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Technique - henri focillon - descartes et autres

Publié le 11/01/2013

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La technique - Descarte Qu'est ce que la technique ? L'acte technique n'est possible que grâce à une claire opposition entre l'objet et le sujet. Pourquoi ? La technique est une prise de position des choses, on va agir sur la matière. C'est parce que je (le sujet) me pense distinct des choses (les objets) que je peux agir sur elles, l'acte technique est possible. Qu'est ce qu'il s'est passé dans l'histoire de la technique ? A un moment la technique prend une autre figure. L'homme (tout un chacun) se pense maître de la nature, il cherche à posséder la nature (être maître c'est posséder). A partir de Descarte, des temps moderne, la nature va être réduite à quelque chose de complètement exploitable. Lecture des méditations en classe (il en existe 6) le texte est moderne car il est écrit à la première personne. Etonnante facilité mais complexe car très riche. Le terme opinion envoie à la doxa (opposer à épistémé, Ensemble des connaissances scientifiques, du savoir d'une époque et ses présupposés.) Créance : foi, en quoi on croit Sur quoi repose son projet ? Il y avait beaucoup de choses qui n'étaient pas claires. Des choses pour lesquelles on lui dit « c'est comme ça « (c'est un argument d'autorité) Ex. : « La terre est plate « « Pourquoi ? « « Parce que Aristote l'a dit « utilisation d'une figure d'autorité pour imposer son idée. Enseignement solastique (système d'enseignement pendant le Moyen-âge. On utilisait les arguments d'autorité Travailler sur des questions de théologie, sans chercher à éclaircir les choses. On ne décortiquait pas les problèmes. Ce que Descartes reprochait à cet enseignement c'est que tout est sur la même ligne. Pas de grille d'analyse, pas de point de repère assez précis, pas de regard extérieur qui crée une hiérarchie entre les notions. Descartes est insatisfait de l'enseignement qu'il a reçu. Il ne s'y retrouve pas, il a besoin de clarification. C'est ce désordre qu'il pointe du doigt quand il parle de « principes mal assurés « Il a réfléchit aux conditions de la science pour que la science soit certaine. Il a expliqué comment utiliser la raison (esprit logique) pour clarifier la situation. Malgrès ça, il s'aperçoit que la science reste obscure, il est prit d'un doute. On parle du doute cartésien. Projet metaphysique. Fondement des choses fondement de la science. Le scientifique et le philosophe doivent chercher des certitudes et pour ça ils doivent s'appuyer sur des évidences. Ex. : quand on pose une question tout est emmêlé. On décompose les difficultés (esprit d'analyse). Analyser c'est réduire quelque chose qui est un composé en unité simple. La simplicité a une valeur dans cette pensée car elle apparaît évidente. Une évidence (ce que le scientifique doit chercher) c'est une idée simple donc claire et distincte, phrase cartésienne. Elle est claire donc elle s'impose. Donc elle est distincte, donc impossible a confondre. Ex. : le triangle est un triangle pas un carré. é/vidence ex/videre ex : saute, videre : voir saute aux yeux Je n'accepte pas avec la foi ni avec un argument d'autorité mais parce que cela s'impose dans mon esprit logique. Dans l'évidence pour Descarte, il y a la notion d'image (pas pour les yeux mais pour l'esprit, l'image qu'on se crée dans notre cerveau) Mettre les choses en doute c'est un outil 3 aspects l'évidence idée claire et distincte le doute Descarte n'acceptera pour vrai que les évidences. Deux aspects importants retrouver les principes pertinents éliminer le moindre doute Dés qu'un principe n'est pas certain, on le vire, ainsi que toutes les connaissances qui vont avec. Principes anypothétique principe qui doit pouvoir servir de fondement pour toute la connaissance. Pour la science (pas la morale, ni l'esthétique, etc) Le 1er principe ce sont les SENS (vu en 2eme) ils nous apporte la connaissance de l'objet. Lecture du texte Scepticisme. Ecole de philosophie de l'antiquité. Ecole très importante qui utilise le doute. Les sceptiques avaient conclu que les sens étaient trompeurs (illusions) mais sont aussi individuels (chacun ressent différemment) donc aucune connaissance objective possible le doute est permanent. Tout ce qui est sensoriel est viré. C'est beaucoup car c'est tout le domaine de la perception qui est éliminé. Les rumeurs font aussi partie des sens rejeté Modernité du discours. Les rêves proposent des images, des représentations qui sont très fortes, qui paraissent vraies. Images mentales avec un degré de réalité percutante. On est jamais sûr complètement de ne pas rêver. Rien ne prouve qu'on ne rêve pas. Puisque les rêves ressemblent extrêmement fort a la réalité. La technique implique une compréhension, un rapport a la matière et aux objets? Et ce rapport peut se synthétiser de la manière suivant : le sujet se pense complètement coupé des objets de manière radicalement distincte. Il se pense coupé à la matière, il se comprend lui même d'une manière radicalement distincte du monde des objets. Il y a les objets et puis le sujet. Il y a le sujet et puis les objets. Ca circule constamment. Cette façon de se réfléchir par rapport au monde et aux objets, c'est historiquement déterminé. Il y a un moment dans l'histoire de la culture ou cette réflexion (sujet opposé aux objet) je ne suis pas eux ils ne sont pas moi, c'est devenu un thème a part entière. A un moment un philosophe y a réfléchi et c'est devenu un thème. Savoir ce qui est faux ou vrai. Il considère tout comme faux dés qu'il y aura le moindre doute. Quand c'est un évidence saute aux yeux. Terme tout a fait positif. Il cherche aussi des certitudes. Les idées claires et distinctes sont celles qui sont évidentes et sure. Ça s'impose a l'esprit que si c'est claire et simple C'est la SIMPLICITE qui rend les idées claires et distinctes. Et donc elle s'impose a moi comme une évidence. Si elle est composée, ça ne va pas car il y a des choses obscures, il y a par exemple trois idées claires ensembles, notre esprit n'est pas fait pour comprendre en même temps 3 idées claires qui deviennent une idée simple en même temps même si c'est logique. On passe du maillon A au B. Mais a chaque fois en décortiquant un a la fois les maillons. Notre cerveau ne fait pas ce travail en un coup. Quand par ex : on perd la mémoire et qu'on essaie de faire une démonstration, on oublie ce qu'on vient de dire, l'élément logique qui mène a ce qu'on est en train de dire. A chaque étape du raisonnement nous ne pouvons assimiler qu'une idée simple. C'est dans l'idée composée qu'il peut y avoir des erreurs. Par ex. : On part du plat de spaghetti. On divise analyse, sépare pour avoir des idées simples. Devient un composé éclairci. Et on arrive a un final hiérarchisé. Descarte va faire des catégories, il va relier ces connaissances a un fondement. Il va s'attaquer au fondement, par exemple, les connaissances qui me viennent des sens, la perception. Le fondement c'est quoi ? Les sens. Domaine des illusions dû aux sens. 2 étapes 1) Les connaissances qui viennent des sens sont subjectives. Ex de Descarte, tu aime le miel et moi les olives : question de goût. Donc les sens ça ne va pas car dés qu'il y a la moindre raison de douter, ça ne va pas. 2) L'instant présent. Connaissance sensoriel très proche, perception de mon corps dans l'instant présent. Je ne peux le mettre en doute sauf a etre traité de fou. C'est l'étape de l'hypothèse de la folie. Il rejette l'hypothèse de la folie. Il est dans la raison. 3) Hypothèse du rêve. Comment articuler avec nos mots la façon dont ça nous vient à l'esprit avec nos mots ? Quand nous rêvons il y a un degrés de réalité qui est aussi fort que les images qu'on a a la perception à l'étape d'éveil pour me dire « je suis assis sur cette chaise «. Un rêve par définition, c'est aussi réel que le réel. C'est lorsque nous nous reveillons que nous prenons conscience du rêve. Les images sont aussi fortes que lorsqu'on est éveillé. Il faut s'éveiller pour pouvoir faire la comparaison. Descarte ne nous parle pas d'inconscient. Il nous dit que les images ont le même degrés de réalité. Il n'y a aucune différence. Quand on rêve, les choses sont logiques. On a pas de critères qui puisse dire qu'on rêve ou non. Sur quoi s'appuyer pour savoir si oui ou non on reve ?? Supposons donc que nous rêvons. Rejet des connaissance qui viennent des sens. Angoisse métaphysique. Imaginons qu'on se réveille et que toute notre vie ne soit qu'un rêve. Pourquoi choisir comme conclusion d'être endormi et faire comme si on rêvait puisque, comme il le dit, il n'y a pas de possibilité de discriminer entre le vrai et le faux, entre l'éveil et le sommeil, la perception , les images perceptives et les images du rêves ? Pourquoi ne dit il pas « supposons que nous soyons tous éveillez «. Parce que si il dit ça, il n'y a pas lieu de réfléchir. Supposer qu'on est endormi c'est arriver a se dire que tout ce que nos vivons est une pure illusion. Il choisi cette supposition pour mettre en application ce qu'on disait plus haut : si il y a la moindre raison de douter, on supprime. Radicalisation pure de la réflexion. Puisqu'on peut pas déterminer l'un ou l'autre on est dans l'illusion. Il n'affirme pas que nous sommes endormi, il suppose. la démarche métaphysique c'est quoi ? Dans la démarche métaphysique le philosophe met en doute des aspects de la vie quotidienne qui jusque la lui paraissait évidente. C'est dans le quotidien que la démarche métaphysique nous prend a la gorge. Quand le réel devient irréel. Recherche du fondement, quelque chose d'absolu, d'absolument certain. Quelque chose qui peut nous toucher tous, démarche métaphysique c'est quelque chose de vécu de l'intérieur qui va nous ébranler complètement. La ou le sujet va se dire « je ne sais plus si c'est réel ou irréel «. Monde des apparence vs monde du vrai Monde des illusions vs monde de la vérité Ces mondes c'est platon qui va s'y attarder. Il ne remet pas en doute les idées simples et claires. Pq ca ne les décrédibilise pas. Que tu veille ou dorme une idée simple s'impose. Mon esprit ne peu pas le nier. Une idée simple s'imposera toujours. Parce qu'il n'y a pas d'obscurité. Que je dorme ou que je veille un carré aura toujours 4 côtés. La couleur rouge est toujours rouge. Est ce que le carré correspond a quelque chose dans la réalité ? ça c'est une autre question. 4) les essences mathématiques. Puisque tout ce qui me vient des sens, tout peut être illusions, ce qui me paraît vrai c'est la couleur de mes rêves. Dans nos images mentales, il y a quelque chose qui semble correspondre ce sont les vérités mathématiques. Elles correspondent a un très grd degrés de simplicité. Vérités mathématiques s'impose, elles sont claires et simple que ce soit dans les rêves ou la réalité. Il ne renie pas les sciences comme la médecines etc. Mais ce sont des sciences composées, elle découle de vérité mathématique ? Quand c'est composé c'est douteux. Mais il ne renie pas ces sciences. Pour former un savoir il me faut des idées simples qui sont des vérités mathématiques. Il y a quand même des choses farfelues dans le rêve. Mais pour rêver il faut de la couleur, de l'étendue, de la surface vérité mathématique. La représentation spatiale est une vérité mathématique. Cognito ? je pense donc je suis 4) L'hyp...
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« • • Descartes est insatisfait de l’enseignement qu’il a reçu. Il ne s’y retrouve pas, il   a besoin de clarification. C’est ce d ésordre qu’il pointe du doigt quand il parle de   «   principes mal assur és   » • • Il a r éfléchit aux conditions de la science pour que la science soit certaine. • 2) Il a expliqu é comment utiliser la raison (esprit logique) pour clarifier la situation. • Malgr ès ça, il s’aper çoit que la science reste obscure, il est prit d’un doute. On   parle du doute cart ésien. • Projet metaphysique. Fondement des choses    fondement de la science. • Le scientifique et le philosophe doivent chercher des certitudes et pour  ça ils   doivent s’appuyer sur des  évidences. Ex.

  : quand on pose une question    tout est   emm êlé. On d écompose les difficult és (esprit d’analyse). Analyser c’est r éduire   quelque chose qui est un compos é en unit é simple. La simplicit é a une valeur dans   cette pens ée car elle appara ît évidente. Une  évidence (ce que le scientifique doit   chercher) c’est une id ée simple donc claire et distincte, phrase cart ésienne. Elle est   claire donc elle s’impose. Donc elle est distincte, donc impossible a confondre. Ex.

  :   le triangle est un triangle pas un carr é.  • é /vidence    ex/videre ex   : saute, videre   : voir    saute aux yeux • Je n’accepte pas avec la foi ni avec un argument d’autorit é mais parce que cela   s’impose dans mon esprit logique.  • Dans l’ évidence pour Descarte, il y a la notion d’image (pas pour les yeux mais   pour l’esprit, l’image qu’on se cr ée dans notre cerveau) • Mettre les choses en doute    c’est un outil • • 3 aspects  •   l’ évidence •   id ée claire et distincte •   le doute • • Descarte n’acceptera pour vrai que les  évidences. •. »

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