64 résultats pour "caressés"
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Dictionnaire en ligne:
DÉSIR, substantif masculin.
désirs de l'oreille (MATHIS LUSSY, Le Rythme musical, 1911, page 50 ). — En particulier. Substantif + de désir. · Homme, femme de désir(s). Qui désire. Homme de désir, ne laisse donc plus ébranler ta confiance par les injustices de tes semblables (LOUIS-CLAUDE DE SAINT-MARTIN, L'Homme de désir, 1790, page 41 ). Moi, fils par l'esprit des hommes de désirs, je n'engendrerai qu'un froid critique ou un bibliothécaire (MAURICE BARRÈS, Un Homme libre, 1889, page 192 ). Avec elle [Jeanine] , vous n'aur...
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Mysantrhope
Moi, votre ami? Rayez cela de vos papiers. J'ai fait jusques ici, profession de l'être; 10 Mais après ce qu'en vous, je viens de voir paraître, Je vous déclare net, que je ne le suis plus, Et ne veux nulle place en des cœurs corrompus. PHILINTE Je suis, donc, bien coupable, Alceste, à votre compte? ALCESTE Allez, vous devriez mourir de pure honte, 15 Une telle action ne saurait s'excuser, Et tout homme d'honneur s'en doit scandaliser....
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Dictionnaire en ligne:
ENDORMIR, verbe.
a) (Quasi-)synonyme : de anesthésier. Le narcotique endormit le parfumeur (HONORÉ DE BALZAC, Histoire de la grandeur et de la décadence de César Birotteau, 1837, page 351 ). On endormait les malades avec du chloroforme (GEORGES FEYDEAU. La Dame de chez Maxim's, 1914, I, 18, page 21 ). b) (Quasi-)synonyme : de hypnotiser. Il [Janet] endormait les serpents (JEAN GIONO, Colline, 1929, page 63 ). Les médecins réussirent à endormir et à réveiller sur ordre mental leur sujet (ROBERT AMADOU, La Parapsy...
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Définition:
AURORE, substantif féminin.
? 6. Comment cela s'appelle-t-il, quand le jour se l?ve, comme aujourd'hui, et que tout est g?ch?, que tout est saccag?, et que l'air pourtant se respire, et qu'on a tout perdu, que la ville br?le, que les innocents s'entretuent, mais que les coupables agonisent, dans un coin du jour qui se l?ve? ?LECTRE. ? Demande au mendiant. Il le sait. LE MENDIANT. ? Cela a un tr?s beau nom, femme Nars?s... Cela s'appelle l'aurore. JEAN GIRAUDOUX, ?lectre, 1937, II, 10, page 227. ? 7.... l'art v?nitie...
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La belle Lisa entra derrière lui dans cette nuit épaisse.
Cela lefit rire. Elleétait sortie delaresserre, s’essuyant lespieds, remontant unpeu sarobe, pourlagarer des ordures. Lui,souffla labougie, referma laporte. Elleeutpeur derentrer ainsidans lanuit, àcôté decegrand garçon ; elle s’en allaenavant, pournepas lesentir denouveau danssesjupes. Quand ill’eut rejointe : — Je suiscontente toutdemême d’avoir vuça. Ilya, sous cesHalles, deschoses qu’onnesoupçonnerait jamais.Je te remercie… Jevais remonter bienvite ; onnedoit plus savoir oùjesuis passée, àla...
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La rencontre entre Meursault et Marie, L'Etranger de CAMUS
par le charme de leur jeunesse et de leur inexpérience.Cependant, derrière ce voile de banalité et médiocrité se lisent discrètement une autre dimension du héros de Camus.• Un être authentique qui ne ment pas et ne se plie pas hypocritement à la bienséance obligée de la société (voir fin et propos deCamus). Il aurait pu cacher sa cravate ou ne pas aller au bain ou au cinéma de peur du « qu'en dira-t-on ? »• Le héros de l'absurde, il a compris que rien n'a de sens vrai « cela ne signifiait rien »...
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Commentaire Littéraire: Ovide Les Métamorphoses, Livre III: "Echo Et Narcisse"
immense. Cependant, seul entre tous, le fils d'Echion, Penthée, contempteur des dieux, méprise le vieillard ».L'entrelacement des récits sur Narcisse et Echo est également perceptible dans la certaine cruauté tragique que contient la tiradede Narcisse. En effet, nombre de ses propos semblent faire écho à la déchéance de la nymphe et l'on pourrait parfaitementconcevoir qu'elle les eut prononcés. Nous relevons par exemple : « où fuis-tu quand je te cherche ? », « où fuis-tu, cria t-il ?demeure ; n...
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Mais pourquoi te raconter tout cela, ce fanatisme furieux se déchaînant contre moi-même, ce fanatisme si
ragiquement désespéré d'une enfant abandonnée ?
avec unecuriosité intéressée, jecompris aussitôtquetune m’avais pasreconnue. Tu neme reconnus pas,nialors, nijamais : jamaistune m’as reconnue. Commentpourrais-je, ômon bien- aimé, tedécrire ladésillusion decette seconde ? Cefut alors lapremière foisque jesubis cettefatalité dene pas être reconnue partoi,cette fatalité quim’a suivie pendant toutemavieetavec laquelle jemeurs : rester inconnue, resterencore toujours inconnue detoi. Comment pourrais-je teladécrire, cettedésillusion ? Carvois- tu, p...
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Vocabulaire:
CHIEN1, CHIENNE1, substantif.
caresser un chien. d) Chien d'aveugle, de berger, de trait « attelé au traîneau »; chien policier, sanitaire; chien savant (ou chien dressé, chien de cirque). e) Chien de chasse; chien d'arrêt ou couchant (confer arrêt I A 1 a); chien courant « qui poursuit le gibier en donnant de la voix »; chien fou « qui s'emporte après le gibier »; valet de chiens « celui qui s'occupe des chiens d'une meute ». Rompre les chiens « les empêcher de suivre la trace d'un animal ». Au figuré Interrompre une conver...
- Pierre et Jean
- Émile Zola LA CURÉE (1872)
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I
Au retour, dans l'encombrement des voitures qui rentraient par le bord du lac, la calèche dut marcher au pas.
mondaines envoiture découverte, menaçaitdeseterminer parune soirée d’unefraîcheur aiguë. Un moment, lajeune femme restapelotonnée, retrouvantlachaleur deson coin, s’abandonnant aubercement voluptueux de toutes cesroues quitournaient devantelle.Puis, levant latête vers Maxime, dontlesregards déshabillaient tranquillement lesfemmes étaléesdanslescoupés etdans leslandaus voisins : – Vrai, demanda-t-elle, est-cequetulatrouves jolie,cette Laure d’Aurigny ? Vousenfaisiez unéloge, l’autre jour,lorsqu’o...
- Madame bovary
- la nuit des temps de rené barjavel