60 résultats pour "laforgue"
- LAFORGUE, Jules (1860-1887) Né à Montevideo, il est mort phtisique à vingt-sept ans, après une vie dont le meilleur temps est celui qu'il passe à la cour de Prusse comme lecteur de l'impératrice.
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Commentaire composé de Spleen de Jules Laforgue
reflètent dans l'eau. Ceci nous montre donc que le poète se regarde comme un ombre, c'est-à-dire quelque chosed'impalpable qu'on peut ne peut pas même voir sauf avec de la lumière. On constate ce que sent le poète et avecquoi il s'identifie. On aboutit à la conclusion, avec cet effet, que le poète a une crise d'identité qui ne peut queterminer lorsque le poète laisse son état d'ennui. En effet, son sujet se mélange avec quelque chose de mystérieuseet presque irréel. En outre, le mélange des sent...
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Jules Laforgue est un poete complexe a etudier car il mele toujours a sa poesie de
lauto-derision et veille a...
Jules Laforgue est un poete complexe a etudier car il mele toujours a sa poesie de lauto-derision et veille a meler dans ses poemes leur propre critique. Il faut donc demeler dąbord quels sont les procedes ironiques qu'il utilise et voir quelle est la cible de cette ironie; puis examiner si cette ironie permet de deboucher sur une veritable reflexion et si elle est creatrice. I. Le lyrisme tourne en derision - - - II. Ou renouvele et re-visite par la modernite - - - III. utilisation du...
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Jules Laforgue, Les Complaintes, « Complainte de la bonne Défunte ».
1. Elle fuyait par l'avenue,
2. Je la suivais...
Jules Laforgue, Les Complaintes, « Complainte de la bonne Défunte ». 1. Elle fuyait par l'avenue, 2. Je la suivais illuminé, 3. Ses yeux disaient : « J'ai deviné 4. Hélas! que tu m'as reconnue ! » 5. Je la suivis illuminé ! 6. Yeux désolés, bouche ingénue, 7. Pourquoi l'avais-je reconnue, 8. Elle, loyal rêve mort-né ? 9. Yeux trop mûrs, mais bouche ingénue ; 10. Oeillet blanc, d'azur trop veiné ; 11. Oh ! oui, rien qu'un rêve mort-né, 12. Car, défunte elle est devenue. 13. Gis, oeillet, d'azur t...
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Jules Laforgue (1860-1887), Les Complaintes, « Complainte d'un autre dimanche
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C'était un très au vent d'octobre paysage,
Que découpe,...
Jules Laforgue (1860-1887), Les Complaintes, « Complainte d'un autre dimanche » C'était un très au vent d'octobre paysage, Que découpe, aujourd'hui dimanche, la fenêtre, Avec sa jalousie en travers, hors d'usage, Où sèche, depuis quand ! une paire de guêtres Tachant de deux mals blancs ce glabre paysage. Un couchant mal bâti suppurant du livide ; Le coin d'une buanderie aux tulles sales ; En plein, le Val-de-Grâce, comme un qui préside ; Cinq arbres en proie à de mesquines rafales Qui marbrent c...
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analyse linéaire spleen jules laforgue
Jules Laforgue spleen auteur symboliste de la même époque que Corbière, auteur de vers libre et moderne. Il a une vision pessimiste du monde mais a un sens d’humour et de fantaisie Il écrit spleen 20 ans après la sortit des fleurs du mal. C’est en alexandrin car il veut mettre l’importance sur la lenteur comme pour le vers 13. Ce poème peut être mis en correspondance avec les tableaux parisiens de Baudelaire, c’est l’univers de la ville grâce a Baudelaire STROPHE 1 : °Vers 1 - « tout m’e...
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Commentaire littéraire Vers dorés (Gérard de Nerval) + questions de copus
l'homme et la nature ? L'étude des relations entre l'homme et la nature est différente selon ces quatre textes, pourtant ils utilisent parfois les même procédés. Ils font référence au sens, certains a une espèce de spiritualité, l'Homme est mentionné de différentes façons.... Le poème Le Vallon ( Méditations poétiques ) d'Alphonse Lamartine semble s'adresser directement à l'Homme «Tes jours, te, tu, t' ...». Il mentionne «l'intelligence» (qualité propre à l'Homme) et même le nom de «Pytha...
- LAFORGUE, Jules
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- LE MYTHE DU COW-BOY