Faut-il concevoir le bonheur comme un état stable ?
Publié le 02/09/2009
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Au sujet du bonheur, Aristote déclare que «nous le choisissons toujours pour lui-même et jamais en vue d'autre chose«. Au contraire, l'honneur, le plaisir, l'intelligence ou toute vertu quelconque sont des biens que nous choisissons en vue du bonheur (Ethique à Nicomaque, I, 5). Tous les Anciens sont d'accord là-dessus. Le souverain bien, renchérit Cicéron (r siècle av. J.-C), est tel que «tous les autres se rapportent à lui et que lui ne se rapporte à rien d'autre« (Des fins, I, ix).
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