Kant explication de texte

« Le tex te de K a n t commence pa r une af f i r ma t ion qui a une valeu r impo r tan te : « I l est de la plus grande impo r tance d’app rend re aux enfan ts à t ravai l le r ».

Nous pouvons voi r le choix de pédagogie dans laquel le nous pouvons y re t rouver la t hèse de l’au teur.

« L’homme est le seul an ima l qu i doi t t ravai l le r », à t ravers cet te phase nous pouvons admet t re que les an imaux ne t ravai l len t pas.

Les an imaux veulen t tou t simplemen t sat isfai re un besoin.

L’homme, au cont ra i re a besoin de « beaucoup de p répara t ion ».

L’homme a évolué tou t en fab r iquan t des out i ls et des a rmes pu is a u t i l isé les ressources na tu rel les tou t en cul t ivan t.

En revanche, au cont ra i re des an imaux l’homme ne peu t pas se sat isfai re que des choses qu’i l peu t t rouver dans la na t u re ma is i l dispose d’une fo r te aisance à t ransformer la na t u re af i n d’en ext ra i re ce qu i peu t combler ses manques.

Le t rava i l est la fab r ica t ion de l’homme, nous pouvons di re que l’homme est « voué » au t ravai l ma is que le résu l ta t de son t ravai l nécessi te une grande p répara t ion.

Le t rava i l est le résu l ta t d'un object if, alors que l'act iv i té an ima le n’est pas forcemen t un bu t p récis.

L’imp l ica t ion dans son t rava i l est le f r u i t de la réussi te.

Tou te fois le t ravai l soumet l'homme à sa v ie personnel en l u i imposan t des heu res de t rava i ls.

I l s’oppose au p r i ncipe du plaisi r de la v ie de fam i l le qu i nous fa i t rêver.

De plus le t ravai l s’agi t bien d’une nécessi té, car i l en va de la conserva t ion de l’homme, c’est-à-di re p lus simplemen t de sa su rv ie.

En out re l’homme voud ra « jou i r de ce qu i est nécessai re ».

Ma is on peu t voi r ici le te r me « jou i r » est à comp rend re dans un sens pa r t icu l ie r quand i l s’agi t de l’homme car i l n’y a r ien de p lus i n té ressan t pou r l’homme que ce qu’i l doi t obten i r pa r le t rava i l.

En généra l l’homme doi t occuper ses jou r nées.

L’au teu r fai t al lusion au. »