160 résultats pour "tristesse"
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Définition:
BALANÇANT, -ANTE, participe présent et adjectif.
? 1. ? trois pas d'elle, assis sur une chaise qu'il balan?ait d'un mouvement saccad?, appuyant son coude ? un vieux meuble vermoulu, un grand gar?on de vingt ? vingt-deux ans la regardait d'un air o? se combattaient l'inqui?tude et le d?pit;... ALEXANDRE DUMAS P?RE, Le Comte de Monte-Cristo, tome 1, 1846, page 25. ? 2. Des peintres balan?aient leurs pots ? couleur; un zingueur rapportait une longue ?chelle, dont il manquait d'?borgner le monde; tandis qu'un fontainier, attard?, avec sa bo?te s...
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Définition:
CAUSE2, substantif féminin.
conditions de l'existence ou de la nature d'une chose; ce qui permet de comprendre "] A.— 1. Ce qui produit ou occasionne quelque chose. Jamais il n'y eut de nobles effets d'une cause vicieuse (SOPHIE COTTIN, Claire d'Albe, 1799, page 223 ). Il souffrait sans connaître la cause de son mal (JULES SANDEAU, Mademoiselle de la Seiglière, 1848, page 313 ). Tout martyre est pour le grand homme une cause de génie (JACQUES-GABRIEL PROD'HOMME, Les Symphonies de Beethoven, 1921, page 462) : Ø 6.... je la...
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Commentaire de texte : Thucydide, la guerre du Péloponnèse
s’agit d’un exemple pour la Grèce, il faut donc l’étendre\ aux autres cités. Il affirme que la cité d’Athènes est «\ l’école de la Grèce «.Selon lui, les athéniens sont des individus qui se démarquent des \ autres, de par leur force et leur grâce face aux épreuves, notamment la guerre ici. Il explique que l’athénien sait « plie\ r son corps à toutes les circonstances avec une grâce et une soupl\ esse extraordinaire «. Il nous fait part de la puissance que ces qualité\ s athéniennes ont permis...
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LE SYMBOLISME
• des poèmes parus dans des revues, dont L'Après-Midi d'un faune (1876), Hommages et Tombeaux (1877) et le fameux Uncoup de dés (1897) ;• un recueil de poèmes dont le titre est Poésies (1887) ;• et une traduction des poèmes de Poe (1888). Baudelaire naît à Paris en 1821. Il perd son père à l'âge de six ans. Après des études secondaires à Lyon puis au lycée Louis leGrand, Baudelaire mène une vie marginale et de bohème dans le Quartier latin. En 1841, sous la pression de sa famille, ilembarque pou...
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-- Dommage, dit-il, c'était de bon coeur.
tendus decomplaisante sœur,ôles deux lourds detamain siproches. « Ainsi luidiront tesyeux, Nathan. Parpitié qu'elle lessorte, diront tesyeux, qu'elle lessorte puisqu'elle teles montre sans lesmontrer etsimal lescache, simal exprès. Ôla cruelle quitrop largement respire,caralors ilssaillent, prospères et àpoint, ôla maudite etbien-aimée. Oh,qu'elle lessorte, cartuveux vivre avant demourir, lessorte enfinetteles tende avecleurs pointes, sublimes surgisetlibérés, etque tules manies enfineten connai...
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La belle Lisa ne se permettait plus qu'un régal.
pour s’excuser àses propres yeuxduplaisir honnête qu’elleprenait aveclui,sedisait qu’elle compensait ainsilecoup de poing dontellel’avait assommé, danslacave auxvolailles. Cependant, lacharcuterie restaitchagrine. Florents’yhasardait quelquefois encore,serrantlamain deson frère, dans lesilence glacialdeLisa. Ilyvenait même dînerdeloin enloin, ledimanche. Quenufaisaitalorsdegrands effortsde gaieté, sanspouvoir échauffer lerepas. Ilmangeait mal,finissait parsefâcher. Unsoir, ensortant d’unedeces f...
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Boris Vian, L'écume des jours.
I : Un roman fantastique. * Premièrement, il s'agit d'un roman fantastique. ON trouve donc du registre fantastique. Ce genre fait basculer le lecteur dans ununivers étrange qui n'obéit pas aux lois logiques du quotidien. Il exprime les inquiétudes et les terreurs que partage, à chaqueépoque, l'ensemble de la société. De plus ce registre cherche à faire participer le lecteur au doute qui anime les personnages qu'ilmet en scène. Mais il exprime aussi l'effroi devant l'intrusion de l'inexplicable d...
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« Ce n’est qu’une poésie burlesque, je crains, dénaturée dans la mémoire des vieilles. Je laisse à votre jugement d’en interpréter le sens, s’il y en a un. Mais les vieilles gens se servent toujours d’une infusion de cette herbe contre les maux de tête. »
de pareilles choses. Mais qui sait ce qu’elle disait aux ténèbres, seule, dans les amères veilles de la nuit, lorsque toute sa vie semblait s’étriquer et les murs de son appartement se resserrer autour d’elle, comme une cage pour retenir quelque bête sauvage ? » Eomer se tut et contempla sa sœur comme s’il se remémorait tous les jours de leur vie passée en commun. Mais Aragorn dit : « J’ai vu aussi ce qu e vous avez vu, Eomer. Peu d’autres chagrins parmi les mauvaises fortunes de...
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- ACCABLÉ, -ÉE, participe passé, adjectif et substantif.
- Madame bovary