8 résultats pour "lisent"
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Le nombre de Français qui lisent a augmenté de 15 % en vingt ans, révèle un sondage réalisé en 1978. Devant ce regain de faveur que connaît le livre face à la montée de l'audiovisuel, vous vous demanderez quelle signification nouvelle revêt la lecture.
On envisagerait aussi le rôle actif des festivals ou le développement de bibliothèques dans les communes. • Cependant, ces facteurs « concrets » ne doivent pas trop entrer en ligne de compte puisque la réflexion porte surla « signification nouvelle » de la lecture. On envisage donc davantage les motivations intérieures que les causes matérielles, extérieures. 3. « Quelle signification nouvelle. » Voilà un singulier... bien étrange ! L'étude de la lecture permet en effet de relever plusieurs sign...
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Bossuet, réfléchissant sur l'utilité de la lecture, écrit dans ses notes personnelles qu'elle « éclaire, éveille, fait chercher »; Aragon écrit dans une étude sur Joë Bousquet : « Tous les livres se lisent comme on s'endort. (...) Le rêve de l'écrivain s'est substitué au vôtre, vous êtes pris... C'est le sommeil nommé lecture. » Quelles réflexions vous inspirent ces deux jugements opposés? Vous traiterez le sujet avec l'aide d'exemples précis tirés de vos expériences de la lecture.
II. La lecture « éclaire, éveille, fait chercher. » • Une lecture bien conçue est évidemment le contraire de cette manière « au rabais » et sans participation réelle dulecteur. • Précisément lors de la lecture, deux personnes sont en présence : l'auteur du livre et le lecteur, chacun doit avoirmoitié de participation. • Ne pas confondre lecture avec livre-objet. • Un véritable dialogue de pensée doit s'établir entre auteur/lecteur. • La lecture est exigence. • Elle demande à être son propre but....
- Bossuet, réfléchissant sur l'utilité de la lecture, écrit dans ses notes personnelles qu'elle «éclaire, éveille, fait chercher»; Aragon écrit dans une étude sur Joël Bousquet: «Tous les livres se lisent comme on s'endort. (...) Le rêve de l'écrivain s'est substitué au vôtre, vous êtes pris... C'est le sommeil nommé lecture. » Quelles réflexions vous inspirent ces deux jugements opposés? Vous traiterez le sujet avec l'aide d'exemples précis tirés de vos expériences de la lecture.
- « Je définirais le livre une œuvre de sorcellerie d'où s'échappent toutes sortes d'images qui troublent les esprits et changent les cœurs. Je dirai mieux encore : le livre est un petit appareil magique qui nous transporte au milieu des images du passé ou parmi des ombres surnaturelles. Ceux qui lisent beaucoup de livres sont comme des mangeurs de hachisch. Ils vivent dans un rêve. Le poison subtil qui pénètre leur cerveau les rend insensibles au monde réel et les jette en proie à des f
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« Croyez-moi, ceux qui lisent sont plus intelligents, plus habiles, plus riches que ceux qui ne lisent pas. Et surtout, ils sont plus heureux. Ils ont toujours à portée de main un remède souverain pour combattre la tristesse, les soucis, le vide. »
Michel TOURNIER.
À l'aide d'exemples précis, commentez ce point de vue sur la lecture et dites dans quelle mesure vous le partagez.
être humain. Tout le reste doit être brûlé. Malheureusement, brûler les livres, ça n'est pas une attitude trèsheureuse. Cela a même un fâcheux relent d'obscurantisme. L'Émile (le livre), d'ailleurs, sera brûlé et son auteur poursuivi par la justice française, puis genevoise. Un livre, c'est aussi dangereux. C'est pour cela qu'on les faitflamber aujourd'hui encore où Salman Rushdie vit en proscrit. On imagine volontiers que les ennemis de Rushdie, comme ceux de Voltaire ou Roussea...
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'' Ton libérateur, c'est le livre. ''
transposent le contenu de leur lecture dans leur vie de tous les jours, telle '' Madame Bovary '' de Gustave Flaubertqui s'identifie à l'héroïne de son roman. De plus, et malheureusement, tout le monde ne peut avoir accès au livre, par pauvreté ou par illettrisme le plussouvent, comme dans certains pays d'Afrique. Dans ces pays ou dans d'autres qui sont en guerre, le mot libérateurne peut être associé au livre. Des hommes meurent de faim ou sous les balles, il est donc impensable d'employer lemo...
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Chaque année, plusieurs millions de Français lisent des romans d'aventure, montrant
combien la recherche de l'aventure, réelle ou livresque, fait...
Chaque année, plusieurs millions de Français lisent des romans d'aventure, montrant combien la recherche de l'aventure, réelle ou livresque, fait partie intégrante de notre imaginaire contemporain. On peut se demander à quelles motivations elle obéit : goût du risque ou force de l'imaginaire, Les deux sans soute, dans un mouvement de liberté individuelle. Nous verrons donc d'abord comment, dans une société trop bien policée, le goût du risque motive l'attrait de l'aventure. Mais l'aventure n'est...
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Le mot "triste" dans l'oeuvre de DESCARTES
LES PRINCIPES DE LA PHILOSOPHIE, QUATRIEME PARTIE, Art. 197. Sur un même papier, avec la même plume, et la même encre, en remuant tant soit peu le bout de la plume en certaine façon, voustracez des lettres qui font imaginer des combats, des tempêtes, ou des furies, à ceux qui les lisent, et qui les rendent indignés outristes ; LES PASSIONS DE L'AME, PREMIERE PARTIE, ARTICLE 26. mais, encore qu'on soit endormi et qu'on rêve, on ne saurait se sentir triste ou ému de quelque autre passion, q...