Les penseurs et philosophes à l'origine du libéralisme

« pourtant ils sont pris.

»En 1721, il publie anonymement un roman nommé « Lettres persanes » ou il ridiculise la société française vue pardes Persans exotiques.

C'est en 1734 qu'il publie sa prochaine oeuvre populaire, intitulée « Considérations sur lescauses de la grandeur des Romain et de leur décadence », puis en 1748, « De l'esprit des lois ».

Dans cette dernièrepublication, qui connut un succès monstre, Montesquieu explique les principes fondamentaux et la logique desinstitutions politiques de l'époque en fonction de leurs lois.

Dans cette oeuvre, il ridiculise, entre autres, lesesclavagistes et avance une théorie sociologique.Il est connu aujourd'hui sous le titre de cofondateur du libéralisme politique.

Il a affirmé que toute personne qui a dupouvoir est portée à en abuser.

C'est pourquoi il cherche à garantir la liberté des citoyens par des lois, afin deconserver ses principes de libéralisme dans la société.

Montesquieu a pour but d'instaurer l'égalité politique dans lasociété, c'est-à-dire assurer la collaboration entre les groupes politiques (pouvoir législatif, pouvoir exécutif etpouvoir judiciaire) qui assure la sécurité des individus et les protège contre les abus de pouvoir.« Les lois sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses.

[...] Il faut dans les lois une certainecandeur.

Faites pour punir la méchanceté des hommes, elles doivent avoir elles-mêmes la plus grande innocence.

»RAYMOND ARON Aron est un philosophe, sociologue et journaliste, né en 1905 à Paris et mort en 1983 en cette même ville.

Il est undes populaires défenseurs du libéralisme moderne.

Il participe grâce à ses écrits à plusieurs journaux et magasinestels que Le Figaro et L'Express pendant de nombreuses années.

Il se fait rapidement connaître par les penseurs etles intellectuels de l'époque grâce à sa culture élaborée en économie, en philosophie, en sociologie et, bien sûr, enpolitique.Il publie plusieurs oeuvres, toujours en défendant le libéralisme.

Sa plus populaire, publiée en 1955, intitulée «L'Opium des intellectuels » traite des « mythes » dictés par l'idéologie de la gauche, de la trop grande admirationenvers les intellectuels de gauche et de l'idéologie marxiste.

Nombreux sont les écrits de Raymond Aron qui sebasent sur les dires de grands penseurs libéraux, tels que Montesquieu.

« Cherchant à expliquer l'attitude desintellectuels, impitoyables aux défaillances des démocraties, indulgents aux plus grands crimes, pourvu qu'ils soientcommis au nom des bonnes doctrines, je rencontrai d'abord les mots sacrés : gauche, Révolution, prolétariat.

»Ce penseur du XXe siècle a aussi publié, parmi ces oeuvres principales « Dix-huit leçons sur la société industrielle »et « Démocratie et totalitarisme ».Raymond Aron a, dès la fin de la Deuxième Guerre mondiale, instauré le concept du libéralisme duquel il grandira etse développera en tant que journaliste.

Dans plusieurs de ces ouvrages et dans ses pensées premières au sujet dela société, il remarque une compétition inévitable à l'obtention et l'exercice du pouvoir.

Il s'implique beaucoup dansle libéralisme politique et recherche l'égalité des classes sociales, choses qui semblent particulièrement impossibles.Il s'exprime aussi à propos du libéralisme social et économique, remettant en question l'opposition des libertésformelles et des libertés réelles, décrites par Karl Marx, évènement qui renforce sa croyance libérale:« Aron part du débat sur l'opposition entre libertés formelles et libertés réelles, qu'avait formalisé Marx.

L'Allemandavait décrété que les libertés formelles, illustrées par les libertés publiques et droits démocratiques classiquesn'avaient aucune utilité s'ils n'étaient flanqués de libertés réelles, qui donneraient leur effectivité à ces dernières enles matelassant de droits sociaux et économiques seuls à même d'instituer une authentique liberté.

»Raymond Aron a apporté une contribution importante au libéralisme.

Il a affirmé que le libéralisme conceptualise laséparation entre l'État et la société et permet la coopération de ses deux catégories sans leur fusion.

Il prône unevérité qu'il dit « vraie », en permettant les libertés formelles ainsi que les libertés réelles qui sont à la base de laliberté politique.IMPORTANCE ACTUELLE DU LIBÉRALISME Le libéralisme est omniprésent à travers les idéologies des pays modernes.

Surtout reconnu pour son efficacité sur leplan politique, et un peu plus faible sur le plan politique, le libéralisme émet et transmet des valeurs humaines,égalitaires, et comme l'indique son nom, libérales.

Par ailleurs, le libéralisme constitue aussi l'objet de controverse :« Que penser lorsque l'on considère à la fois la « philosophie libérale», qui défend la liberté de l'individu, les « partispolitiques libéraux», avec la polysémie bien connue de ce terme entre les espaces politiques anglophones etfrançais, et « l'économie libérale» qui apparaît comme inséparable du capitalisme et de la mondialisation? »En effet, c'est sur ces propos que certains groupes d'individus identifient le libéralisme de fausseté puisque cesprincipes sont si vagues et si étendus.

Certains disent encore que le libéralisme est une infraction à la solidaritévolontaire et nuis donc aux rapports entre les individus.Le libéralisme est très répandu à travers le monde.

En effet, plusieurs pays tels que la France, la Belgique, la Suisse,l'Italie, la Chine et l'Australie, prône le libéralisme comme idéologie importante.OPINION SUR LE LIBÉRALISME Je suis tout à fait d'accord avec une grande majorité des idées maîtresses dictées par le libéralisme.

Ces valeursdictées sont, à mon avis, très avantageuses pour un bon fonctionnement de la société et permettent un équilibresain.

Le fait que le libéralisme ne cherche pas à identifier qui devrait avoir le pouvoir, mais plutôt comment chaqueindividu devrait gérer ce dernier, me plait beaucoup.Par ailleurs, le libéralisme représente pour moi une idéologie idéaliste qui a de grandes ambitions, peut-être tropgrandes.

Ces idées maîtresses sont, d'après moi, poussées à l'extrême, faites pour un monde où tous les individussont bons et honnêtes.

Ce n'est clairement pas le cas pour la majorité des sociétés modernes, si ce n'est pastoutes.

C'est pour cette raison que l'on retrouve plusieurs failles dans cette idéologie. CONCLUSION. »