Nos désirs peuvent ils être comblés ?
Publié le 15/01/2013
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une insatisfaction que l’homme pourra limiter ses désirs, pourra les rendre accessibles et arrêter ses
fantasmes et ses illusions.
L’insatisfaction apporte une remise en question sur nous même et si ce que nous désirons a vraiment de
la valeur à nos yeux ou si c’est uniquement combler un moment d’ennui ou notre imagination a divagué.
La satisfaction, qui a de l’ampleur aux yeux des autres rend à réfléchir si le résultat de cette volonté a des
bénéfices sur nous-mêmes et sur autrui. La béatitude est-elle vraiment pour notre pour donner une
bonne image auprès des autres ? D’un avis personnel, que le désir soit à l’attention de soi-même ou des
autres, il doit correspondre exactement à ce dont nous imaginions. Certains désirs ont le pouvoir de
«
lieu dans notre imagination active ? Dans tous les cas, ces justifications ont permis de rendre compte
que combler quelque chose qui est insatiable est impossible et que l’homme ne peut rien pour cela .
Malgré tout, une once d’optimisme peut nous faire penser que oui, nous pouvons réellement les combler,
en sachant les maîtriser.
Savoir maîtriser ses désirs rend tout d’abord l’homme juste.
Certes, tous les désirs ne pourront pas être
satisfaits, mais cela ne torture pas l’homme qui sait les maîtriser.
Il sait que certains ne sont pas
nécessaires au bonheur, cet homme a la sagesse de vouloir la simplicité et non l’exigence.
Il est
important de concevoir que désirer doit résulter à un but intelligible avant tout, car si c’est un unique but
de plaisir, c’est en effet assez futile.
Désirer c’est aussi s’enrichir et un grand nombre de désirs sont
superflues et apportent des richesses matérielles et non intellectuelles.
Savoir reconnaître les superflues
des utiles est une bonne maîtrise de ses désirs, on peut de ce fait bien les contrôler, les combler de
manière satisfaisante.
Se satisfaire ce que l’on
a est une bonne maîtrise, ce que nous a donné la nature est suffisant pour vivre alors pourquoi vivre dans
l’excès ?
Il faut de surcroit se dire que la limitation des désirs n’est pas un frein au bonheur, au contraire, cela
amène à une vie paisible, ou l’esprit n’est pas à la recherche de quelque chose d’autre .
Il faut ajouter
malgré cela que la stabilité des désirs est très difficile : en effet, autrui, notre mode de vie, notre
environnement, la publicité, nous suscite à désirer et c’est peut -être en résistant à ces tentations que
nous pouvons bien maîtriser nos envies.
Le mode de vie des hommes joue un rôle dans leurs désirs, un autochtone désirera la paix de sa tribu, le
bonheur de ses proches, un homme d’affaires désirera un bon profit de ses ventes par exemple.
Une stable maîtrise de ce que l’on veut, connaître la nature de nos envies amène ce que le désir suscite :
la plénitude .
Cette plénitude ne peut être envisager que par la connaissance de la nature de nos envies, de se
contenter de ce qui nous rend vraiment heureux, d’avoir cette philosophie que l’abondance n’apporte pas
l’idéal humain mais au contraire nous rend esclaves.
Dans le dessein de trouver un juste milieu, il est bon de penser qu’un désir n’a pas forcément à être
satisfait et peut demeurer dans l’insatisfaction.
Et c’est peut être dans
une insatisfaction que l’homme pourra limiter ses désirs, pourra les rendre accessibles et arrêter ses
fantasmes et ses illusions.
L’insatisfaction apporte une remise en question sur nous même et si ce que nous désirons a vraiment de
la valeur à nos yeux ou si c’est uniquement combler un moment d’ennui ou notre imagination a divagué.
La satisfaction, qui a de l’ampleur aux yeux des autres rend à réfléchir si le résultat de cette volonté a des
bénéfices sur nous-mêmes et sur autrui.
La béatitude est-elle vraiment pour notre pour donner une
bonne image auprès des autres ? D’un avis personnel, que le désir soit à l’attention de soi-même ou des
autres, il doit correspondre exactement à ce dont nous imaginions.
Certains désirs ont le pouvoir de
combler l’existence, d’autres nous donnent l’illusion de la combler, c’est donc important de se dire que la
souffrance n’a pas forcément lieu quand le désir n’a pas apporté son objet mais qu’au contraire avoir
obtenu cet objet nous offre de la souffrance, la souffrance de désirer d’avantage.
En guise de conclusion, le désir étant inévitable, on ne peut y remédier.
Nous pouvons cependant
remédier a l’excessivité des désirs.
Nous pouvons vivre dans la raison et non dans la passion.
Des désirs
ont toujours lieu d’être comblés, d’autres non, et l’acceptation est le meilleur remède.
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