« Comment Le Romancier Arrive-T-Il À Faire Apprendre La Société Et L'histoire Qui L'entoure Aux Lecteurs ? »

I. En représentant la réalité telle qu’elle est : A. Grâce au réalisme du XIXe —> On représente les choses comme elles sont, on se fie à la réalité. Comme Balzac dans « Le père Goriot «, dans le dernier chapitre : on a affaire à une critique de la société qui se fie aux apprences et une critique de la religion dans laquelle il faut payer pour avoir une messe descente. Ainsi, le lecteur peut percevoir les sociétés du XIXe.  B. Grâce au naturalisme [j'avais falli mettre naturisme :p] —> c’est le réalisme poussé à l’extrême, on ne s’arrête pas sur les traits de la réalités quitte à offencer l’autre. Ex : Zola, dans « J’accuse « il met en avant tout les défauts, il critiques la politique de façon ardente.  C. Grâce au libertinage du XVIIIe —> libertinage est synonyme de liberté, liberté d’expression avec l’Encyclopédie écrite par D’Alember, Diderot, Voltaire…. Dans le courant libertin on peut dire ce que l’on veut, liberté d’agit, de faire et de penser. Ex : Crébillon fils dans « Le Sopha « met en avant la face cachée des gens, nottament lorsque Fatmé s’adonne à des plaisirs seule, sur le Sopha qui n’est autre qu’un homme qui à été réincarné par un meuble parce qu’il a fait des choses contraires à la morale ; il doit donc ressentir ce que celà fait. C’est une façon de dire que les sociétés ne sont

pas libres de leurs actes.  II. En cachant la réalité pour mieux dénoncer : [cette partie je l'ai changée un peu mais je me rappelle plus de ce que j'ai mis] A. Pour montrer les défauts et critiquer la société. Par exemple : Dans le chap 19 de Candide, Suriam et Candide voient des esclaves et engagent une discutions avec eux dans laquelle l’esclave dit qu’on leur arache une jambe e un bras dès qu’ils veulent s’échapper. Pour enfoncer le clou, il dit même que c’est à ce prix là que les européens consomment du sucre. Cette formule accentue le fait que les Européens profite du malheur des autres pour leur propre bonheur. Celà montre l’atrocité des choses. C’est en lisant celà que le lecteur se rend compte de la vrai facette des sociétés. B. Pour carrément transporter le lecteur dans un cadre idillyque où tout est parfait, celà dénonce avec ironie toute la société et l’histoire. Ex : Thomas More dans « Utopie « montre une société où tout vas bien , où la bonne entente demeure …. III. En laissant au lecteur se voir lui même la société et l’histoire… A. Déconstruction du personnage —> On en dit le strict minimum et c’est au lecteur de s’imaginer l’histoire. Ex : M. Duras dans « Le ravissement de Lol V.Stein « montre, lors du ravissement de Michael Richardson, une ambiguité sur l’identité

du narrateur ; celà détruit la véracité de l’histoire et laisse au lecteur une autonomie complète pour s’imaginer les faits et se progeter dans le temps pour voir la société et son histoire.  B. Impliquer le lecteur dans l’histoire —> Ex : Simone de Beauvoir dans « Le deuxième sexe «, quand elle dit au lecteur que la femme a toujours été « inégale « à l’homme et que celà est normal à la nature. Elle emploi des situations historiques qui ouvre le lecteur à des visions historiques mais qui sont rendues troubles par les modalisateurs. Celà lui laisse alors une part de réflexion personnelle.  C. Mais la déconstruction du roman est très subjective et nécessite chez le lecteur une implication très forte pour reconstruire lui même les faits. Ex : Comme l’a dit Umbuerto Eco dans Lector in Fabulo :   « Le texte est un tissu de non-dit, un mécanisme paresseux qui requiert des mouvements coopératifs, actifs et conscients de la part du lecteur «.  Conclusion : J’ai récapitulé le tous et en ouverture j’ai mis en gros qu’après plusieurs changement et évolution dans les genres littéraires, passant du réalisme au nouveau roman, pour aujourd’hui revenir au roman traditionnel, va-t-on assister à un nouveau genre romancier qui instruirait plus ou moins le lecteur sur la société et les faits historiques ?