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religion fiche révision

Publié le 22/09/2013

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RELIGION 13 La notion est à envisager également par la notion de croyance. Elle est donc présente dans le cours dans le gros chapitre sur le politique/l'Etat la société etc. On la retrouve également dans tous les chapitres ayant un lien avec la vérité/la réalité puisqu'elle est à envisager également dans son rapport à la rationalité. I - Définition « Une religion est un système solidaire de croyances et de pratiques relatives à des choses sacrées, c'est-à-dire séparées, interdites, croyances et pratiques qui unissent en une même communauté morale, appelée Église, tous ceux qui y adhèrent. « DURKHEIM Croyance : « Adhésion subjective à une thèse qui n'est pas nécessairement démontrée «. La première définition relève plus du champ sociologique. La seconde philosophique. Il s'agit donc de l'envisager dans son rapport à la vérité et donc dans le lien qu'elle a avec la rationalité qui est, a priori, la meilleure porte d'accès à la vérité. En d'autres termes, est-il loisible, juste de croire. II - Raison et croyance La raison et la croyance s...
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«         ­ Elle peut aussi gagner en valeur en étant actualis ée par la d émonstration, en   é tant            l’objet de la d émonstration   : un principe (pr ésuppos é, «   intuitionn é   »…) peut   avoir            plus de valeur s’il est ensuite d émontr é.  ­Croyance n écessaire  à la raison   : ­Pour les principes. Par exemple, l’id ée de la v érité, absolue, est un id éal   r égulateur,                   donc une potentialit é peut­ être atteignable. Il est n écessaire d’y   croire (qu’on     puisse y acc éder)  pour que la recherche de la v érité (donc la raison)   soit.      Plus fondamentalement, on peut m ême penser que toute action ou concept  à l’état   de    potentialit é nécessite la croyance en la possibilit é de sa r éalisation pour   qu’apparaisse                  l’id ée de son essence. S’il on le croyait pas possible la r éalisation, la   concr étisation d’une      action ou d’un syst ème\d’une id ée\d’un concept, on ne pourrait   penser rationnellement,    c àd non­spontan ément, avec un horizon temporel.  La   croyance serait donc la condition    de possibilit é d’action et de construction\d’ élaboration   de pens ées rationnelles.   III ­Le statut de la religion La question qui peut se poser n’est plus n écessairement s’il est loisible de croire, mais plut ôt de trouver la source   des religions.  Nombreuses (culturelle,  épist émologique, naturelle… les th èses sont multiples) on peut les   «   classer   » selon deux natures   :  ­ Immanente (pr vivre)                             ­Transcendante (pr conna ître) Les philosophes   :  ­Montaigne   : part d’un constat   : l’homme veut conna ître mais ne peut pas. Il d éveloppe alors sa th èse fid éiste. La   religion a ici un statut transcendant. ­ Marx   : critique «   triplement   » les modes de pens ée de son temps   : critique sociale­ économique­philosophique. La   religion fait partie de cette critique   : elle est pour lui un moyen de la classe dominante de maintenir sa puissance   sur les domin és en leur promettant un au­del à illusoire les laissant dans la passivit é. (Source immanente donc).

  Plus globalement on peut le replacer dans le contexte fin 19­ d ébut 20 i ème  qui voit peut  à peu «   l’effondrement   »   (relatif tout de m ême) de la religion. Citations   :   «   La religion est l’opium du peuple   » mais aussi «   la mort de dieu   »   (Nietzsche) ou «   besoin inconscient ali énant   » (Freud) pour qualifier Dieu. ­Bergson   : La religion est un ph énom ène humain, relevant d’une construction imaginaire et culturelle qui va  à   l’encontre de la rationalit é, pratique pour vivre ( à mettre en lien avec l’id ée de la simplification pratique   ?). Source   immanente, pratique.. »

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