5319 résultats pour "moralisme"
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Analysez la notion de bonheur et précisez son rôle dans la vie morale. ?
vie humaine et adopter pour principe de moralité : cherche le bonheur ?De nombreux moralistes, en particulier Kant et sa descendance spirituelle, condamneraient ce mot d'ordre commemanquant du désintéressement essentiel à la moralité. Mais cette critique, qui vaut contre la morale du plaisir,porte-t-elle quand on l'adresse à la morale du bonheur tel que nous l'avons défini ? Si la source profonde du bonheurest la conscience du règne des tendances nobles, de la victoire du bien, sera-ce une...
- La Morale Au Sein De L'Education Sentimentale De Gustave Flaubert
- Déterminez de manière aussi précise possible les rapports de la morale et de la sociologie ?
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Quelle place doit-on faire à la recherche du bonheur dans la vie morale ?
un être vivant, son bonheur est donc de vivre, et la vie est un mouvement, par conséquent un effort, unregret, une espérance et une crainte » (Un moraliste, p. 21), et Bersot, citant le mot de Pascal : « Nous necherchons jamais les choses, mais la recherche des choses », rappelle l'exemple de tous ces grands hommesqui veulent toujours aller « plus loin » et qui ne trouvent leur bonheur que dans l'action. II. Bonheur et moralité. Que penser maintenant du bonheur pris comme but de la vie ? Tout d...
- l'obéissance morale n'est-elle qu'obéissance à des règles établies
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Le devoir La morale
Brazier T ES Margaux Philosophie Novembre 2016 n’évoluent pas, contrairement à l’homme qui à force de penser créait, et fait évoluer son environnement et son niveau de vie : l’invention de l’imprimerie en 1554 par Gutenberg, de la machine à vapeur en 1712 par James Watt, de différents vaccins dès 1796, de l’ampoule électrique en 1879 par Thomas Edison. Penser nous permet de connaître nos désirs, d’y répondre et ainsi avoir de la satisfaction et être heureux Notre monde est fait pour être...
- Les Liaisons Dangereuses: Une Leçon Morale ?
- Existe-t-il une morale indépendante de toute situation historique ?
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Rousseau et la morale
état final, en tout cas, soumis à une évolution, voire à un progrès. La volonté humaine, constate ROUSSEAU, n'a pas ou peu de prise sur l'être du sujet, mais elle en a, en revanche,sur le devenir, dans la mesure où elle intervient et agit dès l'origine du devenir. Voilà pourquoi il faut ici insister sur larépétition du terme "dépendre". 2 - Deuxième partie du texte Deux termes majeurs sont à repérer : "habitudes" et "nature". Ces termes sont en opposition : la nature, c'est l'origine ; en elle,...
- Clément Rosset, Principes de sagesse et de folie, chap. Morale et crapule,
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La recherche du bonheur vous paraît-elle constituer un idéal moral ?
peur. » Eprouver du plaisir, c'est d'abord combler un manque : boire quand on a soif, se rassurer quand on a peur. En soi, un plaisir est toujours bon, une souffrance, un désir non comblé, toujours mauvais. Ainsi Epicure nous incite à classer nos désirs, et à adopter face à eux une stratégie telle que nous serons facilement comblés et rarement insatisfaits. Il y a d'abord les désirs naturels (dont certains sont naturels et nécessaires et d'autres seulement naturels) ; et ensuite l...
- Fables livre 7 Jean de la fontaine résumés + Morales
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La morale consiste-t-elle à suivre la nature ou à vaincre la nature
312 MORALE la nature, ce qui faisait dire à Pmtl VALÉHY que leur morale se réduit il '' ! 'orgueil de contrarier " (1/. De ces deux cŒ1ceptions, laquelle de\·ons-nous préfC-rer P ta murale coll siste-t-elle 11 sniHe la nature ou à vaincre la nature :1 l. L.1 }IOltALITÉ, YICTûlltE SUR LA NA.TlJRE. A. La moralité, tout le monde l'aœorde, consiste dans la recherche du bien véritable, c'cst-ù-dic·c celui que la raison reconnaît pour t...
- Le devoir peut-il être une obligation morale ?
- Qu'est ce qu'un homme moral ?
- Le capitalisme peut-il être moral ?
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- La morale est-elle obligatoire ?
- Les hommes sont-ils moraux ?
- Peut-on se moquer de la morale ?
- Y a-t-il plusieurs morales ?
- Y a-t-il des démonstrations en morale ?
- Peut-il y avoir une morale dans les échanges ?
- Peut-on inventer en morale ?
- La morale est-elle émotion ?
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- La morale de Descartes
- Peut-on concevoir une morale sans devoir ?
- Une morale relative serait-elle encore une morale ?
- L'exigence morale conduit-elle l 'homme à se dépasser ?
- La notion de loi a-t-elle la même signification pour le moraliste et pour le physicien ?
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Rapports de la sociologie et de la morale PLAN.
PASCAL ET MONTAIGNE 5 2. Par les grands sentiments qu'il n exaltés, par l'héroïsme qui fait l'âme de son théâtre; 3. Par son éloquence qui nous « transporte » encore comme elle transportait Mme de Sévigné. III. Et c'est pour cela que Corneille doit être plus révéré. On peut goûter et aimer davantage Racine. On ne peut pas ne pas avoir plus de vénération pour Corneille. Il doit être pour nous l'objet d'un véritable culte il est notre maître (école de grandeur d'âme), il...
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DU MÉRITE ET DU DÉMÉRITE. — DES PEINES ET DES RÉCOMPENSES. — DE LA SANCTION DE LA MORALE
volontiers les autres ; et, sans prodiguer l'éloge à de fausses vertus, il l'accorde avec empressement aux vertusvéritables. II. Des Peines et des Récompenses. 1. Comme l'idée de la justice ou de l'injustice d'une action renferme celle du mérite et du démérite de l'agent, cettedernière renferme à son tour celle de la récompense due à la vertu , du châtiment dû au vice. Le bonheur est conçucomme la fin légitime de la vertu , le malheur comme la fin légitime du vice. Ainsi à cet axiome que l'homme...
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Le problème de la responsabilité du point de vue sociologique et du point de vue moral ?
d'autorité, et de responsabilité, pas davantage. Cette question pose donc d'abord celle de l'origine de la consciencemorale, qui connaît cette loi, qui l'a érigée en devoir et en droit. Notre responsabilité morale est la mesure de laconnaissance que nous avons de nos obligations vis-à-vis d'autrui et vis-à-vis de nous-mêmes. Sans doute, cesobligations participent-elles des devoirs et droits objectifs, tels que nous avons appris à les connaître, par notreéducation et par notre expérience du mi...
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- qu'est-ce que le doute? Quand avons-nous, logiquement et moralement, le droit de douter? Peut-il arriver que le doute soit un devoir?
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Regret, remords. repentir : Leur place respective dans la vie morale.
traitions les phénom(•nes naturels comme s ïls étaient soumis à notre liberté. Appuyés sur cette contingence lictive, nous émettons le souhait 1·étrospectif que les choses se soient passées autrement. Or, le souhait est bien, lui aussi, une attitude qui ne convient qu'au futur, un futur sur lequel on sent qu'on 11 'a pa,; de prise et qu'on essaie malgré tout d'infléchir dans le sens de ses désirs. C'est la fusion paradoxale de ces d...
- HEGEL ET LA MORALE ÉPICURIENNE : Leçons sur l'histoire de la philosophie
- « La conscience morale n'est-elle que le résultat de l'éducation ? »
- Peut-on dire que la tolérance à l'égard de la différence est non seulement une attitude morale, mais aussi un comportement utile à la société ?
- Dissertation en quoi la suprématie de l'économie a-t-elle des conséquences morales sur la société ?
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«Une maxime de conduite morale», livre II - Confessions - ROUSSEAU
devient injuste et méchant dans le fait, sans avoir cessé d'être juste et bon dans l'âme.» Rousseau montre que lerésultat d'une action, morale en apparence, puisqu'en accord avec l'intention morale, aboutit en pratique àl'immoralité ; c'est une forme de raisonnement par l'absurde.Pour Rousseau, le danger est de dissocier l'intention et le résultat effectif, qui seul compte, et cela assezcurieusement, eu égard aux épisodes des Confessions (pour Marion, pour M. Lemaître) où l'au...
- Les lois de l'État peuvent-elles s'opposer aux décrets de la morale ?
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L'expérience morale nous oblige-t-elle à penser une séparation de l'âme et du corps ?
connaissance, l'homme connaitre comme Dieu connait. Ce dualisme est présent car dans le strict domaine de lapensée, si nous nous situons dans la théorie cartésienne, l'homme n'a pas besoin de son corps. En ce qui concernela faculté de penser, de raisonner, le corps humain peut sembler contingent ; mais en ce qui concerne l'âme, d'où luiviennent l'intelligibilité des idées sinon d'une référence au monde physique perçue par le corps ? En outre, lorsquel'homme veut poser un acte ou concrétiser sa...
- Austérité et ascétisme. Leur rôle dans la vie morale. ?
- Faire son devoir: cette formule vous semle-t-elle suffire à exprimer toute la vie morale ?
- Peut-on attribuer à la connaissance scientifique une valeur morale ?
- L'idée de bonheur personnel suffit-elle à fonder la morale ? Doit-elle, au contraire, en être rigoureusement exclue ?
- La bonne conscience suffit-elle à définir la moralité ?
- Si nous violons [les règles morales], nous nous exposons à des conséquences fâcheuses ; nous risquons d'être blâmés, mis à l'index, frappés même matériellement dans notre personne ou dans nos biens.
- Les sentiments naturels de l'homme sont-ils pour la moralité un auxiliaire ou un obstacle ?
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- Les sciences morales peuvent-elles et doivent-elles être calquées sur les sciences de la nature
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Est-il légitime de faire prévaloir les exigences de la conscience morale sur celles de l'Etat ?
Dissertations 61 du réflexe de défendre légitimement sa vie contre l'oppression. Si ces cas existent, il en est d'autres ou ce sont des gouvernements parfaitement légitimes qui peuvent heurter les sentiments ; et c'est précisément parce qu'ils sont légitimes qu'ils posent un cas de conscience ; car en effet au nom de quoi la conscience pourrait elle se prévaloir d'une légitimité supérieure à celle qui lui a fait consentir au pouvoir ? I - Le...