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En quel sens peut-on dire que l'homme est un animal politique ?

Publié le 06/03/2011

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Dans son livre la politique , Aristote dit que «L'homme est un animal politique." Cette réflexion a conduit beaucoup d'opinions différentes au cours des siècles qui ont suivi. Le problème philosophique se pose ici est: pourquoi on peut dire que l'être humain est considéré comme un animal politique. Ce sujet nous amène à demander si l'homme a besoin d'une vie avec les autres à se développer, et nous nous interrogeons sur le fait qu'il peut être en mesure de vivre de façon autonome ou à titre individuel ou que nous l'imaginons plutôt un être qui a besoin des autres pour devenir quelqu'un.  Au départ, nous allons expliquer ce qu'est une société et la différence entre société animale et la société humaine. Pour ce faire, nous allons inclure la théorie d'Aristote, nous continuerons avec celles de Rousseau, Hobbes, et le contrat social. Enfin, nous voyons l'idée de Kant dans son «insociable sociabilité«.   

« que tous les autres faire de même.

Les volontés naturelles ainsi laisser place à la volonté générale.

Mais, selonRousseau, les entreprises sont dirigées par l'inégalité, l'injustice, la violence ....Rousseau, puis réfute les idées d'Aristote.

Pour lui, il confond la cause et l'effet.

Par exemple, Aristote croyait quel'esclavage n'est pas contre nature parce qu'il ya une inégalité naturelle: des hommes capables de se gouverner, deprendre des initiatives, de sorte qu'ils sont des hommes libres, maîtres, tandis que d'autres naissent incapables dese comporter.

Pour eux, ils deviennent esclaves.Pour Rousseau, l'incapacité de l'esclave vient à son statut social, le fait qu'il ne laisse jamais prendre l'initiative etnon sa nature.conception de rousseau de l'état de nature est complexe: l'homme est naturellement bon, mais corrompt la sociétérapidement, jusqu'à ce que tout le monde agit égoïstement bientôt pour son intérêt privé. Ces deux parties montrent le contraste entre la théorie aristotélicienne de la société et la pensée du contrat social.Pour Aristote, la nature de l'homme pourrait être pensée en dehors de la ville et de ses relations avec d'autrespersonnes comme un homme seul est un homme incomplet.

Au contraire, pour Rousseau, l'homme est défini dansl'état de nature comme un individu distinct de ses semblables.

Donc, cette association est de nature contractuelleet donc artificielle.

L'homme dans l'état de nature est terminée.

Au lieu de quitter la ville pour comprendre l'individuet ses actions comme Aristote, qui fait partie de l'individu à comprendre ce qui l'a amené à créer une société.

Cesont les conditions de vie de l'homme qui la définissent, c'est la nature de l'homme est la source de leurs conditionsde vie.Nous nous trouvons devant cette alternative: soit la société est un droit humain fondamental et il est naturel ou illui est imposé, et elle est forcée: il est alors le créateur.

Mais il est une création basée sur le désir d'éviter un malplus grand, parce que les relations, même contradictoire tenir compte du fait que l'homme est toujours liée àd'autres hommes.

L'homme ne peut pas être d'un naturel sociable, mais elle doit néanmoins être socialisé.Kant, a également étudié le sujet.

Il part de l'idée que l'homme en permanence l'équilibre entre vivre ensemble et decollaborer avec d'autres pour se développer, et à s'isoler de défendre ses intérêts.

Par conséquent, il propose desurmonter l'opposition de la nature et de la coercition.

Il établit une «insociable sociabilité».

Ce qui rend les hommesintolérable à l'autre, entre eux, est certainement ce qui suscite en eux le désir de se surpasser et donc rendre leprogrès possible.

Ils stimulent la concurrence qui peut évoluer.

Le «insociable sociabilité» est le moteur de troispassions: l'ambition, qui montre la puissance, l'avidité, avec la puissance de la richesse et les possessionsmatérielles, et la soif de domination qui crée la soumission des autres.La nature de l'homme interdisant de repos et de la passivité qui lui permet de continuer à développer sesdispositions naturelles.

Il n'ya pas de société sans violence, et pas de nature humaine, sans agressivité.

Il est vraique les conflits ont tendance à perturber la société.

Mais il suffit qu'il existe une loi universelle avec les règles etd'arbitrage que la ville juste pour surmonter la crise.

Donc, d'ici la fin du mal que la société progresse, nous devonsaller au-delà de l'état de nature où il ya une telle violence, que de l'animal.

En conclusion, Kant dit que seule ladiscipline fait la transition de l'animalité à l'humanité: la raison remplace l'activité instinctive.

L'éducation estseulement en mesure de développer des habiletés sociales. En conclusion, les théories sur la nature humaine sont abondantes.

Aristote pensait que seule la ville, qui peutrépondre aux besoins d'un homme.

Rousseau et Hobbes pense que la naissance de la ville a un contrat, que laformation de cette ville pousse l'individu à reconnaître sa soumission à une autorité commune.

La société serait alorsune contrainte.

Kant est le seul à vouloir vaincre cette opposition.

Pour les hommes lui faire du mal, mais que ledésaccord oblige à aller de l'avant, de progresser.L'homme ne peut atteindre la perfection de sa nature en étant citoyen raisonnable. Sujet désiré en échange : http://www.devoir-de-philosophie.com/dissertation-pourquoi-guerre-entre-opinion-philosophie-19206.html. »

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