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Faut-il renoncer à la certitude absolue ?

Publié le 17/09/2005

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On voudrait savoir comment sont faites les choses en soi : or ,il n' y a pas de choses en soi . A supposer même qu'il y eût un « en soi «, un absolu, pour cette raison même il ne saurait être connu. L'inconditionné ne peut être connu ;sans quoi il ne serait plus inconditionné. Connaître c'est toujours « entrer en relation avec quelque chose «. Le philosophe de la connaissance souhaite que ce qu'il cherche à connaître ne le concerne en rien et ne concerne personne non plus ; cela donne une première contradiction entre la volonté de connaître et le désir de n'y voir aucun intérêt (cardans ce cas à quoi bon connaître ?), et une seconde contradiction, car ce qui ne touche personne n'existe pas, ne peut donc pas être connu. Connaître c'est « se mettre en relation avec une chose «, se sentir déterminé parelle et la déterminer en retour. C'est donc en tout cas une façon de constater, de désigner, de rendre conscientes des relations (on pas de scruter des êtres, des choses, des « en soi «). « 3 Transition La certitude absolue signifie qu'un absolu peut donc de nous être connu : or la contradiction est bien relevée et commentée par Nietzsche, un inconditionné qui se connaît devient relatif et non plus absolu. Faut-il pour autant renoncer à la certitude absolue ?

La certitude est l'état d'esprit de celui qui détient une vérité ou une connaissance. Celui qui est certain ne doute pas : la certitude se présenterait comme le critère de ce qui est vrai. La certitude est marquée par sa fermeté, sa solidité et rigidité aussi. La certitude se distingue de la croyance au sens où celui qui croit n'a pas de fondement rationnel de sa croyance. Y –a-t-il des certitudes absolues, des sortes de vérité qui échappent aux doutes ? Si la certitude absolue existe peut-on l'atteindre ? Ou si un tel objectif s'avère impossible, nous faut-il alors renoncer à la certitude absolue ?

« C'est par amour de la vérité que Montaigne est sceptique quant aux moyens humains de l'atteindre.

Il s'agit d'un scepticisme de méthode qui n'entame en rien la croyance en la vérité, même si celle-ci est inaccessible.

Qui parvient au vrai sans douter n'est qu'un sot J ouir de la vé rit é, c'est la cherche r.

La recherche de la vérité .......

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&111118 est acte d'intelligence, l 'éveil du jugement.

Celui qui pense détenir une vérité est probablement inintelligen t car. »

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