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commentaire rennee descartes

Publié le 26/12/2013

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Commentaire de texte philosophie Le texte que nous allons étudier est un passage écrit par René Descartes .Le désir qui est pour nous la passion la meilleur qui nous pousse à agir envers un objet. Descartes étant croyant ; il peut donc associer ses croyances et ses pensées. La vertu est la capacité de faire du bien. Descartes relie ses convictions personnelles et sa réflexion et s'interroge dans cet article si l'homme désire assez la vertu. Selon lui nous la désirons trop peu. Tout d'abord il expose sa théorie de « il me semble » ligne 1 à « avec trop d'ardeur » ligne 4 puis il justifie sa théorie de « à cause » ligne 4 à « nous en avons attendu » ligne 8 enfin, de « mais la faute » ligne 8 jusqu'à la fin du texte, il donne au lecteur un conseil pour désirer plus cette vertu. Dans la première partie Descartes expose sa thèse. Au début du texte, l'auteur décrit le désir en deux catégories d'objets, celui qui n...
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« de nous alors nous pouvons le réaliser.

Descartes se pose alors la question de savoir si on désire les bonnes choses qui ne dépendent pas que ne nous. Nous pouvons penser que les choses que l’on a désirées sont bonnes.

Mais l’auteur du texte René Descartes écrit totalement l’inverse de ce qui a été dit auparavant.

Il prétend que l’on ne désire pas les bonnes choses « pour ne pouvoir désirée avec trop d’ardeur ».

De ce fait dans le texte, il donne sa théorie sur les désirs des hommes qui selon lui nous ne sommes pas attirés pas les bonnes choses de façon naturelle.

Cette théorie énoncée pas Descartes pourrait nous faire comprendre pourquoi quand nous avons le choix entre une bonne chose et une chose mauvaise nous choisirons la mauvaise chose. Descartes justifie théorie de la ligne 4 à 8 en donnant plusieurs arguments.

Le premier argument est que l’auteur nous montre que nous connaissons d’avance ce que cette chose va nous apporter ; Descartes écrit « nous en recevons toujours toute la satisfaction que nous en avons attendue » ligne 8.

Puis, il institue sur cette connaissance avec les mots « toujours » et « toute » donc l’homme connait avec exactitude ce qui lui attend donc il ne découvre rien. Pui Descartes la vertu qui prend pour définition la suivante : action qui consiste à faire du bien repousse les hommes.

On le voit à la ligne 6 « il est certain qu’on ne saurait avoir un désir trop ardent pour la vertu ».

Dans le texte l’auteur ne dit pas que les hommes ne sont pas attiré par la vertu mais qu’ils ne le sont pas de manière suffisamment forte.

On en déduit que Descartes pense qui si l’homme empreint une voie vertueuse, l’homme pensera que cette voie lui fais peur.

En plus il aura le sentiment que cela implique qu’il s’éloigne du monde et qu’il ne pourra plus partager les moments du plaisir avec tous.

Mais si cette homme décide de vivre en accord avec la vertu il sera obligé d’être un petit peu ascétisme c'est-à-dire qu’il aura un mode de vie austère, fait de privations ce qui va peut être l’effrayer. Enfin Descartes exposes que les hommes sont attirés par l’impossible, l’irréalisable.

On voit à travers le texte que l’homme ne désire pas beaucoup de chose « ne pouvant manquer de réussir » ligne 7 car on connait d’avance le résultat de ces désirs ligne 7-8 « c’est de nous seuls qu’il dépend » .

En effet, nous les humains somme toujours attirés par tout ce que nous ne possédons pas.

Par exemple quand nous étions petit nos parents nous interdisse d’aller sur la route mais on ne peut pas résister a la tentation, on y est aller au moins une fois donc on a gouter a une chose interdite.

Cela nous montre bien que l’homme est naturellement attiré par les choses interdites, se qu’il ne connait pas.

Dans ce monde quand se présente un interdit ou un danger la première réaction pour l’homme c’est de la braver, la surmonter même si cette chose est très mauvaise. De plus on voit que l’auteur nous montre que nous connaissons d’avance ce que cette chose va nous apporter ; Descartes écrit « nous en recevons toujours toute la satisfaction que nous en avons attendue » ligne 8.

Puis, il institue sur cette connaissance avec les mots « toujours » et « toute » donc l’homme connait avec exactitude ce qui lui attend donc il ne découvre rien. A la fin du texte l’auteur donne des conseils au lecteur.

Il dresse aussi sa conclusion de son texte en donnant son avis : pour lui ce ‘est pas que l’homme désire trop mais il désire trop peut les bonnes choses, il préfère désirer les mauvaises choses.. »

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