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Sciences naturelles et sciences de l'homme ?

Publié le 12/02/2010

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Le pluriel du concept de science et diversité des domaines    Le pluriel du mot « sciences « est ici important, puisque la science se divise en plusieurs domaines scientifiques, comme les sciences de la nature et de l'homme.  - les sciences de la nature regroupent : physique, chimie, biologie, anatomie, génétique, généalogie et l'étude du corps et des mécanismes de la vie.  - Les sciences de l'homme : c'est tout ce qui se rapporte à la conduite et à l'esprit humain dans la société culturelle dans laquelle il évolue : économie, sociologie, anthropologie, psychologie, philosophie, linguiste, et l'histoire.     

« régulières du fait de la liberté de chacun.

Il n'y pour ainsi dire pas assez de constances pour prévoir à l'avance ourépéter à l'infinie.

En fait, les sciences de l'homme ne font qu'expliquer le comportement des hommes, et rationaliserleurs conduites.

Par ailleurs, si l'on supposait que les sciences de l'homme soient de vraies sciences, cela remettraiten question la liberté humaine, qui serait donc d'emblée restrictives et conditionnées.

Il est donc impossible à leuractuelle d'affirmer ou non si les sciences humaines sont bel et bien des sciences. Où ranger la sociologie ?: La sociologie est un domaine un peu à part qui se mélange à la fois dans les sciencesnaturelles et de l'homme.

En effet, bien qu'elle se rattache aux actions des hommes et à leurs conséquences, ellen'aborde pas le monde en général, mais sous un angle particulier, avec de la détermination et de la démonstrationdans toutes les démarches qu'elle entreprend. IV.

Définition de la scientificité Science et vérité Ainsi, la science est le domaine qui nous conduit à des vérités par une démarche objective.

Mais plus exactement :La science établit des hypothèses d'explication du monde qui sont tenues pour vraies et qui sont considéréescomme des vérités tant que nous n'en n'avons pas trouvé le moyen de les valider.

Cette conception de la scienceimplique alors que la science ne construit pas les vérités.

En effet, la vérité scientifique n'est rien d'autre que cequ'une époque choisit de reconnaître comme l'hypothèse la plus probable pour expliquer un fait.

Ce choix n'estcependant pas subjectif, et il faut prendre conscience que les vérités objectives peuvent être remises en questiondès lors qu'il y a une avancée scientifique « supérieure » aux précédentes.

Pluton était encore il y a dix ans uneplanète, aujourd'hui elle ne l'ai plus. La science devient ainsi la révision de nos jugements, et la rectification de nos connaissances pour ne pas resterdans l'erreur. Dès lors, il devient essentiel pour que la science puisse avancer, qu'une communauté scientifique participe à sonélaboration.

La science se joue alors dans le dialogue, dans la discussion et les échanges à propos des hypothèsesproposées.

C'est donc un cheminement collectif et non individuel qui permet la compréhension du monde. Sujet désiré en échange : Bergson et le machinisme. »

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