7 résultats pour "lucarne"
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Notre Dame de Paris
Sonneur de cloches à Notre-Dame, répondit Quasimodo, croyant qu'il s'agissait d'expliquer au juge qui il
était.
II. LE TROU AUX RATS Que le lecteur nous permette de le ramener à la place de Grève, que nous avons quittée hier avec Gringoire pour suivre la Esmeralda. Il est dix heures du matin. Tout y sent le lendemain de fête. Le pavé est couvert de débris, rubans, chiffons, plumes des panaches, gouttes de cire des flambeaux, miettes de la ripaille publique. Bon nombre de bourgeois flânent, comme nous disons, çà et là, remuant du pied les tisons éteints du feu de joie, s'extasiant devant la Maison-au...
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LA CLOCHE COEUR - Pierre Reverdy, La lucarne ovale dans Plupart du temps
découvrez. Vous pourriez, par exemple, étudier comment les images, les rythmes et les sons évoquent le sentiment de la solitude et les progrès de l'angoisse. Mais ces indications ne sont pas contrai gnantes : vous avez toute latitude pour orienter librement votre lecture. c La cloche cœur ,., publié en 1916, est un poème très caractéristi que de la manière de Pierre Reverdy, en qui les Surréalistes voyaient un précurseur, et le plus grand poèt...
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Il reste toujours quelque chose, Pierre REVERDY, La Lucarne ovale
reste toujours quelque chose ». Renseignements et rédaction : Le poème de Pierre Reverdy (1885-1960) s'apparente au surréalisme. L'écrivain fonde la revue Nord-Sud à laquelle participent les futurs chefs de file de ce mouvement nouveau et se lie aux peintres cubistes dont il s'inspire pour sa technique poétique. Les textes sont exigeants, tendus et difficiles. Or le texte « Il reste toujours quelque chose » (1956) semble plutôt s'inspirer de thèmes assez traditionnels, uneséparation, u...
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Notre Dame de Paris
nous suivre.
Un homme qui n'avait ni le vêtement ni la mine des soldats sortit de leurs rangs. Il portait un costume mi-parti gris et brun, les cheveux plats, des manches de cuir, et un paquet de cordes à sa grosse main. Cet homme accompagnait toujours Tristan, qui accompagnait toujours Louis XI. \24 L'ami, dit Tristan l'Hermite, je présume que voilà la sorcière que nous cherchions. Tu vas me pendre cela. As-tu ton échelle? \24 Il y en a une là sous le hangar de la Maison-aux-Piliers, répondit l'homm...
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ÉMILE VERHAEREN (1855-1916). Le vent
Et que n'en pouvant plus,Tous les villages vermoulusCriaient comme des bêtesSous la tempête?Sur la bruyère, infiniment,Voici le vent hurlant,Voici le vent cornant Novembre. Les Villages illusoires, Édition du Mercure de France. QUESTIONS D'EXAMEN I. — L'ensemble. — Poésie qui évoque d'une manière saisissante le bruit assourdissant et la terrible violence du vent.— De quel vent s'agit-il, ici? (D'un vent sauvage de novembre, — et soufflant dans la plaine des Flandres); 20Essayez de dégager l'im...
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Chapitre XLV
Fagin confie à Noé Claypole une mission secrète.
– Combien medonnerez-vous pourlapeine ? demanda Noéenposant sonverre eten regardant lejuif dans leblanc des yeux. – Si vous vousenacquittez bien,vousaurez unelivre sterling, moncher, unegrosse livresterling, ditFagin quivoulait allécher Noéleplus possible. Etjen’ai jamais donnéautant pourn’importe quellebesogne oùiln’y avait pasgros à gagner. – Quelle estcette femme ? demanda Noé. – Une denous. – Oh ! oh !ditNoé ensefrottant lebout dunez, vous vousdéfiez d’elle, àce qu’il paraît ? – Elle afait q...
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La Terre
de recommencer ca, avec ce garcon.
premiers jours, chaque tartine coupee trop epaisse lui attirait des paroles dures: quel trou! moins on travaillait, plus on bafrait, alors! Il etait guette, devalise, tous les trimestres, quand il revenait de toucher a Cloyes la rente que M. Baillehache lui faisait sur les trois mille francs de la maison. Francoise en arrivait a voler des sous a sa soeur, pour lui acheter du tabac, car on la laissait, elle aussi, sans argent. Enfin, le vieux se trouvait tres mal dans la chambre humide ou il couc...