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LE DROIT DE MOURIR

Publié le 19/11/2011

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En fait, une préoccupation essentielle de l'être humain vivant en société - le droit de mourir à son heure - a été ici transformée en deux revendications : celle de pouvoir se donner la mort d'une manière douce (les autres méthodes de suicide : défenestration, pendaison, etc. n'ayant pas besoin d'être nommées dans une brochure) sans pour autant contrevenir à la loi, puis celle de plus en plus importante aujourd'hui de pouvoir garder le contrôle de sa propre fin. Une fois admis dans l'univers hospitalier, le moribond (32 %des morts ont lieu a l'hôpital en France mais plus de 50 % dans les pays anglo-saxons) n'a en effet plus aucun contrôle sur sa maladie, celle-ci appartenant désormais à une déontologie qui lui échappe totalement.

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« soit dangereuse soit impossible.

Il s'agit tout d'abord de définir l'expression même de « mort délibérée », selon les cas où celle-ci se fait avec ou sans consentement du sujet; puis les contraintes, principalement celle qu'est l'obligation de vivre: obligation morale et éthique, bien sûr, mais aussi - semblerait-il -biologique; le chemin qui va du suicide proprement dit à l'euthanasie avec, à son apogée (ou périgée), l'agonie telle qu'elle est vécue en milieu hospitalier; celui enfin des législations : crime, l'euthanasie sera jugée aux « Assises •• avec, pour peine envisageable, la peine de mort : délit, elle le sera par le Tribunal Correctionnel dont les peines maximales de prison (entre trois et six ans) sont précisées par les diverses Nations.

La mort délibérée La mort délibérée suppose quelques définitions.

Distincte de la mort •• naturelle », spontanée, par accident ou maladie, la mort délibérée suppose en effet le choix, la décision, l'intervention de l'homme.. »

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