est seulement permit par le fait qu'ils vivent sur le dos des autres,l'argent ne tombe pas du ciel et est toujours précieux.

Ces deux fait pourraient provoquer chez certain une certaineculpabilité car qu'elle homme acceptera t'il sans le moindre remord de vivre sur le dos d'un autre et débarrassé du dur labeurque peut être le travaille.

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