9 résultats pour "inconditionnée"
-
Le concept a un noumene n est aonc qu un concept limitatif, destiné à restreindre les prétentions de la sensibilité, et par suite, il n'a qu'un usage négatif.
Le ciel étoilé La raison, dans son usage logique, cherche la condition géné rale de son jugement (de la conclusion) et le raisonnement n'est lui-même autre chose qu'un jugement que nous formons en sub sumant sa condition sous une règle générale (la majeure). Or, comme cette règle doit être soumise à son tour à la même tenta tive de la part de la raison et qu'il faut ainsi chercher (par le moyen d'un prosyllogisme) la condition de la condition...
-
Cela revient à dire que la volonté est autonome; elle peut se déterminer indépendamment de toute considération d'un objet désiré et en fonction de la simple forme de la loi.
87 La liberté et la loi morale 42. La liberté et la loi morale. La liberté et la loi pratique inconditionnée s'impliquent donc réciproquement l'une l'autre. Je ne demande pas ici maintenant si elles sont distinctes en fait, ni si une loi inconditionnée n'est pas plutôt simplement la conscience d'une raison pure pratique, ni si cette dernière est identique au concept positif de la liberté; mais je dt:mande d'où prend naissance notre connaissance...
-
Commentaire Kant: Critique de la raison pratique
donner aucun accès à une expérience possible, et, par suite, à aucune extension de nos connaissances (lignes 1 à 4) A- Dès le début du texte, Kant se place sur le terrain de la métaphysique. 1) Il présuppose en effet que la liberté est quelque chose de métaphysique : En effet, il dit bien que le concept de liberté est une des Idées de la raison pure spéculative, Idées qui sont l’apanage de la raison spéculative –raison faisant un usage métaphysique des concepts de l’entendement. Si ce n’es...
-
que, on peut faire un essai du même genre au sujet de l'intuition des objets.
Le Criticisme atteindre les choses en soi, ce qui explique le succès des mathéma tiques et de la physique, et l'échec de la métaphysique dogmatique. 7. Puissance et limites de la raison. Cette tentative (1) réussit à souhait et elle promet la marche assurée d'une science à la première partie de la métaphysique, à celle où l'on n'a affaire qu'à des concepts a priori, dont les objets correspondants peuvent être donnés dans une expérience confo...
-
La liberté suppose-t-elle certaines conditions ?
– Dès lors, et comme le remarque Locke dans l' Essai sur l'entendement humain , l'homme n'est pas libre de ses volitions. Les volitions de l'homme proviennent de sa nature. Ainsi par exemple, l'homme n'est pas libre de vouloirou non être heureux. Tous les hommes désirent le bonheur, même s'ils se trompent sur les moyens de l'atteindre.Cela veut dit que la liberté ne consiste pas dans le libre arbitre, mais simplement dans la libre action. Je ne suispas libre, si je tombe d'un pont, de dési...
-
ÊTRE LIBRE EST CE NE PAS CONNAÎTRE CE QUI NOUS DETERMINE
qui est à l'oeuvre. On a dégagé le devenir de son innocence lorsque l'on ramène un état de fait quelconque à lavolonté, à des intentions, à des actes de responsabilité : la doctrine de la volonté a été principalement inventée àfin de punir, c'est-à-dire avec l'intention de trouver coupable.Toute l'ancienne psychologie, la psychologie de la volonté, n'existe que par le fait que ses inventeurs, les prêtres,chefs des communautés anciennes, voulurent se créer le droit d'infliger des peines - ou plut...
-
LA RÉALITÉ
Ainsi, comme le montre Spinoza dans L'Ethique (4e partie, scolie de la proposition I), une illusion survit à saréfutation, la connaissance vraie ne fait pas disparaître la perception illusoire, lorsque, par exemple, "nous regardonsle soleil" et que "nous imaginons qu'il est distant de nous d'environ 200 pieds ". L'illusion possède une certaineréalité, c'est-à-dire nécessité, en ce qu'elle traduit la force du désir. La réalité n'est donc pas tant l'objet fiable etextérieur au sujet...
- KANT: Modération et maîtrise de soi
-
KANT: un acte volontaire
l'en blâmera pas moins parce qu'on partira du principe qu'il pouvait ne pas mentir, quelles que soient les causespsychologiques qui ont pu le pousser. « Prenons un acte volontaire, par exemple un mensonge pernicieux, par lequel un homme a introduit un certaindésordre dans la société, dont on recherche d'abord les raisons déterminantes qui lui ont donné naissance, pourjuger ensuite comment il peut lui être imputé avec toutes ses conséquences. Sous le premier point de vue, onpénètre le cara...