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Rousseau: discours sur l'origine de l'inégalité

Publié le 26/10/2014

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L'auteur L'auteur de ce livre est Jean-Jacques Rousseau, un écrivain, philosophe et musicien. Rousseau naît le mardi 28 Juin 1712 à Genève dans une famille d'horlogers calviniste d'origine française. Sa mère, Suzanne Bernard, était une fille d'horloger et son père, Isaac Rousseau, était lui-aussi maître-horloger. Sa mère était une musicienne très cultivée et son père un grand voyageur, plusieurs caractéristiques que l'on retrouve aussi chez Rousseau. Il a eue une vie tourmentée, qu'on pourrait répartir en trois actes principaux : son enfance et ses années d'apprentissage et de formation ; son départ pour Paris en 1741 ; et la lutte jusqu'à son départ de France en 1762. 1. Il faut savoir que Rousseau n'a pas eu une enfance facile : son premier malheur est le décès de sa mère quelques jours seulement après sa naissance. Puis, alors qu'il est âgé de sept ans, son père est condamné à trois ans de prisons pour avoir chasser dans une propriété privée. Pour ne pas avoir à subir sa peine, il décide de fuir et de s'installer à Nyon, où il restera toute sa vie. Il est donc mis sous la tutelle de son oncle, qui l'envoie chez un pasteur, en compagnie de son cousin. C'est là que n'est le Rousseau « amoureux de la nature », ce qui a certainement influencé la rédaction de l'homme à l'état de nature dans son discours sur laquelle nous allons revenir. Il rentre à Genève en 1721, où il fait d'abord un apprentissage de greffier puis dans l'atelier d'un graveur. Dans ces différents apprentissages, il est traité presque comme un esclave et connaît donc l'asservissement, chose que l'on va beaucoup retrouvé dans son discours sur l'inégalités. Un soir en 1728, alors qu'il est âgé de 16 ans, il rentre d'une promenade et retrouve les portes de Genève fermées. Il imagine déjà l'accueil qu'il va recevoir le lendemain (de la part de son « employeur » et décide donc de ne plus revenir. Il part alors chez Madame de Warens, femme qui deviendra plus tard son amante, qui l'envoie chez un prêtre à Turin. Là-bas, il se convertit au catholicisme et fait ensuite plusieurs métiers afin de pouvoir gagner son argent. Après quelques mois en tant que laquais, il retourne à Chambéry, où habite Madame de Warens. En 1729, il part pour faire un tour de Suisse avec un religieux, où il passe par Neuchâtel, Fribourg ou encore Lausanne. On ose imaginer qu'il a du y rencontrer beaucoup de monde dans ses voyages, apprendre beaucoup de choses, et donc agrandir sa culture qu'on pourra retrouver dans ses oeuvres. Il fait ensuite dans les années qui suivent plusieurs voyages à Lyon, Besançon (pour y apprendre la musique) ou encore Montpellier où il doit soigner une maladie qui le suivra toute sa vie. Durant les 12 années suivantes, il enchaine entre différents métiers, dans les bureaux d'un trésorier, et entre la ville chez Madame de Warens, à Chambéry. Il y a énormément lu, s'est beaucoup instruit et a donc beaucoup appris. Il s'est aussi pris pour une passion de la musique et il aurait d'ailleurs donné certains cours de musique, s'était improvisé chef d'orchestre et souhaitait inventé une nouvelle sorte de notation de la musique avec des chiffres. Il part donc pour Paris en 1741, pour y montrer sa méthode et essayer de faire fortune, mais celle-ci n'aboutit malheureusement pour lui à rien. 2. Pendant plusieurs années, Rousseau va chercher sa voie. Une carrière dans la politique semble s'ouvrir à lui mais, amoureux des lettres, commence sa carrière d'écrivain politique en 1743, alors qu'il est âgé de 31 ans. Il tente de réussir à faire une carrière dans la musique et dans l'écriture, mais il échoue dans la musique et se consacre donc entièrement à l'écriture. Il rencontre beaucoup de philosophes, tels que Diderot ou Voltaire. Il entre dans le cercle des philosophes, collaborent avec certains, écrit quelques articles pour « l'Encyclopédie » à la demande de Diderot. En 1750, il publie son premier « Discours sur la science et les arts » pour le concours de l'Académie de Dijon. Il lui fallait déterminer à travers ce texte « Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les moeurs » Il gagne le premier prix du concours et grâce à ça, il passe de l'anonymat à la célébrité du jour au lendemain. Cinq ans plus tard, il publie le « Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes ». Mais on ne va pas s'attarder sur celui-ci car il sera amplement développé plus tard. Rousseau avait un avis très différent des autres philosophes, ce qui a pu créer un « conflit » avec Voltaire. Il a une façon de penser bien à lui ce qui fait que beaucoup de ses ouvrages ont été critiqués par différents écrivains ou philosophes. Entres 1756 et 1762, Rousseau fait un court voyage à Genève avant de s'installer à l'Ermitage (près de Montreux) puis à Montmorency ~15km de Paris). Durant ces six années, il écrit un article sur la ville de Genève pour l'Encyclopédie (1757), plusieurs lettres de réponse à différents philosophes, la Nouvelle Héloïse (1761), Du contrat social (1762), Émile (1762). La « Nouvelle Héloïse » est un ouvrage qui met en scène Julie et Saint-Preux, deux amants d'un village des Alpes s'envoyant des lettres. Il se met dans la peau des deux personnages et crée une histoire à partir des lettres qu'ils s'envoient. Le « contrat social » est un ouvrage dans lequel Rousseau établit une organisation juste, qui se base sur un pacte qui garantit l'égalité et la liberté des citoyens. Deux notions qui reviennent aussi beaucoup dans le « discours sur l'origine de l'inégalité ». Ce texte s'est imposé comme un élément majeur de la philosophie politique. « Emile » est un travail de Rousseau qui parle de l'art de former les hommes. Encore aujourd'hui, c'est un des ouvrages les plus populaires sur ce sujet. On remarque à travers ces différents ouvrages, que Rousseau parle aussi de thèmes qui reviennent dans son 2ème discours tels que l'égalité, la liberté ou les hommes. A cause d'« Emile», Rousseau est accusé de « prise de corps » et se voit obligé de quitter la France pour revenir en Suisse.
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« l’écriture, mais il échoue dans la musique et se consacre donc entièrement à l’écriture.

Il rencontre beaucoup de philosophes, tels que Diderot ou Voltaire.

Il entre dans le cercle des philosophes, collaborent avec certains, écrit quelques articles pour « l’Encyclopédie » à la demande de Diderot.

En 1750, il publie son premier « Discours sur la science et les arts » pour le concours de l’Académie de Dijon.

Il lui fallait déterminer à travers ce texte « Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs » Il gagne le premier prix du concours et grâce à ça, il passe de l’anonymat à la célébrité du jour au lendemain.

Cinq ans plus tard, il publie le « Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes » .

Mais on ne va pas s’attarder sur celui-ci car il sera amplement développé plus tard.

Rousseau avait un avis très différent des autres philosophes, ce qui a pu créer un « conflit » avec Voltaire.

Il a une façon de penser bien à lui ce qui fait que beaucoup de ses ouvrages ont été critiqués par différents écrivains ou philosophes.

Entres 1756 et 1762, Rousseau fait un court voyage à Genève avant de s’installer à l’Ermitage (près de Montreux) puis à Montmorency ~15km de Paris).

Durant ces six années, il écrit un article sur la ville de Genève pour l’Encyclopédie (1757), plusieurs lettres de réponse à différents philosophes, la Nouvelle Héloïse (1761), Du contrat social (1762), Émile (1762).

La « Nouvelle Héloïse » est un ouvrage qui met en scène Julie et Saint-Preux, deux amants d’un village des Alpes s’envoyant des lettres.

Il se met dans la peau des deux personnages et crée une histoire à partir des lettres qu’ils s’envoient. Le « contrat social » est un ouvrage dans lequel Rousseau établit une organisation juste, qui se base sur un pacte qui garantit l’égalité et la liberté des citoyens.

Deux notions qui reviennent aussi beaucoup dans le « discours sur l’origine de l’inégalité ».

Ce texte s’est imposé comme un élément majeur de la philosophie politique. « Emile » est un travail de Rousseau qui parle de l’art de former les hommes.

Encore aujourd’hui, c’est un des ouvrages les plus populaires sur ce sujet. On remarque à travers ces différents ouvrages, que Rousseau parle aussi de thèmes qui reviennent dans son 2 ème discours tels que l’égalité, la liberté ou les hommes. A cause d’« Emile», Rousseau est accusé de « prise de corps » et se voit obligé de quitter la France pour revenir en Suisse. Il s’installe d’abord à Yverdon, puis à Neuchâtel.

Là se crée un véritable conflit avec Voltaire et la population de son propre village prends position contre lui.

Il va alors à Bienne, mais ce séjour est très bref car le sénat de Berne le trouvant suspect, il se voit expulsé du pays.

Il va alors à Strasbourg, puis à Paris et même en Angleterre avant de revenir en France en 1767 pour ne plus jamais la quitter. 3. Il rentre alors à Lyon, où il achève deux ans d’écriture des son premier livre des « confessions ».

Deux ans plus tard, en 1769, il reprend l’écriture de ses « confessions » qu’il termine en 1771.

Les « confessions » sont une autobiographie de Rousseau qui couvre les années depuis sa naissance, jusqu’à 1765.

C’est divisé en douze livres, qui eux-mêmes sont séparés en deux parties.

Le livre sera publié seulement en 1782 pour la première partie, et 1789 pour la deuxième.. »

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