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Explication David Hume, extrait de « de la norme du goût »

Publié le 01/11/2013

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Chloë FILLAUT - TES1 Explication David Hume, extrait de « de la norme du goût « L'opinion commune (« le doxa «) qui est dénoncée par l'auteur est porté sur le jugement esthétique et la représentation du beau. En citant Wittgestein : « Seul l'homme cultivé sait de quoi il parle et donc semble sérieux «, on s'aperçoit que seul les personnes cultivées peuvent juger l'art et donc elles sont les seules à percevoir la beauté dite « vraie «. On peut donc dire que le texte de David Hume, de la norme du goût, est donc paradoxal puisqu'il nous invite à dépasser ce préjugé. Effectivement comme l'écrit David Hume « la beauté n'est pas une qualité inhérente aux choses elles-mêmes, elle existe seulement dans l'esprit qui la contemple «, en d'autres termes la beauté ne fait pas partie intégrante des choses et les jugements de goût varient selon l'esprit. Peut-on dire que le beau fait partie intégrante de l'objet artistique ou peut-on avoir avec des avis différents ? Le beau est dans la chose ou dans le regard qu'on porte à la chose ? Le jugement du goût est-il construit sur nos acquis ou nos sensations ? Autrement dit le beau est-il un concept ou une sensation ? Ce texte est composée de deux parties : chacune d'entre...

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« ressentir. Pour Hume l'esthétique n'est pas dans l'objet lui même, « elle existe seulement dans l'esprit qui la contemple ».

C’est à dire qu'il crée un sentiment en nous.

Ce sentiment génère en nous une satisfaction.

La beau est donc accompagner par une satisfaction lors d'une vision d'un objet.

Beaucoup d'auteurs considèrent le beau comme une fatalité, donc comme un sentiment.

Le concept fait référence à des règles intellectuelles.

Or le beau ne peut-être un concept, dans la thèse de Hume, car il est découvert par un sentiment.

L'idée de beau n'est donc pas créée par des règles artistiques, parce que les artistes eux mêmes s'en séparent pour pourvoir prétendre être un vrai artiste.

En d'autres termes les artistes ne peuvent utiliser leur conscience car leur art n'est pas véhiculé par celle-ci.

Donc la technique ne peut aider le goût esthétique, selon Hume.

Maintenant nous allons mettre en discussion de la norme du goût avec deux philosophes : Diderot et Kant qui s'est inspiré de la thèse de Hume.

« Parmi un millier d'opinions différentes que les hommes divers entretiennent sur le même sujet, il y en a une, et une seulement qui est juste et vraie.

» c'est la thèse qu'entretient Diderot dans son ouvrage , Traité du beau .

Dans sa logique la beauté est expliquée et reconnut.

Elle est universelle entre les Hommes.

Cette idée est paradoxale à celle de Hume.

Pour Diderot, la beauté est reconnue grâce à la symétrie, à la proportion, à l'unité de l'objet et d'autres critères explicites.

Or les beaux-arts ,qui sont crées pour être beau, sont crées par l'inconscient de l'artiste.

Le beau ne peut être réduit à des dogmes car l'art est crée par l’inconscient.

Le beau ne peut donc être juger sur le travail de l'artiste, car son travail ne résulte pas de la technique pur.

Kant l'avait bien compris, mais n'avait pas le même point de vu qu'Hume tout de même.

De son point de vue « est beau ce qui plaît universellement sans concept ».

C'est à dit qu'il avait reconnut le fait que le beau n'a pas de dogmes, mais a maintenu que le goût peut être commun.

Il maintient cette thèse car les Hommes ont la capacité, donc peuvent ressentir les mêmes sensations et donc ressentir le beau dans les mêmes faits. Mais si le beau est un sentiment.

Ce n'est donc plus un critère universelle pour définir le beau.

En outre on ne peut donc plus savoir si on a bon ou mauvais goût.

Alors. »

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