8 résultats pour "liseur"
-
Le Liseur, Bernhard Schlink
Rhénanie-du-Nord-Westphalie, auteur d'un manuel sur les droits fondamentaux du citoyen, père de famille, amant,cycliste et amateur de vins. À 53 ans, « Le liseur » a propulsé d'un coup Bernhard Schlink sur le devant de la scèneet il est probable qu'il a inscrit dans son roman une part importante de la matière de sa vie personnelle.Bernhard Schlink a beaucoup vécu, vu beaucoup de choses, et utilise cette richesse dans ses livres. 3)Analyse du texte : Le thème du parcours initiatique était donc...
-
Fiche de lecture : Le liseur de Bernard SCHLINK
la ronge depuis de longues années.Dans la troisième partie, le narrateur nous explique comment il a construit sa vie à la suite du procès, commentaussi le souvenir d'Hanna ne l'a jamais quitté (il ira même jusqu'au Strutof afin de mieux comprendre l'univers descamps). Le roman se termine sur le suicide d'Hanna.4) Thèmes abordés :La découverte de l'amour, l'adolescence, la lecture, la violence, les répercussions de la guerre 39-45 sur lesallemands, le génocide juif, l'analphabétisme, la cu...
- Le liseur, Bernard Schlink
-
Vous résumerez ou analyserez, à votre choix, le texte suivant. Vous dégagerez ensuite de ce texte un problème que vous jugerez particulièrement important et vous en développerez librement le commentaire ou, s'il y a lieu, la discussion.
prennent à la lettre tout ce qu'ils lisent, se révèle un type de lecteur, tel Don Quichotte, qui retrouve dans le romansa propre vision du monde. Pour s'imposer comme réalité vivante au lecteur, l'œuvre romanesque a deux possibilités: s'élever sur un plan idéal, ou lui faire revivre sa propre vie. Dans ce dernier cas, le lecteur peut tantôt découvrir àson existence banale des dimensions insoupçonnées, tantôt prendre conscience à la fois de sa médiocrité et decelle des autres hommes. ANALYSE Nou...
-
Aristote
par Michel Gourinat
Platon l'appelait : le liseur, et bien qu'il eût le sens de l'humour, il était fort
studieux.
par Michel Gourinat
-
A propos de la notion du réalisme, un critique contemporain, Albert Béguin, nous livre cette réflexion : «Le liseur de romans applaudit: «C'est comme dans la vie. » Il prouve par là qu'il est étranger à toute forme d'art. Les personnages d'une œuvre ne ressemblent pas davantage à ceux de la réalité que les habitants des songes. La Clytemnestre d'Eschyle, don Quichotte, les frères Karamazov, Mme Bovary, le Grand Meaulnes sont « vrais » justement parce qu'ils ne sont pas comme nous autre
IIe partie : « Les personnages d'une œuvre ne ressemblent pas davantage à ceux de la réalité que leshabitants des songes ». • Cependant la transcription directe de l'observation de la réalité, — celle par exemple des Goncourt, qui peignentsouvent des héros ayant réellement vécu, des cas pathologiques ou psychologiques entre autres, — ne donne pasles résultats attendus. Leur œuvre ne rencontrant qu'un succès d'estime est finalement un échec. • En art la réalité sans transposition ni choix ne réus...
-
Vous résumerez ou analyserez, à votre choix, le texte suivant. Vous dégagerez ensuite de ce texte un problème que vous jugerez particulièrement important et vous en développerez librement le commentaire ou, s'il y a lieu, la discussion.
THIBAUD ET 115 de romans, l'homme qui vit les romans, qui vit romanesquement, Cervantès l'a héroïsée dans Don Quichotte. Si Don Quichotte croit que le monde des romans de chevalerie existe, ce n'est pas parce qu'il lui est garanti par le privilège officiel du libraire. C'est parce que ce monde seul répond aux aspirations de sa nature, et à son idée héroïque de l'humanité. Ce qui répond au contraire pour lui à la catégorie de l'illusoire et...
- Albert THIBAUDET, Réflexions sur le roman.