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Les salons - Attaché aux idées des lumières

Publié le 23/09/2018

Extrait du document

Ex : De l’Allemagne, « De l’esprit de conversation »
 
Espace mondain qui a été réservé au femme et qui a permis à la conversation de devenir plus intéressante et brillante.
Elle étudie les interractions entre institution sociale et différentes formes de litté.
Les salons sont pour elle un produit de la monarchie et préserver l’identité nationale passe par la conversation.
L’apogée de la conversation = moment de la révolution car à l’époque on a une association entre aspect agréable du langage et introduction de véritable débat politique dans les salons. 
 
3) Stael : La femme dans les salons et dans la société
 
Extrait universitice « des femmes qui cultivent les lettres » Staël
 
Quelle est la place de la société ?
 
Elles n’ont aucune place définie dans la société, compare à des esclaves affranchies. Toutes les qualités intellectuelles sont des avantages et défauts. Pas de régles stablent qui permettraient de penser à la place de la femme dans la société et une éducation qui pourrait lui permettre de faire face au monde qui l’attend.
 
Quelles distinctions Stael établit-elle entre le sort de la femme sous l’Ancien Régime et son sort depuis la Révolution ?
 
La femme était l’instance régulatrice sous l’ancien régime, elle pouvait rendre les échanges intéressants grace au langage polie, idéalisation de l’ancien régime.
Plus le cas lors de la révolution, femme maintenue dans l’ignorance car pas de concurrence avec les hommes.
 
Quelle éducation des femmes Stael préconise-t-elle ?
 
Pas d’éducation = connaissances se dégradent.
Stael est persuadée que connaissance et mœurs peuvent s’améliorer, on néglige la composante essentielle du perfectionnement et le salon est un lieu qui devait contribuer à la connaissance.
Il faut éclairer les femmes, les rendre lucides et dissuader les femmes éclairer qui recherchent le succès en montrant le malheur et l’indifférence social à laquelle elle s’expose.

« On a plusieurs termes pour parler des salons : Maison ou société comme terme les plus neutres et des termes plus péjoratifs Coterie ou bureau d’esprit. Péjoratif car on mettait en avant un langage raffiné pour parler des choses, on fait valoir ses qualités intellectuels, critique du pédantisme dans les salons, surtout le cas au tournant 17ieme et 18ieme notamment critiquer la préciosité. Ex : Boileau, Satire X 1692. 2) La maitresse de maison Les contemporains parlaient de maitresse de maison.

Tout le monde n’est pas d’accord sur leur rôle dans les salons mais en général on dit qu’elle faisait respecter les règles de politesses et les conventions sociales. Elle pouvait recevoir grâce aux règles aristocratiques : une fois mariée la femme a une vie sociale différente. La femme n’aura pas le même statut en fonction du régime politique, sous la république les femmes restent dans la sphère domestique, dans une monarchie on a l’espace mondain ou elle peuvent exercer certaines actions et ont un espace propre. Dans cet espace mondain elles façonnent les codes et doient être dévouées Qu’elle est la place de l’esprit dans les salons ? Le premier soucis pour la femme qui reçoit est de ne pas être taxé de femme auteur, ne pas avoir la prétention de vouloir rivaliser avec les hommes et être sur le même terrain.

Le succès si on refuse le pédantisme et être une femme de lettre. Ex : Correspondance, Madame d’Epinay, Lettre à Galiani du 4 Janvier 1771 = forme de lucidité sur la sanction sociale. Une femme dans les salons peut écrire des lettres, poèmes, tant qu’elle ne cherche pas à être publié, elle ne peut pas faire des réflexions théoriques car l’opinion seraient contre elle. Madame de Genlis « La femme auteur » 1802 = on a deux persos féminins dont une qui essaye de se distinguer sur la scène publique et l’autre qui essaye de la dissuader.

Elle cherche à être sur le même terrain que les hommes. La femme doit apparaît comme une riche protectrice et pas une femme savante. 3) L’homme de lettre dans les salons Il est difficile de s’intégrer car on a toujours la question de hiérarchie sociale qui reste importante, chacun a conscience du statut social qui l’occupe.. »

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