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L'évolution de l'homme: philosophie, anthropologie et biologie (Descartes, Darwin, Marx, Freud)

Publié le 15/08/2012

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Toutes les aptitudes sur lesquelles les humains reposent sont définies en grande partie grâce aux conditions dans lesquelles les humains se retrouvent. Du point de vue de Freud, l'homme est mené par son inconscient, bien sûr. L'inconscient renferme, d'après moi, la profondeur de l'homme, son essence même, ses valeurs, sa personnalité. Tous les faits et gestes de chacun se sont manifestés de façon à ce que l'inconscient ait décidé de réagir de cette façon-là devant telle situation.  En conclusion, pouvons-nous affirmer que l'homme à évoluer? J'ai perçu tout au long de mon analyse une progression de l'homme, mais je dois avouer que j'ai eu du mal à voir la finalité où l'espèce humaine veut arriver. Pour tout dire, il n'y a pas de finalité bien concrète. Oui il y a eu beaucoup de changement, les modifications comportementales ont eu lieux et on toujours lieux de nos jours. Les sociétés ont vu plusieurs grandes organisations qui n'ont jamais été assez parfaites pour résister à leur opposant, mais qui ont tout de même tenté au fur et à mesure que les demandes de l'homme changeaient. Peu importe qu'elle classe, domine, elle sera toujours remise en question et détrôné lorsqu'elle n'aura plus de force de productivité nécessaire. L'homme s'est graduellement adapté gardant graduellement les traits les mieux adaptés à son environnement. 

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« l'orgueil que de leur suprématie.

L'homme est un animal social.

Il peut sympathiser et est doté d'un facteur inné de protection de leur semblable tel qu'observer dans lerègne animal.

Donc nous aurions hérité de certains comportements de nos ancêtres qui proviendraient du règne animal.Karl Marx déclare que notre éducation, nos réflexes et nos valeurs sont dépendants de notre classe sociale qui est à son tour dépendante de nos modes de productionéconomique.

Toute la structure matérielle repose prioritairement sur le mode de production et détermine la culture et les idées qui animent cette société.

La positiond'une personne ou de quelconques groupes dans une structure économique et sociale définit cette personne ou ce groupe.

Alors, voilà pourquoi si nous changeons lesmodes de production économiques nous pouvons ainsi changer tout le groupe de personnes qui s'y rattache.

Le pouvoir rattaché à une classe sociale est remplacéaussitôt par une autre classe sociale dès que cette dernière classe a épuisé leur force productive.

C'est une longue lutte de classe qui, un peu dans la même optique queDarwin, évolue toujours en gardant les éléments les mieux adaptés au milieu et ainsi remplacée par la classe la plus prometteuse.

Le capitalisme transforme leproducteur en objet et sépare les individus en deux classes; celle où les gens y possèdent l'argent donc le pouvoir et l'autre qui ne détienne que leur travail commevaleur.

Marx dit qu'un jour les humains vont retrouver leur autonomie perdue où il vivra dans une société sans classe.

La vraie nature de l'homme est celle produitepar l'industrie.

La religion pour lui est une aliénation qui prend l'humain pour une sorte de marchandise humaine et lui retire sa nature en tant que producteur.

Il seretire de toutes conceptions matérialistes et perd son statut de producteur et n'a donc plus l'opportunité de récolter le fruit de son travailÀ mon avis, Descartes a amené un point intéressant de la descendance de l'homme comme quoi nous venons des singes.

Bien évidemment inacceptable aux yeux dela société d'autrefois, maintenant plus ouverte d'esprit, nous sommes en mesure d'accepter cette théorie plus aisément.

Défini par la sélection naturelle qui a améliorél'homme dans ses différents traits afin d'en tirer les plus adaptés au milieu dans lequel l'homme vit.

La doctrine de Karl Marx ainsi que celle de Darwin se disantmatérialiste tous deux décrivent l'homme de façon trop simpliste et générale, ils ne prennent pas en considération les caractéristiques personnelles de tous prisesindividuellement.

Tous ont droit de penser de la façon dont il en a envie.

C'en est de même pour leurs actions.

L'homme est fondamentalement fait pour agir comme ille veut selon ses désirs.

De plus, la classe sociale peut contribuer à décrire l'homme, mais pas au point à le définir.

Nous avons tous une responsabilité face à noschoix et nos actions.

Par contre, ce n'est pas l'avis de ses deux philosophes.

Par contre, l'idée que Marx se fait de l'opposition des luttes de classes démontre très bienl'organisation sociale grandissante de l'homme par les différents cycles.

Une classe X qui n'a plus de force de productivité est alors remplacée par une autre plusprometteuse.

Toutes les aptitudes sur lesquelles les humains reposent sont définies en grande partie grâce aux conditions dans lesquelles les humains se retrouvent.Du point de vue de Freud, l'homme est mené par son inconscient, bien sûr.

L'inconscient renferme, d'après moi, la profondeur de l'homme, son essence même, sesvaleurs, sa personnalité.

Tous les faits et gestes de chacun se sont manifestés de façon à ce que l'inconscient ait décidé de réagir de cette façon-là devant tellesituation.En conclusion, pouvons-nous affirmer que l'homme à évoluer? J'ai perçu tout au long de mon analyse une progression de l'homme, mais je dois avouer que j'ai eu dumal à voir la finalité où l'espèce humaine veut arriver.

Pour tout dire, il n'y a pas de finalité bien concrète.

Oui il y a eu beaucoup de changement, les modificationscomportementales ont eu lieux et on toujours lieux de nos jours.

Les sociétés ont vu plusieurs grandes organisations qui n'ont jamais été assez parfaites pour résister àleur opposant, mais qui ont tout de même tenté au fur et à mesure que les demandes de l'homme changeaient.

Peu importe qu'elle classe, domine, elle sera toujoursremise en question et détrôné lorsqu'elle n'aura plus de force de productivité nécessaire.

L'homme s'est graduellement adapté gardant graduellement les traits lesmieux adaptés à son environnement.

L'homme a été gravement controversé lorsque la théorie disant quoi qu'il n'était pas au centre de la Terre et l'a longtemps nié,mais a fini par l'accepter.

Somme toute, l'homme a peut-être évolué pour certains, pour d'autres non, mais une chose est sûre; l'homme s'est modifié dans tous sesaspects pour s'adapter à différentes demandes de nature quelconque.. »

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