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Publié le 17/01/2022

Extrait du document

1)

Ignace de layola nait entre 1491 et 1493.Après un pèlerinage a Rome et à Jérusalem, il comprend qu’il doit aider les « âmes «, en poursuivant ces études.

·         ses exercices inquiètent l’inquisition. Il est arrêté, emprisonné, interdit de prêche

·         lors de ses études il rencontre François-Xavier et en 1534 placardent les rues avec des affiches contre le catholicisme

·         il a recourt au pape Paul II et sa réputation est en hausse. L’empereur Charles Quint  fait appelle a lui pour ses colonies en Indes

·         L a communauté Jésuite prend forme et dépendent d’une obéissance total au pape ils sont a partir de ce moment persécuté

·         Les jésuites sont des artisants de la contre-réforme ont voulu étalé leur influence en cherchant à évangéliser les indiens, le chine (Ricci, Ruggieri)

 

2)

Voltaire démontre qu’il est illogique de croire (illogisme qui consiste à croire que jean callas, protestant, a tué son fils qui s’était convertit au catholicisme). A partir de ce fait divers il élargit sa critique sur les confrères catholiques trop fanatique et explique les origines des persécutions contre les Reformes.

Il démontre ensuite que les temps ont changés et que la tolérance religieuse est présente dans de nombreux pays et peuples grâce a l’influence de la raison, de la philosophie. Quand à l’intolérance, il argumente que ce n’est pas un droit.

Dans le chapitre XVI, il caricature une conversation entre un mourant ( reformé ) et un homme qui se porte bien ( catholique) pour monter l’état d’esprit des intolérants et dans la mettre qui suit ( XVII), il ironise sur les moyens imaginés par un membre de la congrégation pour éliminer les Huguenots.

Dans le chapitre XVII ; voltaire prouve que la tolérance entre les hommes doit être universelle puisqu’ils sont tous des créatures éphémères du même Dieu qui est habilité à les juger. Dans la prière a Dieu Voltaire s’adresse à ce Dieu pour en fait s’adresser aux Hommes eux même et leur demander d’adopter la tolérance face a leurs multiples différences

Dans le post scriptum il revient à des faits plus concrets en s’adressant aux Hommes (d’Eglises et aux politiques) pour qu’ils choisissent la raison.

 

 

3) John Locke (1632-1704) philosophe anglais et grand penseur du siècle des lumières. Il  est considéré comme un des fondateurs du libéralisme. A la recherche de l’origine et l’étendue des connaissances Humaines et de la provenance des idées il critique la théorie de l’innéisme. Il s’oppose aussi à la théorie de la monarchie de droit divin et défend la liberté des Hommes.

Pour lui dans chaque propriétés il y quelque chose de propre a un individu. Il s’intéressa  a la philosophie après avoir lu les écrits de Descartes, les auteurs comme robert Boyle, Sydenham l’influencèrent aussi.

Dans les extraits de lettre sur la tolérance il décrit tout en donnant son opinion sur l’influence, le rôle de l’Eglise. Il accuse le fait d’utiliser la religion comme un prétexte pour s’imposer, une raison des violences et des persécutions « tourments, poursuivant par le fer «, l'exercice de la force ne peut pas contraindre les âmes mais seulement a l’obéissance.

Il commente le fait que beaucoup considère la religion chrétienne comme celle qui mène à Dieu, a l’origine des bonnes actions et que le meilleur est de convertir les autres. Mais pour Locke, il est nécessaire d’avoir une certaine tolérance les uns envers les autres .Il ne comprend pas certains actes de barbaries dont les victimes sont les non chrétiens. Il est impensable que ce soit au nom de la religion lorsque c’est le cas il faut séparer ceux qui parle au nom de la religion et ceux au nom de l’état, car Dieu ne cherche pas à forcer les gens à la conversion.

La tolérance se retrouve dans tous les domaines surtout dans le domaine religieux  qui présente plus souvent l’intolérance que la tolérance. Locke condamne ceux qui profitent des autres et exploitent la foi, la charité pour les pousser sur le bon chemin alors que se sont d’actes qu’ils ne commettraient jamais contre leur famille. La droiture s’obtient par s’sincérité dans la foi et les sentiments religieux.  L’homme est donc d’après Locke  exposé à deux sociétés : la civile et la religieuse dont il fait le choix. Si ces deux sociétés coexistent alors le problème de la tolérance est résolu.

 

 

4)

Amine Maalouf avance la nécessité de la tolérance des uns envers les autres, puisque nous appartenons tous a la même humanité tout en ayant des identités multiples dues a l’appartenance a différentes religions, cultures…

L’humanité devrait se définir comme un respect respectif, et toléré tout sauf ce qui s’oppose a la dignité de la femme ou de l’homme .Les droits de l’Homme sont universels et fondamentaux et doivent être prioritaires face a des considérations d’ordres religieux pas exemple .les sociétés ne doivent plus être soumises a la violence ou a une majorité car nous ne dépendons pas aux même appartenances.

Dans l’épilogue il aborde le vrai terme de l’identité, sujet particulièrement sensible dans certains pays étrangers .en fait il revendique le fait d’avoir « honte « de ses origines, de sa religion lorsque l’on n’est pas dans son pays. Mais justement il n’y a pas de « mon « pays, nous devrions nous sentir chez nous partout,  pouvoir exposer son identité, ses cultes, pratiquer ses traditions.

5)

 Dans ces œuvres les philosophes de lumières débattent sur de nombreux thème comme l’intolerance,  les problèmes entre les religions .Bien que toutes ces réflexions ont été faite dans une période ou elles leur sujet était fondamental, il existe aujourd’hui encore ce type de débats car ils sont d’actualités. L’intolérance est toujours présente à travers le monde, l’exploitation humaine, les guerres de religions (pas de la même manière qu’au temps des philosophes mais les minorités religieuse sont persécutées dans certains pays, conflits a l’intérieur de pays), les rejets de l’ « étranger «… Aujourd’hui on se bat encore pour les droits de l’Homme, la liberté. Les réflexions des philosophes ne portaient pas seulement sur les défauts de la société mais notamment dans les domaines comme les sciences (Alembert, Condillac) dont les progrès aujourd’hui n’en finissent pas.

6)  

·        Florian

Jean-Pierre Caris de Florian est né à Florian en 1755 et mort en 1794. Il était petit neveu de Voltaire.                                   Il s’orienta d’abord vers les domaines de armes mais poussé par son grand oncle et du duc de Penthièvre il put se consacrer a la littérature. Florian est connu pour son  talent de fabuliste. Il écrivit des fables, des pièces de théâtre, 2 romans (Numa Pompilius, 1786 ; Gonzalve de Cordoue, 1791) et des poésies. Il devint membre de l’académie française en 1788. Emprisonné et relâché sous la Terreur, il mourut de sa captivité.

·        La Fontaine

 (1621-1695). Jean de la fontaine étudia au collège Château-Thierry ou il apprit le latin. Il entra ensuite à l’oratoire à Paris, il y passa son temps à la lecture. Il reprit ses études de droit et obtint son diplôme d’avocat en 1649. Lorsqu’il avait le temps, il fréquentait les sociétés précieuses et libertines. En même temps sa vocation poétique s’éveilla de plus en plus. Il s’inspira des fabulistes de l’antiquité gréco latine et composa tout au long de sa vie des comédies, des poèmes, des contes en 5 livres, des fables surtout. Il était aussi partisante de Boileau, Fouquet et de Molière. En 1678, il fait paraître son deuxième recueil de Fables (livres VII à XI). Il se présente à l'Académie française mais le roi s'y opposera pendant deux années à cause de sa réputation de libertin et de son amitié pour Fouquet, mais il fini par être élu en 1683. La publication des nouveaux Contes ne plaisent pas au roi et sont interdits. Les deux dernières années de sa vie, malade, il renonce à la vie mondaine, renie ses Contes et ne publie plus rien qui soit contraire à la religion et la vertu. Il se consacre à la méditation et hante les églises où en priant il tente de faire face à sa peur de l'enfer. C'est dans cet état d'esprit qu'il meurt le 13 avril 1695.

·         D’où vient la fable ?

Auteur légendaire des premières fables : Esope. Au VI siècle avant J-C  la fable n’est qu’un bref récit en prose mettant en scène des animaux, objets, végétaux doués de paroles et de pensées.  Le style est ensuite imité par Phèdre (fabuliste latin), véhiculée par les esoteps au moyen-âge puis le genre arrive dans la noblesse avec la fontaine présenté avec une morale, une dimension philosophique, politique. Reprise par Florian, Krylov, Hugo et  Prévert  au XXiem siècle. La fable a pour objectifs de plaire et d’instruire.

·         La lettre persane 46 de Montesquieu peut illustrer Le pouvoir des fables de la fontaine.  On retrouve dans Le pouvoir des fables de la fontaine, l’ignorance, l’attention pour des futilités, des enfantillages, l’ignorance. Dans les lettres persanes on retrouve l’idée

 

 

 

 

 

7)

En écrivant   le pouvoir des fables  et les animaux malades de la peste la Fontaine a choisi l’apologue. Il l’indique lui-même dans son récit « Par l’apologue réveillée « v29. C’est un choix justifié, car il peut ainsi mêler fable et apologue qui donne la possibilité d’exprimer des idées souvent complexes sous une forme simple et d’une extrême concision.

 Et par la fable et l’apologue en même temps provoquer la réflexion, la conviction du lecteur. La fable permet aussi d’enseigner grâce à l’apologue il le fait de manière amusante et pas trop sérieuse comme il le défend dans la fable le pouvoir des fables. A travers l’apologue il incarne des idées politiques des attitudes morales ou des choix philosophique dans les personnages choisi par l’auteur.

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