L'argent est-il le moyen du malheur, bien plus que le moyen du bonheur ?
Publié le 05/10/2011
Extrait du document
En effet, Saccard, personnage excessif par excellence au sein de ces trois œuvres, est dominé par sa passion. Il est ambitieux, c’est un « capitaine aventurier «, il spécule, gagne et perd à l’excès. C’est sa passion du gain qu’il l’a entrainé à sombrer. Simmel constate aussi cette démesure chez l’avare ou le cupide. Pour lui, elles constituent une dégénérescence pathologique, une « maladie de l’argent « Ce sont des comportements démesurés ou la vie entière d’un individu dépend de son argent, que ce soit pour le garder ou pour le dépenser. Simmel parle d’horizon jamais atteint : on en veut toujours plus, le désir d’argent est sans cesse grandissant.
Liens utiles
- L'argent fait-il le bonheur des intelligents et le malheur des imbéciles ?
- Le BONHEUR au Moyen-Age: Faut-il chercher son bonheur ou son salut ?
- Le temps fait-il notre bonheur ou notre malheur ?
- Bonheur ou malheur ?
- Eternel retour Nietzsche Par-delà bonheur et malheur