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sens

Publié le 11/12/2012

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Un début de problématisation ...     Les sens ne sont- ils pas suffisants pour nous fournir toutes nosconnaissances ?Introduction :Je peux être myope ou presbyte et avoir ainsi une image déformée des choses ; je peux être partiellement sourd, et mal percevoir des sons, ou ne pas percevoir certaines fréquences, etc. un bâton plongé dans l'eau m'apparaît cassé : je le retire de l'eau et constate qu'il est en réalité droit ; assis dans un train, je crois que mon train démarre, alors que c'est celui de la voie voisine qui s'ébranle ; une bille roulée entre mon index et mon majeur croisés me paraît double. Quotidiennement nous expérimentons des erreurs de nos sens que nous qualifions de défaillances ou d'illusions sensorielles.Cependant, quand elle dénonce ces défaillances ou ces illusions sensorielles, la consciencecommune le fait en les opposant aux perceptions normales et correctes des sens : elle pose donc, que, dans leur fonctionnement habituel, normal, les sens nous font percevoir correctement les choses, telles qu'elle sont réellement, tandis que, dans le cas des défaillances, pathologiques ou non, ainsi que des illusions, ils nous trompent. Il existerait donc des perceptions vraies, qui fourniraient nos connaissances et des perceptions fausses.Mais dès lors, que les mêmes sens sains, qui « normalement « sont supposés percevoir les choses telles qu'elles sont, peuvent percevoir dans certains cas des choses fausses, comment puis je être sur, lorsque je perçois, que je suis dans le 1er cas et non dans le 2d ? la suspicion est ainsi jetée sur la fiabilité des sens et cette suspicion peut devenir une défaillance complète, qui conduit à soute...

« son importance.

Il y a là, en effet, le fait que les sens nous apportent une partie de notre connaissance, dans le cas où ils ne seraient pas suffisants pour nous la fournir complètement.

Dans le cas contraire, les sens nous fourniraient toute notre connaissance et notre intelligence se baserait donc uniquement sur eux et ne chercherait pas à aller au-delà de ce qu’ ils apporteraient.

Si les sens ne sont pas suffisants pour nous fournir toute notre connaissance, quels seraient les autres éléments capables de nous la fournir ? Pour répondre à cette question, il serait nécessaire d’ expliciter en trois parties, les éléments nous fournissant ce qu’ on appelle « la connaissance ».

Les sens, la perception et la théorie et l’ expérience seront exploités dans ce même ordre. L’ être humain étant doté de sens, il lui est possible de différencier, grâce à cela, chaque chose l’ une de l’ autre pour ainsi pouvoir former un jugement.

L’ Homme regarde un objet, l’ étudie, transforme cet objet en une pensée et ainsi réalise son propre jugement sur cet objet.

Il y aura là une analyse vis-à-vis de cet objet.

Mais cette analyse ce réalise à partir de connaissances à mon avis, les sens ne sont pas suffisants, car ils sont limités, pour faire vite on a pas de yeux derrière la tête, et si l'on regarde devant soi on ne peut regarder sur les cotés, de même l'ouie, pour ainsi je dirais même que l'état normal de l'humain ou du moins le plus spontané mais que tout le monde cache est la paranoÏa, étant donné que l'on ne dispose jamais de toute les informations, donc 1: ils ne sont pas suffisants...par contre j'ai lu dans un livre intitulé "prodige de la main" qu'une femme sourde et aveugle avait écrit un livre et avait développé un moyen de perception d'autrui, une manière de distinguer ses proches par rapport aux poignées de mains, à la main posée sur leur glotte, aux vibration ou déplacement de l'air dans leurs gestes et ou clignements des yeux, d'une personne à une autre elle distinguait des différences dans ces choses là, une hyper sensitivité qui lui permettait de reconnaître les gens à la fois d'un ami que l'on distingue de la foule en le voyant, enfin là j'éxagère du moins elle avait toruvé un système compensatoire se substituant à la vue et l'ouie, je te donne son nom, peut-être trouveras tu sur internet des infos de plus, car tu peux la citer en exemple: pour la partie 2 comme anti thèse de la première: si tous lessens ne sont pas suffisants pour tout connaître, trois sens (odorat, toucher, gout) peuvent suffire pour avoir une apréhension et une connaissance de son environnement immédiat au moins égale à aux cinq sens réunis, ainsi donc, les cinqs sens sont -ils indispensables, et la plasticité du cerveau humain n'est-elle pas justement telle, que la connaissance est antérieure aux sens, dans la mesure ou pour s'adapter là la perte d'un sens l'homme doit s'appuyer ou développer des connaissances, m'enfin, ça frise le hors-sujet, mais pourquoi pas en ouverture: donc son nom et un extrait de texte de "prodige de la main": "l'acuité tactile d'hellen keller se manifeste à tout moment: "les gens que je rencontre ont un langage d'une muette éloquence, il y a des mains dont le contact est une impertinence.

J'ai rencontré des gens si peu aptes à la joie qu'en touchant l'extrémité de leurs doigts, je croyais sentir ma main effleurée par le souffle des vents arctiques.

Il en est d'autres dont les mains semblent emprisonner du soleil, leur étreinte vous fait chaud au coeur." " De mark twain, elle écrit qu'elle perçoit "le clignement de son oeil dans l'étreinte de sa main.".

Là où d'autres se souviennent des gens qu'ils ont croisées, elle garde en elle la mémoire de la pression des mains sérrés et de toutes les contractions qui distinguent les individus les uns des autres.

Elle sent à la surface de sa peau les vibrations des rues des grandes métropoles et elle préfère marcher à la campagne plutot qu'en ville.

" le grondement sourd et continu de la ville en travail agit sur mes nerfs (...).

Elle dit se souvenir dans ses doigts de discussions avec ses amis.

"Quand un passage de ses l'intéresse, ou qu'elle désire le fixer dans sa mémoire, elle se le répète rapidement sur les doigts de la main droite, quelques fois ce jeu de mains est. »

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