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Quelles sont les deux conditions de l'échange ?

Publié le 14/12/2012

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Quelles sont les deux conditions de l’échange ?   Un échange n’est juste qu’à deux conditions : les deux produits doivent être égaux. De plus, il faut que les objets soient dissemblables, sans laquelle il serait inutile à l’un comme à l’autre.et la réciprocité de l’échange.   Qu’est ce qu’une égalité proportionnelle, ou proportion ?   Les produits doivent être qualitativement et quantitativement égaux     Pourquoi faut-il que l’égalité proportionnelle, et non l’égalité arithmétique, soit réalisée, pour que l’échange soit juste ?   Égalité arithmétique : les mêmes récompenses ou châtiments sont distribués sans tenir compte des différences individuelles   Égalité proportionnelle : on tient alors compte des particularités de chacun et on distribuera récompenses et châtiments en proportion de celles-ci.   Il faut que l’égalité proportionnelle soit réalisée car si on prend cet exemple, une maison ne vaut pas une paire de chaussures. Sans quoi, il y aurait un gagnant et un perdant   L’échange porte-t-il uniquement et strictement sur les choses échangées ?   Oui,   Sur quoi porte l’acte d’égaliser, et pourquoi est-il indispensable ?   L’acte d’égaliser est le fait de mettre deux objets à la même hauteur. Il est indispensable pour faire un échange. (l.23) : « ce rapport ne serait pas réalisé, s’il n’existait un moyen d’établie l’égalité en...

« L'échange porte-t-il uniquement et strictement sur les choses échangées ?   Oui,   Sur quoi porte l'acte d'égaliser, et pourquoi est-il indispensable ?   L'acte d'égaliser est le fait de mettre deux objets à la même hauteur.

Il est indispensable pour faire un échange. (l.23) : « ce rapport ne serait pas réalisé, s'il n'existait un moyen d'établie l'égalité entre des choses dissemblables. » pour ne pas qu'il y est de perdant et gagnant.       Montrez, d'après le texte, que la monnaie, parce qu'elle est une commune mesure, est nécessairement un intermédiaire, et qu'elle est nécessairement, non pas donné naturellement, mais instituée.

Il ne suffit pas pour caractériser la monnaie, de dire qu'elle est une commune mesure ; Aristote ajoute qu'elle « mesure tout ». Appréciez le sens et la portée de cette affirmation.     (l.15) Toutes les choses ne sont pas nécessairement égales, or si on veut les échanger il est impératif qu'elles le soient, c'est pourquoi on a recours à la monnaie qui est un intermédiaire.   (l.17) la monnaie « mesure tout » la valeur supérieur d'un objet et la valeur inférieure d'un autre.

Grâce à la monnaie, on est capable d'estimer la valeur de l'objet.

Par conséquent on est capable d'équilibrer la valeur inférieure pour la mettre à la même hauteur que la valeur supérieure.

C'est elle qui rend tout commensurable, devient une sorte de moyen terme, puisqu'elle constitue la mesure de tout.

Si bien que, évaluant aussi l'excès et le défaut, elle permet alors d'établir combien de chaussures équivalent à une maison ou à de la nourriture.. »

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