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« La discussion est-elle source de vérité ? »

Publié le 19/01/2013

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(Intro)

Une discussion est un échange verbal sur un sujet quelconque ayant pour objectif de remettre en question une idée, un point de vue. Par exemple, un débat est une discussion (autour d’un thème) afin de critiquer et de défendre différentes opinions, « vérités «. Une discussion pourrait-elle être un point de départ pour une affirmation logique, vrai ? Un débat est-il forcement à l’origine d’une vérité ? Un échange (verbal) peut-il être le commencement d’une manipulation idéologique, un mensonge ? Une discussion pourrait très bien déboucher sur une vérité d’une part mais aussi d’autre part sur une parole erronée, mensongère. Sans oublier, comment ne pas se retrouver dans une discussion relevant du sophisme.

« malades et un médecin en vue de trouver un compromis pour par exemple arrêter la consommation de produit stupéfiants.

« Pour que nous ayons quelque garantie d’être du même avis , sur une idée particulière, il faut, pour le moins, que nous n’ayons pas été du même avis.

Deux hommes, s’ils veulent s’entendre vraiment, ont dû d’a bord se contredire.

La vérité est fille de la discussion, non pas fille de la sympathie.

» Gaston Bachelard, dans la philosophie du non, en 1962 a voulu nous montrer que la recherche de la vérité est réalisée à l’aide de partage d’idées opposées en les re mettant en question grâce à la discussion.

Et que sans les disputes, les vérités n’existeraient point.

Mais une discussion est, dans tous les cas, l’origine d’une vérité ? Les mensonges ne sont- ils pas les conséquences des discussions ? (Partie II) Une di scussion est à l’origine des mensonges, des tromperies.

Les débats sont un point de départ des mensonges.

Les conversations peuvent être des échanges peu instructifs sans réels argument n’aboutissant donc sur aucune vérité.

Les discussions peuvent aboutir sur des affirmations fausses car certaines discussions ont de grand enjeu.

C’est le cas des débats politiques qui permettent ou non d’élire l’un des participants.

C’est pourquoi l’usage d’arguments faux peuvent être utilise pour persuader l’auditoire.

Les dialogues peuvent être qualifiés de « dialogues de sourds » car il ils n’aboutissent à rien, aucun partage d’opinions et de recherche de savoir.

Les dogmatiques par exemple, convaincu de posséder une « vérité », ne remettro nt jamais en cause cette vérité ce qui empêche toute discussion et donc d’examiner leurs arguments.

Les conversations entre personnes qui utilisent des préjugés comme arguments lors d’une dispute, mène forcement à des révélations fausses car tout le dével oppement est erroné.

Ce fut le cas en - 399 avant J-C, lors du procès. »

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