10 résultats pour "soufflet"
- Le soufflet. Diderot
-
L'apprenti déposa la marmite sur le sol et activa le feu au moyen d'un soufflet.
V Hésitant, Jacquemort regardaautourdelui. Personne n’avaitremarqué safuite éperdue. L’égliseétaitlà,un œuf, aveclevitrail bleucomme untrou paroùlegober. Dedans, ilyavait unmurmure dechants. Jacquemort fit le tour et,sans sepresser, gravitlesmarches. Ilentra. Le curé, debout devantl’autel,battaitlamesure. Unevingtaine d’enfantschantaient enchœur uncantique de première communion, dontlesparoles astucieuses frappèrentvivementlepsychiatre qui,pour mieux saisirse rapprocha del’autel. L’aubépine, c’e...
-
XVIIe siècle : la vie et le mouvement chez Saint-Simon
frappé par des variations de rythme qu'il conviendra d'étudier en détail. On cherchera à pleine tête, synonyme de :« à tue-tête », et degré, escalier. Analyse du libellé Vous avez déjà répondu à la première question : « Comment ce portrait est-il composé? » Les deux autres questionsse recoupent quelque peu, car l'impression de vie et de mouvement vient évidemment du style, et le style de Saint-Simon peut se distinguer aussi par d'autres qualités. Questions pour la recherche des idées FEUILLE 1 :...
-
Définition du terme:
CONSPUER, verbe transitif.
? 2. Une grande foule se pressait ? le contempler (le premier drapeau allemand captur?, en ao?t 1914); on ne manifestait point, car on n'e?t su dans quel sens, et s'il fallait applaudir ou conspuer. ANDR? GIDE, Journal, 1914, page 471. Remarque?: 1. Certains emplois m?taphoriques et litt?raires utilisent la valeur ?tymologie du mot " cracher sur... ". Il faut se faire souffleter, conspuer, flageller, crucifier (L?on Bloy, Journal, 1901, page 55). Cette valeur est rappel?e dans quelques dictio...
-
Définition / Usage:
APOSTROPHE1, substantif féminin.
apostrophes et de leurs anath?mes. GEORGES-CHARLES, DIT JORIS-KARL HUYSMANS, ? rebours, 1884, page 191. ? 6. Et lui dire ainsi pour la ? vexer ? des choses d?sagr?ables, c'est ce qu'il appelait ? lui jeter un p?pin, lui lancer une apostrophe, lui envoyer un calembour ?. MARCEL PROUST, Le Temps retrouv?, 1922, page 748. SYNTAXE?: Lancer, essuyer une apostrophe; dure, vigoureuse apostrophe. Remarque?: Acception famili?re dans Dictionnaire de l'Acad?mie Fran?aise 1835-1932, DICTIONNAIRE DES...
-
Vocabulaire:
CONFIRMER, verbe transitif.
son cynisme d?mod?. GEORGES BERNANOS, Un Mauvais r?ve, 1948, page 945. 3. Sp?cialement. TH?OLOGIE. Confirmer quelqu'un.. Lui administrer le sacrement de la confirmation (qui renforce le chr?tien dans la gr?ce et la foi du bapt?me)?: ? 3. Le probl?me de l'?ge convenable pour la confirmation ?tait inconnu de l'Antiquit?, puisque ce sacrement ?tait la plupart du temps administr? en relation avec le bapt?me. On confirmait donc aussi bien des enfants mineurs que des adultes. ENCYCLOP?DIE DE L...
-
commentaire : le cid
points d'exclamations au vers 1,9,10,11,12 renforcent ses lamentations.Le champ lexical du drame est aussi très présent dans ce monologue : "rage"v1, "désespoir"v1,"infamie"v2,"flétrir tant de lauriers"v4 , il nous montre encore une fois l'homme désespéré qu'est Don Diègue. Il adopte un comportement tragique, dramatique, il est accablé . On peut penser que Don Diègue se trouve désespéré à l'idée que sa nouvelle dignité est fatale à son bohneur ,vers 11. La " nouvelle dignité" désigne le f...
-
commentaire
problématique: Quels sont les sentiments exprimés par Don Diègue au cours de ce monologue?
points d'exclamations au vers 1,9,10,11,12 renforcent ses lamentations.Le champ lexical du drame est aussi très présent dans ce monologue : "rage"v1, "désespoir"v1,"infamie"v2,"flétrir tant de lauriers"v4 , il nous montre encore une fois l'homme désespéré qu'est Don Diègue. Il adopte un comportement tragique, dramatique, il est accablé . On peut penser que Don Diègue se trouve désespéré à l'idée que sa nouvelle dignité est fatale à son bohneur ,vers 11. La " nouvelle dignité" désigne le f...
-
-
Acte I - Scène IV (6) - Le Cid de Corneille
Le... don diègue. Ne réplique point, je connais ton amour ; Mais qui peut vivre infâme est indigne du jour. Plus l'offenseur est cher, etplus grande est l'offense. Enfin tu sais l'affront, et tu tiens la vengeance : Je ne te dis plus rien. Venge-moi, venge-toi ; Montre-toi digne fils d'un père tel que moi. Accablé des malheurs où le destin me range. Je vais les déplorer :va, cours, vole, et nous venge. Voici comment, fidèle comme presque toujours au texte du Romancero, Guillen de Castro a...
-
Définition:
CÉSURE, substantif féminin.
tiré de l'article " CÉSURE, " CÉSURE, substantif féminin. A.— VERSIFICATION, MÉTRIQUE. 1. [Dans la versification française] Pause à l'intérieur d'un vers d'une certaine longueur, après une syllabe accentuée, généralement en accord avec le sens et la structure syntaxique de l'énoncé. Césure classique, médiale; césure mobile, variable : Ø 1.... la césure, obéissante et mobile, se déplaçait; et, bien qu'elle ne disparût jamais complétement après le premier hémistiche, elle ne faisait dans ce cas q...