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Nourrir la planète ou Produire des biocarburants ?

Publié le 15/12/2012

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L’expansion du soja et de la canne à sucre au Brésil et dans d'autres pays d'Amérique du Sud, ainsi que

celle des plantations de palmiers à huile en Indonésie et dans d'autres pays de l’Asie du Sud-Ouest et de

l’Afrique, ont été une des causes directes les plus importantes de la destruction des écosystèmes

forestiers qui contiennent la plus grande diversité biologique de la planète. En Malaisie par exemple ,

entre 1985 et 2000, l’agrandissement de la zone consacré aux palmiers à

huile a été responsable de 87% de la déforestion. Une production qui risque de priver les pauvres de

nourriture et de nuire à l'environnement.

Cette concurrence ne touche pas seulement la biodiversité elle touche aussi les agriculteurs qui sont

obliger de céder leur terres pour produire ce "biocarburants" mais aussi de perdre une grosse part de leur

recolte : soit si elle est destiné a ce biocarburant ou alors si elle est infecter par tout ces pesticides.

« de plus en plus de surfaces au biocarburants le quart de la production de maïs est destiné aux voitures. Des forêts sont détruites pour faire des terres à biocarburants, c’est le cas en Afrique, en Indonésie, où on fait de l’huile de palme.

Tout cela représente un sérieux danger alimentaire au niveau mondial et local, vu la forte demande en espaces agricole l'espace qui sera dédié à la nourriture ne va faire que diminuer. En Argentine plus de la moitié des terres agricoles sont actuellement cultivées en soja pour l’exportation et le biocarburant. La production de biocarburants à toucher les marchés de produits alimentaires de trois façons : Il a détourné des céréales de l’usage alimentaire, avec plus d’un tiers du maïs poussant aux États-Unis qui est maintenant utilisé pour produire de l’éthanol et près de la moitié des huiles végétales dans l’UE destinées à la production de biodiesel. Les agriculteurs ont été encouragés à réserver des terres pour la production de biocarburants.

Enfin, cela a suscité une spéculation financière sur les céréales, augmentant encore les cours. Les écosystèmes naturels, et donc la biodiversité peut être toucher soit directement endommagées par la création de ces nouvelles plantations dans les zones forestières, ou indirectement par le déplacement des communautés locales forçées à envahir des zones forestières ou d’autres écosystèmes naturels car leur champs serviront à la creation de ce nouveau carburant. L’expansion du soja et de la canne à sucre au Brésil et dans d'autres pays d'Amérique du Sud, ainsi que celle des plantations de palmiers à huile en Indonésie et dans d'autres pays de l’Asie du Sud-Ouest et de l’Afrique, ont été une des causes directes les plus importantes de la destruction des écosystèmes forestiers qui contiennent la plus grande diversité biologique de la planète.

En Malaisie par exemple , entre 1985 et 2000, l’agrandissement de la zone consacré aux palmiers à huile a été responsable de 87% de la déforestion.

Une production qui risque de priver les pauvres de nourriture et de nuire à l'environnement.

Cette concurrence ne touche pas seulement la biodiversité elle touche aussi les agriculteurs qui sont obliger de céder leur terres pour produire ce "biocarburants" mais aussi de perdre une grosse part de leur recolte : soit si elle est destiné a ce biocarburant ou alors si elle est infecter par tout ces pesticides. Destination Pourcentage Alimentation 47,66% Biocarburant 34,37% Autres 17,97% Pour conclure, nous pouvons dire que les récoltes (la biomasse) est pour le moment répartie de manière logique puisqu'une grande partie est consacré à l'alimentation mais il ne faudrait pa que cette tendance change car avec l'évolution du nombre d'Homme sur Terre il est plus necessaire de produire de la nourriture pour les nourir que un biocarburant qui ne pollue certe pas mais qui utilise des pesticides qui eux polluent. »

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